RÉSUMÉ VIDÉO
Étapes pour libérer votre potentiel : Plus d'excuses !
🚀 Prêt à élever votre niveau de jeu ? Arrêtez les excuses et commencez à embrasser le pouvoir des conclusions responsabilisantes ! 😎
💪 Vous avez le choix de faire de chaque revers une marche vers la grandeur. Vous souvenez-vous quand vous avez appris à faire du vélo ? Vous n’avez pas abandonné après quelques chutes, n’est-ce pas ? 🚴♂️
💡 Il en va de même pour vos objectifs ! Tout est question de maîtriser les composants, un pas à la fois. Comme apprendre à attacher vos chaussures – vous vous en souvenez ? 🥿
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La formule étape par étape
Étape 1 : Comprendre l’importance de l’empilement de la maîtrise
Description :
Cette étape met en avant l’importance de décomposer des compétences complexes en éléments plus petits et de maîtriser chacun d’entre eux individuellement avant de les combiner.
Mise en œuvre :
- Reconnaissez qu’il est essentiel de décomposer les compétences complexes en éléments gérables pour exceller dans un domaine ou une catégorie particulière.
- Comprenez que la maîtrise nécessite de se concentrer sur une compétence à la fois au lieu d’essayer d’apprendre tout en même temps.
- Admettez que la véritable maîtrise vous permet d’exécuter des tâches sans effort conscient.
- Réalisez que beaucoup de gens confondent “apprendre quelque chose” avec “le maîtriser”, mais la véritable maîtrise signifie que la connaissance devient une partie de vous.
Détails spécifiques :
- La maîtrise est atteinte lorsque vous pouvez exécuter une compétence sans utiliser de ressources conscientes.
- Comparez cela à des tâches simples comme attacher ses lacets ou faire du vélo, que vous pouvez faire sans effort car vous les avez maîtrisées.
- Travaillez intentionnellement à maîtriser les composants nécessaires à vos objectifs spécifiques, tout comme vous l’avez fait pour attacher vos lacets ou faire du vélo.
Étape 2 : Identifier et décomposer les compétences complexes
Description :
Cette étape consiste à reconnaître les compétences ou tâches complexes liées à vos objectifs et à les décomposer en éléments plus petits et plus gérables.
Mise en œuvre :
- Identifiez les compétences ou tâches complexes liées à vos objectifs (par exemple, gérer une entreprise, construire un ministère ou accomplir une mission).
- Analysez ces compétences pour déterminer leurs composants constitutifs.
- Énumérez chaque composant en vous assurant qu’ils sont spécifiques et actionnables.
- Priorisez ces composants en fonction de leur importance et de leur séquence logique.
Détails spécifiques :
- Pour une entreprise, cela pourrait impliquer des composants tels que le marketing, les ventes, les opérations, la finance, etc.
- Décomposer les tâches en éléments plus petits facilite la concentration sur la maîtrise.
- La priorisation des composants vous aide à les aborder dans un ordre logique, en construisant votre maîtrise étape par étape.
Étape 3 : Se concentrer sur la maîtrise intentionnelle
Description :
Cette étape met l’accent sur l’importance de la pratique intentionnelle et de la répétition pour maîtriser chaque composant de manière efficace.
Mise en œuvre :
- Engagez-vous à maîtriser un composant à la fois, en commençant par le plus crucial.
- Réservez du temps dédié pour une pratique délibérée du composant choisi.
- Pratiquez de manière constante jusqu’à ce que vous puissiez exécuter la tâche sans effort.
- N’avancez pas vers le composant suivant tant que vous n’avez pas atteint la maîtrise du composant actuel.
Détails spécifiques :
- La pratique délibérée implique des efforts concentrés et structurés pour améliorer une compétence spécifique.
- La constance est essentielle ; allouez du temps régulièrement pour la pratique dans votre routine quotidienne.
- Assurez-vous de pouvoir exécuter la tâche sans effort conscient avant de passer au composant suivant.
- Pensez à ce processus comme similaire à apprendre à attacher vos lacets ou à faire du vélo – la pratique délibérée mène à la maîtrise.
Étape 4 : Construire continuellement la maîtrise
Description :
Cette étape met en évidence la nécessité de continuer à empiler la maîtrise en répétant le processus pour chaque composant et en les intégrant de manière transparente.
Mise en œuvre :
- Une fois que vous avez maîtrisé un composant, passez au suivant sur votre liste.
- Répétez le processus de pratique délibérée et de construction de la maîtrise pour chaque composant.
- Continuez à empiler les composants maîtrisés jusqu’à ce que vous puissiez exécuter des tâches complexes sans effort.
- Soyez patient et persévérant, comprenant que la véritable maîtrise prend du temps.
Détails spécifiques :
- À mesure que vous maîtrisez chaque composant, intégrez-le avec ceux que vous avez maîtrisés précédemment.
- Construire la maîtrise étape par étape vous permet de gérer des tâches complexes sans effort.
- Comprenez que la véritable maîtrise est un processus progressif, mais les résultats en valent la peine.
Étape 5 : Se préparer à la maîtrise
Description :
Cette étape met l’accent sur l’importance de la préparation avant de se plonger dans l’apprentissage de compétences complexes.
Mise en œuvre :
- Comprenez que la préparation est cruciale pour une maîtrise réussie.
- Priorisez les compétences de base ou les prérequis qui doivent être appris avant de s’attaquer à des tâches plus complexes.
- Envisagez d’apprendre des compétences ou des concepts connexes qui soutiendront votre parcours de maîtrise.
Détails spécifiques :
- La préparation comprend l’apprentissage de compétences de base, comme conduire une voiture automatique avant d’essayer de conduire une voiture à boîte manuelle.
- Prenez le temps de comprendre les bases et les prérequis de votre domaine choisi.
- Identifiez les compétences ou concepts connexes qui peuvent améliorer votre processus de maîtrise.
Étape 6 : La maîtrise conduit à une exécution sans effort
Description :
Cette étape met l’accent sur le fait que la véritable maîtrise résulte en une exécution sans effort des tâches.
Mise en œuvre :
- Efforcez-vous d’atteindre un niveau de maîtrise où l’exécution des tâches ne nécessite pas de réflexion consciente.
- Reconnaissez que la maîtrise des composants individuels permet de rendre les tâches complexes faciles à accomplir.
- Visez à travailler de manière à ce que vos compétences deviennent une seconde nature.
Détails spécifiques :
- Lorsque vous avez vraiment maîtrisé une compétence, cela ressemble à une seconde nature, similaire à la conduite d’une voiture sans y penser consciemment.
- La maîtrise rend les tâches ludiques plutôt que laborieuses.
- Comprenez qu’une fois que vous avez atteint la maîtrise, moins d’efforts sont nécessaires pour obtenir des résultats plus importants.
Étape 7 : Vous exposer à de nouveaux concepts
Description :
Cette étape se concentre sur l’élargissement de votre base de connaissances en explorant de nouveaux concepts et idées.
Mise en œuvre :
- Engagez-vous dans des activités qui vous exposent à de nouveaux concepts, tels que la lecture, l’écoute et l’observation.
- Pratiquez le discernement en évaluant les informations que vous rencontrez.
- Contemplez, questionnez et répondez pour approfondir votre compréhension.
- Remettez en question vos propres conclusions et alignez votre réflexion sur la vérité.
Détails spécifiques :
- L’engagement actif avec de nouveaux concepts peut inclure la lecture de livres, l’écoute de podcasts, la participation à des séminaires ou l’observation de personnes réussies.
- Le discernement implique une pensée critique et l’évaluation de la validité des informations que vous rencontrez.
- Assurez-vous que vos croyances et vos conclusions sont alignées sur la vérité objective plutôt que sur des biais personnels ou des sentiments.
Étape 8 : Décrypter et agir sur les nouvelles connaissances
Description :
Cette étape implique le traitement de nouvelles connaissances et leur mise en action.
Mise en œuvre :
- Contemplez et questionnez les nouvelles informations que vous avez recueillies.
- Passez à l’action en appliquant les connaissances à vos efforts.
- Expérimentez avec les nouveaux concepts et mesurez les résultats.
- Surveillez vos progrès et adaptez votre approche au besoin.
Détails spécifiques :
- Ne vous contentez pas de consommer passivement l’information ; engagez-vous dans une contemplation et une réflexion approfondies.
- Appliquer de nouvelles connaissances par l’action est essentiel pour la croissance personnelle et professionnelle.
- L’expérimentation et la mesure vous aident à comprendre la praticabilité et l’efficacité des concepts.
- Soyez adaptable et prêt à ajuster vos stratégies en fonction des résultats que vous observez.
Étape 9 : Gérer les revers et résister aux conclusions hâtives
Description :
Cette étape se concentre sur la manière de faire face aux revers et d’éviter de tirer des conclusions hâtives lorsque vous êtes confronté à des défis.
Mise en œuvre :
- Reconnaissez que les revers et les défis font partie du parcours.
- Évitez de tirer des conclusions hâtives en fonction des résultats à court terme.
- Comprenez que le succès nécessite souvent de la persévérance et des efforts continus.
- Continuez à travailler vers vos objectifs, même en cas de revers initial.
Détails spécifiques :
- Les revers et les difficultés sont normaux et doivent être attendus sur le chemin de la maîtrise.
- Ne sautez pas aux conclusions si vous ne voyez pas de succès immédiat.
- La patience et la persévérance sont essentielles pour atteindre des objectifs à long terme.
- Apprenez des revers et utilisez-les comme des opportunités pour affiner votre approche.
Étape 10 : Passer des objectifs de résultat aux objectifs d’entrée
Description :
Cette étape implique de réévaluer votre approche des objectifs et des objectifs en se concentrant sur les objectifs d’entrée plutôt que sur les objectifs de résultat.
Mise en œuvre :
- Repensez la manière dont vous définissez les objectifs et les objectifs.
- Envisagez de passer des objectifs axés sur les résultats avec des délais spécifiques aux objectifs d’entrée.
- Définissez les objectifs d’entrée comme les actions et les efforts que vous pouvez contrôler.
- Alignez vos actions sur les objectifs et faites confiance aux résultats qui suivront.
Détails spécifiques :
- Les objectifs de résultat sont généralement liés à des délais spécifiques et peuvent entraîner de la frustration s’ils ne sont pas atteints.
- Les objectifs d’entrée se concentrent sur les actions et les efforts que vous pouvez contrôler, réduisant l’anxiété quant au résultat final.
- Ayez confiance que, en travaillant régulièrement sur vos objectifs d’entrée, les résultats souhaités suivront naturellement.
- Ce changement de mentalité peut réduire le stress et améliorer la concentration à long terme sur vos objectifs.
Étape 11 : Synergiser les entrées pour des résultats souhaités
Description :
Cette étape met l’accent sur l’importance de combiner efficacement diverses entrées pour atteindre des résultats souhaités.
Mise en œuvre :
- Identifiez les diverses entrées et facteurs qui contribuent à vos résultats souhaités.
- Développez une stratégie pour synergiser ces entrées afin qu’elles fonctionnent harmonieusement ensemble.
- Comprenez que lorsque toutes les entrées sont alignées et travaillent de manière cohérente, le résultat devient réalisable.
- Surveillez continuellement et ajustez la synergie de vos entrées pour optimiser les résultats.
Détails spécifiques :
- Le succès dépend souvent de la combinaison et de la synergie de plusieurs entrées.
- Élaborez un plan stratégique pour vous assurer que toutes les entrées se complètent mutuellement dans la réalisation de vos objectifs.
- Évaluez régulièrement et ajustez l’alignement des entrées pour maintenir l’efficacité et l’efficience.
- Souvenez-vous que les résultats réussis découlent d’un effort bien coordonné, et non seulement d’actions individuelles.
Étape 12 : Maintenir une perspective à long terme
Description :
Cette étape met l’accent sur l’importance de maintenir une perspective à long terme dans la poursuite de vos objectifs.
Mise en œuvre :
- Reconnaissez que le véritable succès peut prendre du temps et un effort soutenu.
- Adoptez une mentalité d’engagement à long terme envers vos objectifs.
- Évitez de vous décourager en cas de revers ou de retards à court terme.
- Gardez votre concentration sur la vision globale et la destination ultime.
Détails spécifiques :
- Comprenez que la maîtrise et le succès significatif nécessitent souvent une perspective à long terme.
- Les revers à court terme ne devraient pas vous détourner de vos objectifs à long terme.
- Restez engagé envers vos objectifs et faites preuve de persistance dans vos efforts, quel que soit le temps nécessaire.
- Gardez les yeux rivés sur la destination ultime et rappelez-vous que le succès est un voyage, pas une destination.
Étape 13 : Le pouvoir du travail continu et de la persistance
Description :
Cette étape met en lumière l’importance du travail continu et de la persistance dans la réussite.
Mise en œuvre :
- Acceptez l’idée que l’effort constant et la persistance sont essentiels pour réussir.
- Comprenez que les défis et les revers font partie du voyage.
- Évitez l’ennui en vous concentrant sur la joie que procure le progrès.
- Gardez les yeux rivés sur l’objectif ultime et continuez à y travailler.
Détails spécifiques :
- La réussite nécessite souvent un effort constant et une persistance au fil du temps.
- Les défis et les revers sont des occasions de croissance et d’amélioration.
- Maintenez votre enthousiasme en restant concentré sur la joie du progrès.
- Le chemin vers le succès peut être long et difficile, mais cela en vaut la peine à la fin.
Étape 14 : Se concentrer sur la vision à long terme
Description :
Cette étape met en avant l’importance de garder à l’esprit la vision à long terme lorsque vous faites face à des défis et des revers.
Mise en œuvre :
- Maintenez une vision claire de vos objectifs et de vos aspirations à long terme.
- Utilisez votre vision comme source de motivation et d’inspiration.
- Comprenez que les revers à court terme ne définissent pas votre progression globale.
- Restez engagé envers la vision globale et la destination ultime.
Détails spécifiques :
- La réussite nécessite souvent une perspective à long terme et un engagement envers la vision globale.
- Votre vision peut servir de puissante source de motivation en période de difficulté.
- Les revers à court terme ne devraient pas vous détourner de vos objectifs à long terme.
- Rappelez-vous que le succès est un voyage, et maintenir le focus sur votre vision vous aidera à rester sur la bonne voie.
Étape 15 : Conclusions intentionnelles
Description :
Cette étape implique de prendre des conclusions intentionnelles qui vous donnent du pouvoir, plutôt que de vous en priver.
Mise en œuvre :
- Reconnaissez l’importance de prendre des conclusions délibérées dans votre vie.
- Comprenez que vous avez le pouvoir de décider des conclusions auxquelles vous arrivez.
- Réalisez que vous ne pouvez pas contrôler ce qui vous arrive, mais vous pouvez contrôler votre réaction.
- Concentrez-vous sur ce qui se passe après un événement, plutôt que de vous attarder sur l’événement lui-même.
- Décidez sur quoi vous allez vous concentrer et quelles actions vous allez entreprendre en réponse à chaque situation.
Détails spécifiques :
- Mettez en avant l’importance de prendre le contrôle de votre propre récit et de votre mentalité.
- Comprenez que vos réactions et vos conclusions peuvent avoir un impact significatif sur la direction de votre vie.
- Prenez la responsabilité de vos réponses aux divers événements de la vie.
Étape 16 : Éviter les excuses
Description :
Cette étape implique de rejeter les excuses et de prendre la responsabilité de vos décisions et de vos actions.
Mise en œuvre :
- Reconnaissez quand quelqu’un présente une excuse ou quand vous êtes tenté d’en faire une.
- Choisissez de rejeter les excuses et d’être transparent et honnête quant à vos intentions.
- Comprenez que dire “non” est une réponse valable si quelque chose ne correspond pas à vos objectifs ou à vos valeurs.
Détails spécifiques :
- Apprenez de l’exemple de Jésus, qui n’a pas toléré les excuses mais a encouragé l’action.
- Comprenez que vous avez le pouvoir de refuser des opportunités ou des demandes sans vous sentir obligé de vous expliquer de manière exhaustive.
- Adoptez l’idée que “non” est une phrase complète, et que vous pouvez l’utiliser lorsque cela est nécessaire.
Étape 17 : Examiner la vertu des conclusions
Description :
Dans cette étape, vous évaluerez la vertu ou la moralité des conclusions auxquelles vous arrivez.
Mise en œuvre :
- Réfléchissez à la bonté et à la vertu de vos conclusions.
- Déterminez si vos conclusions sont réellement bonnes ou si elles ne servent que de soulagement émotionnel temporaire.
- Examinez les motifs derrière vos conclusions et assurez-vous qu’ils sont en accord avec des valeurs positives.
Détails spécifiques :
- Comprenez que certaines conclusions peuvent être difficiles mais vertueuses, vous obligeant à faire face à des vérités inconfortables.
- Référez-vous au Proverbes 4:23, mettant en avant l’importance de maintenir un cœur pur et de prendre des décisions basées sur des principes.
- Établissez des limites et des principes à l’avance pour guider vos prises de décisions dans des situations difficiles.
Étape 18 : Adopter la non-violence
Description :
Cette étape implique de promouvoir la non-violence et la compassion, même envers de petites créatures ou des êtres moins significatifs.
Mise en œuvre :
- Cultivez un sentiment d’empathie et de compassion envers toutes les créatures vivantes, quel que soit leur taille ou leur importance.
- Faites un effort conscient pour éviter de nuire aux autres, même lorsque vous en avez le pouvoir.
- Comprenez que votre capacité à la compassion reflète votre caractère.
Détails spécifiques :
- Mettez en avant l’importance de valoriser toute forme de vie, aussi petite ou insignifiante qu’elle puisse paraître.
- Reconnaissez que choisir la non-violence et la compassion peut contribuer à un monde plus pacifique.
- Efforcez-vous d’être une force pour le bien et le changement positif dans la vie des autres.
Étape 19 : Volonté de protéger vos proches
Description :
Cette étape implique d’être prêt à protéger vos proches lorsqu’ils sont menacés, même si cela nécessite de prendre position.
Mise en œuvre :
- Reconnaissez l’importance de protéger ceux que vous aimez.
- Comprenez que le fait d’être prêt à défendre vos proches est une conclusion vertueuse, même si cela nécessite une confrontation.
- Soyez prêt à agir lorsque quelqu’un menace la sécurité ou le bien-être de quelqu’un que vous aimez.
Détails spécifiques :
- Comprenez que le fait d’être prêt à protéger vos proches est un acte d’amour et de responsabilité.
- Réalisez que la confrontation, lorsqu’elle est nécessaire, peut être un moyen de maintenir la paix et la sécurité.
- Adoptez l’idée que la paix ne peut exister que s’il y a une volonté de la protéger.
Étape 20 : Examiner la valeur des conclusions
Description :
Dans cette étape, vous évaluerez la valeur de vos conclusions en fonction de leur impact sur les autres plutôt que de votre attachement personnel à celles-ci.
Mise en œuvre :
- Reconnaissez que la valeur de vos conclusions est déterminée par leur capacité à transformer positivement la vie des autres.
- Testez vos conclusions sur le marché ou auprès de votre public pour évaluer leur véritable valeur.
- Comprenez que votre récit ou vos idées doivent offrir de réels avantages aux autres pour être précieux.
Détails spécifiques :
- Changez votre perspective centrée sur vous-même pour vous concentrer sur la manière dont vos conclusions bénéficient et aident les autres.
- Évitez de supposer que votre attachement personnel à votre récit ou à vos idées les rend automatiquement précieux pour les autres.
- Soyez prêt à adapter et à affiner vos conclusions en fonction des commentaires et des besoins de votre public ou de votre marché cible.
- Affinez continuellement vos offres pour les aligner sur les préférences et les commentaires de vos acheteurs idéaux.
- Concentrez-vous sur la fourniture d’une valeur exceptionnelle et sur la création d’une expérience d’achat qui séduit votre public cible.
- Comprenez que les similaires attirent les similaires, et vos acheteurs idéaux sont susceptibles de partager des qualités et des valeurs similaires avec vous.
Étape 21 : Découvrir la valeur dans les ventes
Description :
Cette étape consiste à comprendre que des ventes réussies impliquent de découvrir la valeur de vos offres de manière si efficace que les gens sont heureux d’échanger leur argent contre cette valeur.
Mise en œuvre :
- Reconnaissez que l’essence des ventes est de révéler la valeur de votre produit ou service.
- Efforcez-vous de communiquer la valeur d’une manière qui résonne avec votre public.
- Concentrez-vous sur le fait de rendre les acheteurs potentiels vraiment enthousiastes à propos de ce que vous avez à offrir.
Détails spécifiques :
- Comprenez que des ventes réussies nécessitent une compréhension approfondie des besoins et des désirs de votre public.
- Mettez l’accent sur l’importance de présenter votre produit ou service comme une solution aux problèmes ou aux désirs de vos clients.
- Utilisez la narration et des techniques persuasives pour transmettre efficacement la proposition de valeur.
Étape 22 : Empathie dans les ventes
Description :
Cette étape implique de reconnaître l’importance de l’empathie dans les ventes, de comprendre les perspectives de vos clients et d’éviter les suppositions.
Mise en œuvre :
- Développez un haut niveau d’empathie pour vous connecter personnellement avec vos clients.
- Évitez de projeter vos propres préférences sur vos clients et cherchez plutôt à comprendre leurs besoins uniques.
- Utilisez des campagnes de questions et des enquêtes pour recueillir des informations directement auprès de votre public.
Détails spécifiques :
- Pratiquez l’écoute active et posez des questions ouvertes pour mieux comprendre les points douloureux et les désirs de vos clients.
- Évitez de faire des suppositions sur ce que vos clients veulent ou ont besoin ; laissez-les vous le dire.
- Mettez en œuvre les commentaires de votre public pour améliorer vos produits, services et stratégies de marketing.
Étape 23 : Attirer les acheteurs idéaux
Description :
Cette étape consiste à attirer et à fidéliser les acheteurs idéaux qui sont désireux d’acheter vos offres.
Mise en œuvre :
- Comprenez que pour attirer les acheteurs idéaux, vous devez devenir un meilleur acheteur vous-même.
- Changez votre mentalité pour devenir le type d’acheteur que vous aimeriez avoir comme client.
- Créez des produits et des services qui répondent véritablement aux besoins et aux désirs de vos acheteurs idéaux.
Détails spécifiques :
- Reconnaissez que qui se ressemble s’assemble, et vos acheteurs idéaux sont susceptibles de partager des qualités et des valeurs similaires avec vous.
- Concentrez-vous sur la fourniture d’une valeur exceptionnelle et sur la création d’une expérience d’achat qui séduit votre public cible.
- Affinez continuellement vos offres pour les aligner sur les préférences et les commentaires de vos acheteurs idéaux.
Étape 24 : Parler en langage simple
Description :
Cette étape met l’accent sur l’importance de s’exprimer en langage simple, similaire à la manière dont on communiquerait avec un élève de troisième année.
Mise en œuvre :
- Reconnaissez que la simplicité dans la communication est essentielle pour vous connecter avec votre public.
- Efforcez-vous d’exprimer des idées complexes de manière claire et facile à comprendre.
- Évitez d’utiliser un vocabulaire excessivement complexe ou un jargon qui pourrait aliéner votre public.
Détails spécifiques :
- Pratiquez l’utilisation de mots d’une syllabe et de phrases claires et concises dans votre communication.
- Imaginez-vous expliquer vos concepts à un enfant et simplifiez votre langage en conséquence.
- Testez votre message auprès de personnes qui ne sont peut-être pas familières avec votre domaine pour vous assurer qu’il est accessible à un public plus large.
Étape 25 : Connexion par l’empathie enfantine
Description :
Cette étape consiste à vous connecter avec votre public en embrassant l’empathie enfantine en vous et en vous engageant avec votre public sur un plan personnel.
Mise en œuvre :
- Cultivez un sentiment d’empathie en comprenant les émotions et les besoins de votre public.
- Approchez votre communication avec l’intention de vous connecter sur un plan humain et émotionnel.
- Encouragez des conversations ouvertes et honnêtes qui permettent à votre public de s’exprimer librement.
Détails spécifiques :
- Mettez-vous à la place de votre public et considérez leur perspective et leurs sentiments.
- Créez un environnement où les gens se sentent à l’aise de partager leurs pensées et leurs préoccupations.
- Pratiquez l’écoute active et répondez aux besoins et aux désirs de votre public avec une véritable empathie.
Étape 26 : Éviter la surcomplexité
Description :
Cette étape met en évidence l’importance d’éviter une complexité inutile dans vos messages et vos documents.
Mise en œuvre :
- Comprenez que la surcomplexité peut entraver la communication efficace et aliéner votre public.
- Cherchez à transmettre votre message de manière claire et simple.
- Priorisez la simplicité par rapport à la complexité dans tous les aspects de votre communication.
Détails spécifiques :
- Résistez à la tentation d’utiliser un vocabulaire complexe ou du jargon pour paraître plus compétent.
- Démontez des concepts complexes en morceaux faciles à comprendre pour votre public.
- Effectuez régulièrement des révisions de votre messagerie pour éliminer toute complexité inutile ou confusion.
Étape 27 : Définir tôt
Description :
Commencez toujours au début de votre communication, en introduisant les nouveaux mots ou concepts et en les définissant clairement.
Mise en œuvre :
- Supposez que votre public ne comprend peut-être pas les termes ou le jargon complexes.
- Définissez les nouveaux mots ou concepts dès le départ pour que tout le monde soit sur la même page.
- Créez une compréhension commune en commençant par des définitions claires.
Détails spécifiques :
- Utilisez un langage simple et évitez de trop utiliser de termes techniques ou spécifiques à l’industrie.
- Offrez des explications simples pour rendre les idées complexes plus accessibles.
- Commencez votre communication sur une base de clarté et de compréhension.
Étape 28 : Montrez où vous allez
Description :
Plutôt que de commencer par une blague ou une référence obscure, commencez votre communication en posant deux questions engageantes qui attirent votre public vers le sujet.
Mise en œuvre :
- Engagez votre public en posant des questions qui mettent en évidence leurs désirs ou leurs défis.
- Utilisez les questions comme un moyen d’introduire le sujet principal ou le message que vous souhaitez transmettre.
- Créez un sentiment de connexion et de pertinence dès le début.
Détails spécifiques :
- Concevez des questions qui dirigent votre public vers le résultat ou le message que vous souhaitez transmettre.
- Assurez-vous que les questions résonnent avec les intérêts et les besoins de votre public.
- Utilisez stratégiquement les questions pour orienter la conversation dans la direction souhaitée.
Étape 29 : Racontez votre histoire
Description :
Racontez des histoires qui illustrent des points et captivent votre public tout au long de votre communication.
Mise en œuvre :
- Intégrez des histoires dans votre conversation pour illustrer des points et captiver votre public.
- Choisissez des histoires auxquelles votre public peut s’identifier et se voir.
- Utilisez la narration comme un outil pour transmettre à la fois le message et l’impact émotionnel de vos paroles.
Détails spécifiques :
- Concevez des histoires qui montrent le cheminement d’un problème ou d’une situation identifiable vers une solution ou un résultat souhaité.
- Reliez les histoires aux points principaux que vous souhaitez transmettre, en faisant d’elles une partie intégrante de votre communication.
- Gardez le public engagé en utilisant la narration comme un outil de communication puissant et mémorable.
CONTENU COMPLET
Pensez comme un génie, parlez comme un élève de troisième année
Salut là-bas, dans notre dernière vidéo, nous avons commencé à enseigner “Pensez comme un génie, parlez comme un élève de troisième année”, et nous avons abordé la partie “pensez comme un génie”.
Donc, quand je créais le plan, clairement, je ne pensais pas comme un génie. Quoi qu’il en soit, nous allons terminer cela aujourd’hui parce que plus clairement vous pouvez penser, et plus clairement vous parlez, mieux vous serez à même d’impacter la vie des personnes que vous avez été envoyé(e) pour servir. Alors j’espère que cette vidéo vous a donné un peu de clarté.
À la fin de cette vidéo, nous avons parlé de l’empilement de la maîtrise et de l’importance de l’empilement de la maîtrise. C’est tellement intéressant, savez-vous que votre cerveau utilise plus d’énergie que n’importe quel autre organe de votre corps ?
Comme lorsque vous réfléchissez, peut-être que c’est pourquoi penser est le travail le plus difficile que la plupart des gens ne font jamais, car cela demande tellement d’énergie pour penser, n’est-ce pas ? Et donc, je parlais de l’importance de l’empilement de la maîtrise et comment si vous voulez devenir l’un des meilleurs dans une catégorie, vous devez maîtriser un composant à la fois.
Et une fois que vous maîtrisez ce composant, vous en maîtrisez un autre, vous empilez une maîtrise sur une maîtrise, et puis vous maîtrisez un autre composant, vous empilez cela, car ce qui se passe, c’est que les gens qui sont excellents dans ce qu’ils font, ils sont excellents parce qu’ils peuvent faire beaucoup de choses que nous pouvons tous dire sont très complexes, et ils peuvent les faire toutes simultanément et apparemment sans effort. Combien d’entre vous comprennent ce dont je parle, n’est-ce pas ?
Et donc, la raison pour laquelle ils peuvent le faire, c’est parce qu’ils ont pris un de ces composants difficiles à la fois et ils l’ont maîtrisé. Vous voyez, la plupart des gens font l’erreur de penser que d’apprendre quelque chose, c’est la même chose que de l’apprendre. Ce n’est pas pareil. Apprendre quelque chose, c’est exactement cela – apprendre quelque chose. Donc, vous lisez un livre sur quelque chose, et vous avez appris quelque chose, et vous pensez l’avoir appris. Et ensuite, lorsque vous essayez de le mettre en pratique, vous utilisez beaucoup de bande passante mentale pour essayer de dire : “D’accord, par où devrais-je commencer ?” Et donc, votre cerveau fait toutes ces sortes de sauts mentaux, et vous n’en arrivez pas à la conclusion parce que vous ne l’avez pas maîtrisé.
Vous utilisez donc trop de ressources conscientes pour tenter de trouver des réponses qui, si vous les aviez maîtrisées, seraient déjà en vous. Elles seraient dans l’esprit qui est le vôtre, non seulement dans votre cerveau, mais dans l’esprit de vos doigts et dans l’esprit de vos mouvements. Vous les posséderiez simplement. Elles deviendraient une partie de vous. Vous deviendriez, comme le dirait le Dr Ron, vous deviendriez un avec elles. Et donc, la maîtrise, c’est la capacité à exécuter sans effort, sans.
Mastery of Skills That Matter
use of a conscious resources all of us have mastered things in our lives, but the challenge is we’ve only mastered things that don’t really matter that much. Like we’ve all mastered tying our shoes, right? We don’t have to think about it. You can have a conversation with somebody, look away, listen to music, and tie your shoes at the same time. Why? Because you’ve mastered it.
Now, what most people are not as intentional about is mastering things that would make their lives better, as they were about mastering tying their shoes. When they learned to tie their shoes, they were like, “Mommy, teach me how to tie my shoe,” and then they would practice and they would practice and they would practice and they would practice until eventually you can tie your shoe effortlessly.
That seems like an oversimplification, but it’s not because the same thing happened when you learned how to ride a bike. Learning how to ride a bike felt impossible when you first started learning. Like, I don’t know how they do it today, but when I was a kid, they had training wheels on bikes. Do they still have training wheels? Okay, so training wheels. And then what my parents would do, they would take off one training wheel and let you ride your bike for a while with only one training wheel. And then they would take off the other training wheel, and then eventually you could ride your bike. And then because you had mastered riding the bike and it became a part of you, eventually you could ride your bike with no hands. How many remember riding your bike with no hands, right? You ride your bike with no hands; you could turn with no hands.
But what happened? You mastered the components, and the bike started to become one with you. What happens when all of the skill sets that are necessary for you to run your business or build your business empire or build your ministry or build your mission, whatever the thing is you’re here for? What happens when you master all of the…
Maîtriser les compétences une par une : Conduire une voiture à boîte manuelle
Les composants, un par un, comme vous avez maîtrisé le lacet de vos chaussures et le vélo. Je me souviens de quand j’ai appris à conduire une voiture à boîte manuelle. Quand j’ai appris pour la première fois à conduire une voiture à boîte manuelle, la boîte manuelle que j’ai apprise à conduire n’était pas une quatre vitesses au plancher ; c’était une trois vitesses sur la colonne, n’est-ce pas ?
Alors, vous savez, vous appuyez sur l’embrayage et vous mettez la première vitesse, puis vous conduisez aussi vite que possible, vous l’amenez à 20 miles par heure ou peu importe, 15, et puis vous appuyez sur l’embrayage, vous le passez en deuxième vitesse, et puis vous montez à 35, 40 miles par heure, vous appuyez sur l’embrayage, vous le repassez en troisième vitesse. Et cela nécessitait tellement d’efforts conscients pour le faire. Mais savez-vous ce que j’ai dû apprendre à faire avant d’apprendre à conduire une voiture à boîte manuelle ? J’ai dû apprendre à conduire une voiture. J’ai dû apprendre à conduire une voiture à transmission automatique. Je n’ai pas eu à le faire, mais c’est ainsi que je l’ai fait. J’ai appris à conduire une voiture à transmission automatique avant d’apprendre à conduire une voiture à boîte manuelle. Pourquoi ? Parce que comme vous devez vous alerter…
La maîtrise conduit à un travail sans effort
Vous devez apprendre à prêter attention aux modèles de circulation, vous devez prêter attention à votre vitesse, et vous devez vous assurer de savoir combien de carburant il y a dans la voiture. Voyez qui est de ce côté et qui est de l’autre côté, qui est derrière vous, et à quelle distance est-ce dégagé ? Tout cela. Nous ne pensons plus à toutes ces choses maintenant ; nous montons simplement dans la voiture et nous partons, n’est-ce pas ?
Alors quand vous apprenez en tant qu’entrepreneur à vendre à un niveau où cela ne nécessite pas vos ressources conscientes, cela fait simplement partie de vous. Et vous apprenez à rédiger une campagne marketing, une lettre de vente, une annonce, et vous l’avez intériorisé de telle manière que cela fait partie de vous. Maintenant, le travail ne semble pas difficile. Ça ne vous fait pas transpirer. Le travail semble être un jeu pour moi. Je sais que ça va avoir l’air fou, et je ne dis pas que j’ai maîtrisé les affaires, mais j’ai maîtrisé certaines composantes des affaires. Et pour moi, le travail semble être un jeu. Le travail semble être un jeu quand vous maîtrisez les choses ; le travail semble être un jeu, et vous n’avez pas à en faire autant.
La maîtrise entraîne une plus grande efficacité
pour obtenir un grand résultat, il faut moins d’efforts lorsque vous êtes un maître pour obtenir une production multipliée. Lorsque vous êtes un amateur, il faut une entrée multipliée pour obtenir une production minimisée. Mais quand vous devenez un maître, vous pouvez littéralement obtenir une production multipliée à partir d’une entrée minimisée. Et c’est là que nous demandons : “Pourquoi ne pas travailler en vue du jour où vous êtes tellement bon dans ce que vous faites qu’il faut moins d’efforts et d’énergie de votre part que de la part des autres qui pensent être vos concurrents ?” Vous comprenez ce que je veux dire ?
Donc, nous avons parlé dans “Pensez comme un génie” du fait que vous devez vous exposer à de nouveaux concepts. C’est une révision. Alors comment faites-vous cela ? Vous le faites en discernant. Vous lisez, vous écoutez, et vous observez. Ensuite, vous décryptez, vous méditez, vous posez des questions, et vous répondez. Et au fait, il est très important pour vous, tout le monde tapez sur votre téléphone portable, dites juste “moi”. Il est très important pour vous de remettre en question chaque conclusion à laquelle vous arrivez et de l’examiner par rapport à la vérité. Ne faites pas l’erreur…
L’importance de la vérité et du décryptage
que tant de gens croient, faites cette erreur en pensant qu’ils… Ce que font la plupart des gens, c’est qu’ils croient que les choses qu’ils pensent sont vraies parce qu’ils les pensent, au lieu de les penser parce qu’ils ont découvert qu’elles sont vraies. Non ? Laissez la vérité être le fondement et non pas vos pensées, pas vos sentiments, pas la façon dont vous allez être perçu, mais laissez simplement la vérité être ce qu’elle est et laissez cela vous guider.
Un de mes livres préférés est “A Million Dollar Habits” de Robert J. Ringer. Je ne sais pas si vous avez déjà lu ce livre, mais le premier habit dans “Million Dollar Habits” est l’habitude de la réalité. Et l’habitude de la réalité, c’est cela : vous décidez simplement que vous allez faire ce que la vérité vous dit de faire et aller où la vérité vous mène. Et vous ne serez pas dans l’illusion. Toute personne qui croit quelque chose de vrai qui va à l’encontre de la vérité est dans l’illusion. C’est vraiment un livre remarquable, et c’est un auteur remarquable, et c’est un livre amusant à lire.
D’accord, donc vous décryptez. Comment faites-vous cela ? Vous méditez, vous posez des questions, puis vous répondez. Et j’ai donné une citation de quelqu’un que j’ai…
Mesure et amélioration continue
L’une de mes amies, Joe Marfolio, a dit : “Je préfère avoir des questions auxquelles je ne peux pas répondre plutôt que des réponses que je ne peux pas remettre en question.” Vous voyez, la vérité n’a pas peur d’un défi de l’erreur, mais l’erreur doit avoir peur d’un défi de la vérité, car vous ne pouvez pas apporter suffisamment de mensonges pour faire peur à la vérité, mais une vérité peut faire peur à un mensonge de manière violente. Vous suivez, d’accord ?
Et donc vous décryptez, puis vous agissez, vous expérimentez, ensuite vous mesurez les retours. Et ensuite, voici un bon mantra pour vous développer pendant que vous développez votre entreprise, pendant que vous vous développez, pendant que vous développez tout ce sur quoi vous travaillez : mesurez, mesurez, mesurez à quelle distance vous êtes de l’endroit où vous aimeriez être, mesurez combien d’efforts et d’énergie il vous faudra pour y arriver, mesurez où vous en êtes en ce moment. D’accord, cool. Donc, mesurez, puis vous surveillez pendant que vous itérez. Vous surveillez, “Suis-je plus proche maintenant qu’avant d’avoir fait cette itération, ou suis-je plus éloigné ?” D’accord, donc vous mesurez, vous surveillez, et ensuite vous apportez des ajustements. Vous ajustez…
Objectifs plutôt que buts
Donc la partie “ajuster” – je fais des ajustements parce que j’ai suivi les retours de mon itération. Donc je mesure pendant que j’itére. Je mesure, je surveille, et ensuite je fais un ajustement. Et c’est ainsi que je contrôle finalement le résultat.
Donc, je pense que l’une des plus grandes erreurs que font les gens, c’est qu’ils fixent des objectifs. Ma fille et moi avons eu cette conversation la semaine dernière, mais bon, je ne fixe pas vraiment d’objectifs. J’ai des objectifs. Et je sais que cela semble sémantique, mais voici ce que je veux dire quand je dis ça. J’ai un résultat que j’aimerais atteindre. Mais voyez-vous, un objectif, à ma compréhension – je peux me tromper – mais la façon dont je comprends l’objectif, c’est que vous désirez un résultat à une date précise. C’est un objectif, n’est-ce pas ? D’ici ce jour-là, je veux avoir ce résultat. N’est-ce pas ce qu’est un objectif ? N’est-ce pas ce que la plupart des gens considèrent comme un objectif ? Eh bien, moi, je ne fais pas ça. Je n’ai pas de genre, “Myron, quel est ton objectif de revenu pour 2023 ?” Je n’ai pas vraiment d’objectif de revenu pour 2023. Comme j’ai un objectif. J’ai un endroit où je crois que nous allons. Mais c’est comme si je ne fais pas X montant de dollars en 2023, j’ai l’impression d’avoir échoué. Je n’ai pas l’impression…
Objectifs d’entrée plutôt que buts de résultat
d’avoir échoué. Donc, au lieu d’avoir des objectifs de résultat, j’ai des objectifs d’entrée. Donc, au lieu de… Parce que je ne peux pas contrôler le résultat. En fait, je ne sais même pas quelles seront toutes les variables pendant que je suis en voyage. Et alors, comment puis-je le savoir ? Comme je ne savais pas quand j’ai acheté ce bâtiment qu’il allait falloir, pour que je puisse l’utiliser comme je le voulais, qu’il allait falloir des centaines de milliers de dollars de rénovations. Je ne le savais pas, n’est-ce pas ? J’ai juste su, “D’accord, voilà ce que je veux faire.” Je suis venu, nous avons fait notre première itération, notre première rénovation en enlevant les deux bureaux qui étaient au milieu ici. Ensuite, nous avons fait notre prochaine itération en enlevant deux autres bureaux qui étaient à l’extrémité. Et puis nous avons enlevé le faux plafond. Et puis nous avons enlevé la lumière. Et puis, enfin, d’abord, nous avons changé toutes les lumières…
Objectifs d’entrée synergiques
juste beaucoup de choses. Nous avons dû faire beaucoup de choses. Si j’avais eu un objectif du genre : “Je veux avoir mon studio XYZ à telle date,” eh bien, nous n’y sommes toujours pas, et j’ai acheté ce bâtiment il y a un an et demi, n’est-ce pas ? Mais je sais où nous allons. Et voyez-vous, si je sais où nous allons, et j’ai des objectifs d’entrée, alors je sais que lorsque tous les éléments d’entrée travailleront de manière synergique ensemble, le résultat se prendra en charge tout seul. Est-ce que cela a du sens ? D’accord, donc mesurez, surveillez, ajustez, et contrôlez. Ensuite, surveillez.
Donc vous vous exposez à des concepts, puis vous examinez vos conclusions, ce qui est similaire au décryptage mais c’est différent parce que ce que vous faites maintenant, ce sont les conclusions auxquelles vous êtes parvenu à la suite de vos itérations, vous examinez la validité de ces conclusions.
J’ai commencé en tant qu’entrepreneur en octobre 1985. J’ai passé mon examen d’assurance en janvier 1986. J’ai dû apprendre la présentation…
Persévérance malgré les échecs initiaux
Devinez ce que j’ai fait ? J’ai appris la présentation entre octobre et janvier pendant que je préparais mon examen d’assurance. Ensuite, j’ai dû sortir et faire des présentations, et j’ai fait des présentations après présentation après présentation, après présentation, après présentation. Et en avril 1987, j’ai finalement fait ma première vente et mon premier chèque de commission. Heureusement que j’étais à temps partiel. Et mon premier chèque de commission était de 125,66 dollars.
Maintenant, j’aurais pu conclure en avril 1986, un an avant ma première vente, “Ça ne marche pas”. N’est-ce pas ? Les gens qui me regardaient de l’extérieur, ils ont conclu que cette chose sur laquelle je travaillais ne fonctionnait pas. Je n’ai pas conclu ça. Alors, devinez ce que j’ai fait ? J’ai continué à travailler dessus. Et je n’ai pas fait de vente en février 1986 ni en mars ni en avril ni en mai ni en juin ni en juillet ni en août. Et, soit dit en passant, j’ai fait des présentations tous ces mois-là. Ni en septembre ni en octobre ni en novembre ni en décembre ni en janvier de l’année suivante ni en février ni en mars, avril… Ta-da ! Ça a marché. Maintenant, si j’avais conclu…
L’importance de la persévérance et d’une seule focalisation
que ça ne marche pas, ou du moins pas pour moi, c’est un signe que je ne devrais pas être dans la vente. Si j’avais conclu ça, nous ne serions pas ici en train d’avoir cette conversation en ce moment. Je n’aurais pas cette chaîne YouTube ; je n’aurais pas écrit de livres à succès parce que j’aurais supposé que la chose sur laquelle je travaillais ne fonctionnait pas, simplement parce que ça ne fonctionnait pas pour moi. Mais ça fonctionnait. Ça ne fonctionnait pas pour moi, mot-clé : encore.
Parce que voici ce que nous avons appris dans l’Écriture : Pourquoi avez-vous abandonné ? Eh bien, je n’avais pas de plan B. J’avais juste mon plan, comme mon plan était de jouer A, B, C, D, E, F, G tout le chemin jusqu’à Z parce qu’il n’y avait qu’un seul plan que j’avais. C’est comme si c’était la seule arène où j’avais jamais vu quelqu’un devenir riche. Les seules personnes riches que je connais, toutes sont dans cette entreprise et dans cette opportunité d’affaires et à cet endroit. Ce sont les personnes les plus riches que je connais. Pourquoi irais-je écouter un tas de mes amis fauchés et de mes parents fauchés qui pensent que je fais une erreur quand ces…
Rester dans la bonne voie
Les gens l’ont fait, et clairement, s’ils ont pu le faire, cela peut être fait. Et si cela peut être fait, cela peut être fait par moi. Alors pourquoi devrais-je abandonner ? Qu’est-ce que je vais faire, abandonner et dire simplement : “Eh bien, cela n’a pas fonctionné pour moi, alors je vais abandonner et ne rien faire” ? Je vais abandonner et creuser des tranchées. Eh bien, mais voyez-vous, voici la différence : je sais comment creuser une tranchée, mais une tranchée ne peut pas me rapporter, à l’époque en 1985, dix mille dollars par mois. Je peux réparer des voitures, mais je ne peux pas réparer des voitures pour gagner deux à dix mille dollars par mois. Et dix mille dollars par mois en 1985-1987, c’était beaucoup d’argent. Les seules personnes que je connaissais qui gagnaient dix mille dollars par mois, quinze mille dollars par mois ou cinquante mille dollars par mois dans les années 80 étaient ces personnes dans cette chose appelée entreprise dans cette industrie appelée assurance et services financiers et investissements. Et j’ai dit : “C’est ma voie.” Et j’ai travaillé dessus jusqu’à ce que je trouve quelque chose qui, je pensais, était plus ma voie, mais devinez ce que j’ai fait ? J’y suis resté suffisamment longtemps pour développer des compétences.
Gil, qu’est-ce que c’est ? C’est comme lorsque vous savez comment mettre en œuvre ces grandes idées que vous avez, et elles fonctionnent…
Le pouvoir transformateur du travail
Salomon a dit : “Tout travail réussit.” Il a dit : “Dans tout labeur, il y a un profit.” Voici la chose : la plupart des gens font l’erreur de penser que parce que cela ne fonctionne pas pour eux, cela ne fonctionne pas. Mais je vous soumets que, même lorsque cela ne fonctionne pas pour vous, cela fonctionne. Cela travaille sur vous. Et voyez-vous, nous devons devenir le genre de personnes pour qui notre travail travaille sur nous jusqu’à ce que nous devenions la personne pour qui cela peut fonctionner. Combien d’entre vous suivent ? Faites-moi signe si vous suivez. D’accord, nous voulons nous assurer de devenir le type de personne pour qui cela peut fonctionner. Cool.
Donc, je vais évaluer, ou je vais examiner mes conclusions. Je vais examiner la validité de mes conclusions. Maintenant, parfois, les conclusions auxquelles je vais parvenir sont très différentes de celles auxquelles quelqu’un d’autre parviendrait dans la même situation que la mienne. Voyez-vous, lorsque j’ai fait ma première vente après un an et demi, et qu’elle était de 125,66 dollars, j’ai conclu : “Je vais devenir riche.” C’est la conclusion à laquelle je suis parvenu. Maintenant, cela semble être une conclusion amusante, n’est-ce pas ? Mais cela a tout son sens pour moi, parce que si je peux le faire, et que je l’ai fait…
Le pouvoir de la persévérance et de l’itération
cela signifie que je peux le refaire. Et si je peux le refaire, je peux le refaire encore et encore. Et si je peux le refaire encore et encore, je peux le refaire encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore et encore. Et si vous empilez suffisamment de 125,66 dollars les uns sur les autres, cela devient beaucoup d’argent. Empilez 125,66 dollars mille fois, c’est 1,2 million de dollars. Dix mille fois, c’est 12 millions de dollars. Un million de fois, c’est 100 millions de dollars. J’ai fait une erreur de calcul là, mais vous avez compris ce que je voulais dire. J’ai réalisé après avoir dit cela, que cela n’avait pas de sens, mais vous avez compris ce que je voulais dire. D’accord, donc arrêtez de me juger. Priez simplement pour moi. D’accord, cool. Mais vous comprenez, vous le faites juste assez de fois.
Et voyez-vous, je sais que lorsque je crois en quelque chose, l’ennui n’existe pas pour moi dans cette arène. Je peux itérer mille fois, dix mille fois, cent mille fois et ne pas m’ennuyer, parce que je ne regarde pas les itérations. Que fais-je ? Je regarde vers Jésus, l’auteur et le consommateur de ma foi. Comment a-t-il enduré les difficultés de sa mission…
Se concentrer sur la joie et les conclusions responsabilisantes
Pour la joie qui était devant lui, il a enduré la croix. Nous endurons les difficultés de notre mission en nous concentrant sur la joie qui est devant nous. Et donc, ce que je fais, c’est que je regarde simplement la journée. Comme, littéralement, je suis sûr que j’ai pratiqué la guitare hier pendant deux heures. Je suis sûr que je l’ai fait. Et tout ce que j’ai pratiqué, ce sont des gammes, une gamme majeure à six cordes en do, face à moi, une gamme majeure à six cordes en do, dos à moi, pendant deux heures. Pas seulement 15 secondes. Pourquoi ? Parce que la joie de pouvoir jouer de la guitare à ce niveau est tellement claire pour moi que peu importe combien d’itérations. Je ne ressens pas la douleur. Je veux dire, je ressens la douleur à mon petit doigt, mais je m’en fiche. Peu importe. Pourquoi ? Parce que la plupart des gens ne savent conclure que de manière dévalorisante. Il faut de l’intention pour en arriver à une conclusion responsabilisante. Et voyez-vous, devinez quoi ? Vous pouvez décider de cela. Vous pouvez décider. Voyez-vous, vous ne pouvez pas décider de ce qui vous arrive. Vous ne pouvez pas décider de ce qui m’arrive. Ce que je peux décider, c’est ce qui se passe après…
Choisir des conclusions responsabilisantes
Sur quoi vais-je me concentrer, que vais-je laisser cela signifier pour moi, et que vais-je faire ensuite ? Je peux décider cela à chaque fois. Je peux décider cela lorsque je fais une offre et que personne ne l’accepte. Je peux décider de ce que cela signifie. Sur quoi vais-je me concentrer ? Que vais-je faire ensuite ? Je peux décider cela lorsque je perds une grosse vente. Je peux décider cela en cas d’accident de voiture. Je peux décider cela si quelqu’un me poursuit en justice. Je peux décider cela si le médecin m’annonce de mauvaises nouvelles. Je peux décider si je perds un être cher. Je peux décider. Je peux toujours décider de ce que cela signifie, de sur quoi je vais me concentrer et de ce que je vais faire ensuite.
Je ne peux pas décider de ce qui m’arrive. Et voyez-vous, la plupart des gens, au lieu de devenir hyper intentionnels à propos des conclusions qu’ils tirent, ce qu’ils feront à la place, c’est qu’ils trouveront simplement une excuse pour dire : “Eh bien, c’est le genre de personne que je suis.” Eh bien, ce n’est pas juste le genre de personne que vous êtes ; c’est juste le genre de personne que vous avez décidé de vous permettre d’être.
Éliminer les excuses et être honnête
J’ai récemment fait une vidéo sur “plus d’excuses”. J’ai appris la leçon la plus précieuse de ma vie sur les excuses de Jésus. Il a demandé à l’homme qui était infirme depuis 38 ans : “Veux-tu être guéri ?” L’homme lui a donné trois excuses : “C’est la faute de tout le monde”, “Je fais de mon mieux” et “D’autres personnes sont meilleures que moi”. À qui cela ressemble-t-il ? Quoi qu’il en soit, zone sans jugement. Mais regardez ceci, Jésus n’a même pas écouté ; il n’en avait même rien à faire. Il l’a ignoré et a dit : “Prends ton lit et marche.”
Mais voici ce que j’ai appris des excuses de Jésus : si je ne les fais pas, je n’ai pas à les prendre. Quelqu’un peut me donner une excuse, et je peux simplement dire : “Non, je ne vais pas le faire parce que je n’en ai pas envie.” Wow, ça serait un peu transparent, n’est-ce pas ? Ça serait un peu honnête, non ? Pas étonnant que Billy Joel disait : “L’honnêteté est un mot si solitaire” parce que les gens ne disent pas la vérité. Ils veulent dire non sans dire non, alors ils disent : “Eh bien, je dois y réfléchir”, alors qu’ils n’ont pas besoin d’y réfléchir ; ils ne veulent tout simplement pas vous dire non. “Je dois en parler à ma femme, à mon mari, à mon voisin d’à côté qui est aussi fauché que moi, à l’attrapeur de chiens, au facteur, au laitier, au livreur UPS…” Vous n’avez à parler à personne ; dites simplement non.
Maintenant, les gens viennent me demander des trucs, et si je ne vais pas le faire, je dis : “Je ne vais pas le faire.” Pourquoi pas ? Parce que je ne veux pas le faire.
Examiner la vertu des conclusions
Examinez la vertu de vos conclusions. La conclusion à laquelle j’aboutis est-elle bonne, ou est-ce simplement celle qui me fait me sentir mieux sur le moment ? Parfois, nous en arrivons à des conclusions pour se venger, ce qui n’est pas une bonne conclusion. Parfois, c’est la meilleure conclusion, mais comment le sais-je ? Je dois examiner la vertu. Je dois examiner la vertu et me demander si je le fais pour de bonnes raisons ou simplement parce que je veux attraper cette personne.
Il y a des conclusions difficiles mais vertueuses, et parfois la vérité est douloureuse. Mais il y a certaines conclusions très difficiles que certains d’entre nous doivent tirer à l’avance pour ne pas avoir à prendre de décisions sur le moment. Le chapitre 4 des Proverbes dit…
Conclusions vertueuses et établissement de limites
Il est essentiel d’examiner la vertu de vos conclusions. Demandez-vous si vos conclusions sont basées sur de bonnes raisons ou si elles servent à vous sentir mieux momentanément. Parfois, nous en venons à des conclusions dans l’intention de se venger, ce qui n’est pas vertueux. D’autres fois, des conclusions difficiles sont vertueuses, et bien qu’elles puissent être douloureuses, elles sont nécessaires.
Le chapitre 4 des Proverbes nous conseille de garder notre cœur avec diligence, car de lui sortent les sources de la vie. Nous devons établir des limites et avoir certaines choses que nous ne ferons sous aucun prétexte. Par exemple, ne pas vouloir blesser ou nuire à quiconque est une limite vertueuse à établir. Cependant, quand il s’agit de protéger ceux que nous aimons, nous devrions être prêts à agir de manière décisive si quelqu’un les menace.
Équilibrer la paix et la préparation
Il est important de trouver un équilibre entre la recherche de la paix et la préparation à un éventuel conflit. Bien que l’objectif soit toujours d’éviter de blesser quelqu’un, il est également essentiel d’être prêt à protéger et à défendre ceux que vous aimez s’ils sont menacés. Dans certaines situations, la confrontation peut être nécessaire pour maintenir la paix et protéger les autres.
Jésus, souvent considéré comme un symbole d’amour et de paix, a également montré une colère juste et a agi lorsqu’il a vu des actes répréhensibles dans le temple. Cela illustre que parfois, la confrontation est nécessaire pour le bien commun.
La clé est de maintenir un équilibre entre la recherche de la paix et la préparation à agir en cas de besoin, sans recourir à la violence inutilement. Être prêt à protéger et à défendre ne signifie pas chercher le conflit, mais cela signifie être prêt à défendre ce qui est juste et équitable lorsque la situation l’exige.
La valeur de vos conclusions doit être testée sur le marché ou auprès de votre public cible. Il ne s’agit pas de savoir si vous accordez personnellement de la valeur à vos idées ; il s’agit de savoir si elles apportent de la valeur aux autres. Si vos conclusions, vos idées ou vos produits peuvent véritablement aider les autres, alors elles ont de la valeur.
Donc, examinez la valeur de vos conclusions en considérant comment elles bénéficient aux autres et si elles répondent à un besoin spécifique ou à un problème sur le marché. Ce changement de perspective peut vous aider à créer des solutions et des idées qui apportent une réelle valeur aux personnes que vous avez l’intention de servir.
De nombreuses personnes ont eu des expériences négatives avec les vendeurs ou ont rencontré des tactiques de vente insistantes ou malhonnêtes qui ont suscité un désamour à l’égard des vendeurs.
Les gens n’aiment souvent pas les vendeurs parce qu’ils supposent que la motivation principale du vendeur est de conclure une vente et de gagner une commission, peu importe si le produit ou le service est vraiment bénéfique pour le client. Cette perception peut créer un sentiment de méfiance et d’inconfort.
Cependant, les professionnels de la vente efficaces se concentrent sur la compréhension des besoins et des désirs de leurs clients potentiels. Ils visent à fournir des solutions qui bénéficient réellement au client et améliorent sa vie. Lorsque les vendeurs se soucient véritablement du bien-être du client et accordent la priorité à ses besoins plutôt qu’à leur désir de conclure une vente, cela peut conduire à une perception plus positive de la vente.
En essence, les vendeurs à succès considèrent le client potentiel comme un individu unique avec des besoins et des préoccupations spécifiques, plutôt que comme une simple cible pour une vente. Cette approche favorise la confiance et peut conduire à des interactions de vente plus réussies et satisfaisantes.
J’aime le défi de la négociation, et j’aime avoir des conversations et marchander. Une de mes choses préférées quand je vais en Israël, c’est de marchander avec les vendeurs de rue. C’est amusant, comme un jeu ou un défi.
Mais j’ai réalisé que quand il s’agit de ventes, tout le monde n’apprécie pas ou n’aime pas le processus de négociation. Certaines personnes veulent simplement une transaction simple et équitable, sans marchandage incessant. Alors, j’ai adapté mon approche en fonction des préférences des personnes à qui je vends.
Dans les ventes, il est essentiel de s’adapter aux besoins et aux préférences de vos clients. Si quelqu’un préfère une transaction simple et équitable, c’est ce que j’essaie de fournir. S’ils aiment la négociation et veulent obtenir la meilleure offre possible, je suis prêt à m’engager dans ce processus avec eux. La clé est de comprendre votre client et d’adapter votre approche en conséquence.
En menant des campagnes de questions et en interagissant avec votre public, vous pouvez découvrir leurs besoins, leurs préférences et leurs problèmes. Vous découvrirez ce qu’ils trouvent précieux et comment ils perçoivent vos produits ou services. Cette information est précieuse lorsque vous personnalisez vos offres et vos stratégies marketing pour mieux répondre à leurs attentes.
N’oubliez pas que les gens veulent acheter des solutions à leurs problèmes ou des produits qui améliorent leur vie. En comprenant leur point de vue et ce qu’ils valorisent, vous pouvez positionner votre entreprise comme le fournisseur de solutions de choix.
Ainsi, les campagnes de questions sont une partie cruciale de vos efforts de recherche de marché et d’engagement client. Elles vous aident à aligner vos offres sur les désirs de vos clients, ce qui se traduit par une augmentation des ventes et de la satisfaction client.
Feedback de l’audience et développement de produits
Lancez votre produit et votre public vous dira tout ce que vous devez inclure dans le produit. Il s’agit d’une campagne de questions (ou Ask campaign en anglais). Je pense qu’Alex Mandossian en a été l’un des précurseurs. Voici comment cela fonctionne : Si vous êtes, par exemple, conseiller en mariage ou coach en relations, posez cette question : “Quel est le plus grand défi que vous rencontrez dans votre mariage ?” Ensuite, demandez aux femmes, à un autre moment : “Quel est le plus grand défi que vous rencontrez dans votre mariage ?” Laissez-les vous le dire, puis prenez toutes ces réponses. Si vous êtes dans le domaine des affaires, demandez : “Quel est le plus grand défi que vous avez en matière de finances ?” Si vous cherchez à développer votre entreprise de manière exponentielle, demandez : “Quel est le plus grand défi que vous avez pour faire croître votre entreprise de 10x ?” Laissez-les vous le dire, et ensuite, prenez toutes ces réponses. Imaginez que vous obteniez 100 réponses, et que vous en obteniez 10 de chaque réponse, ou 20 d’une réponse, 10 d’une autre, 15 d’une autre, 5 d’une autre. Vous prenez simplement ces réponses et vous en faites les titres des chapitres de votre livre ou les titres des modules de votre cours, et vous résolvez ces problèmes. Car maintenant, vous savez que vous résolvez les problèmes qu’ils vous ont révélés, et vous pouvez revenir vers eux en disant : “J’ai créé un programme qui résout ceci, ceci, et ceci. Vous le saviez, n’est-ce pas ?”
Donc, c’est l’examen de la valeur. Vous ne pouvez pas découvrir la valeur pour quelqu’un tant que vous n’avez pas découvert ce qui est précieux pour cette personne. Nous devons donc devenir.
Communication efficace en affaires
Nous devons augmenter le niveau d’empathie que nous avons en affaires, et nous vendrons davantage. Maintenant, voilà la partie “pensez comme un génie”, mais si vous pensez comme un génie et que vous parlez comme un génie, vous allez aliéner le monde. Vous devez penser comme un génie, puis vous devez parler comme un élève de troisième année.
J’ai réalisé qu’il existe une application, un site web où vous pouvez prendre toutes vos conversations de vente. Par exemple, si vous créez une présentation PowerPoint, vous pouvez mettre votre présentation PowerPoint dans ce site web. Vous pouvez y copier-coller tous les mots, et il vous dira le niveau de classe auquel se situe cette présentation. Si vous écrivez un livre, vous pouvez prendre les concepts de ce livre, les mettre dans l’application, les copier-coller, et elle vous dira à quel niveau de classe vous vous adressez.
Dans un livre, vous pouvez vous permettre une communication de niveau cinquième, voire septième, en fonction de votre public. Bien sûr, si vous écrivez pour des docteurs en philosophie, alors faites votre truc ; ils adorent ça, n’est-ce pas ? Et je dis “ils” parce que j’aime vraiment ça aussi. J’aime lire des choses comme ça si c’est lié à ce que j’étudie. Mais en général, vous écrivez un livre pour le marché. Vous écrivez un livre sur le coaching en mariage, sur les ventes, sur le développement des affaires, sur le leadership. Rédigez-le en langage de troisième année ; cela changera la donne.
Communication efficace et connexion avec votre public
Voici une hypothèse en laquelle je crois, qui vous aidera non seulement dans la rédaction et la création de cours, mais aussi dans votre communication en général :
Hypothèse : Au fond de nous, nous sommes tous de grands enfants, et ensuite nous prétendons être des adultes face au monde. C’est l’hypothèse. Nous sommes juste de petits enfants, nous sommes tous comme de petits élèves de troisième année qui courent partout. Au lieu de dire : “Veux-tu jouer avec ma balle ? Je te laisserai jouer avec ma balle si tu me laisses jouer avec ton camion”, ce que nous faisons, c’est : “Hé, je peux résoudre ce problème pour toi”. C’est le même jeu.
Donc, voici contre quoi nous devons lutter : essayer de faire en sorte que l’adulte en moi impressionne l’adulte en vous. C’est le baiser de la mort en vente. C’est le baiser de la mort en impact. C’est le baiser de la mort en coaching. Au lieu d’essayer de faire en sorte que l’adulte en moi impressionne l’adulte en vous, ce qui changera la donne pour vous, c’est lorsque vous permettez au petit enfant en vous de se connecter avec le petit enfant en les personnes à qui vous parlez. Cela change la donne à jamais, c’est un véritable game-changer.
Donc, en ce qui concerne le fait de parler comme un élève de troisième année, vous devez vous exprimer avec simplicité. Maintenant, lorsque vous allez à l’université, si vous obtenez un MBA, si vous voulez obtenir un MBA et que vous rédigez un mémoire, que vous le remettez à votre professeur, et que vous utilisez un mot d’une syllabe quand vous auriez pu utiliser un mot de trois syllabes, ils vous enlèvent des points pour cela. Mais sur le marché, lorsque vous vendez des choses, si vous utilisez un mot de trois syllabes quand vous auriez pu utiliser un mot d’une syllabe, le marché vous enlève des points, et les points sur le marché se traduisent par des dollars.
Communication efficace et surmonter les malentendus
Car si quelqu’un ne comprend pas ce que vous voulez dire, la plupart des gens maintenant, je dirais : “Je ne comprends pas ce que vous voulez dire”, mais la plupart des gens ne le feront pas. La plupart des gens ne diront pas : “Je ne comprends pas ce que vous voulez dire”. Ils feront semblant de comprendre ce que vous voulez dire et désapprouveront simplement. Pourquoi ? Parce que s’ils vous disent : “Je ne comprends pas ce que vous voulez dire”, cela les fait se sentir stupides et les ramène en arrière. Vous comprenez comment vous ne comprenez pas la programmation du système d’éducation erroné et trompeur, alias les camps d’endoctrinement gouvernementaux qui font se sentir stupides les gens qui obtiennent de mauvaises notes.
Alors tout ce que vous avez à faire, c’est revenir à votre enfance. Je ne sais pas ce que vous faisiez à l’école élémentaire. J’ai découvert plus tard que cela ne fonctionnait pas, mais à l’école élémentaire, quand j’avais un F, je le transformais en A avec une gomme avant de montrer mon bulletin à ma mère et à mon père. D’accord, maintenant, je suis probablement jugé, faites ce que vous voulez. Je vous dis simplement que je l’ai fait. J’ai peut-être même appris ça de mon frère aîné, peut-être pas. Quand il regardera ça, je suis sûr qu’il me dira si j’ai appris ça de lui ou s’il l’a appris de moi. Quoi qu’il en soit, j’ai effacé la note que mon professeur avait mise là. Les enfants sont tellement bizarres. D’accord, ouais, d’accord.
Mais souvenez-vous à quel point cela faisait mal quand vous aviez des C et des D et des F sur votre bulletin de notes ? Peut-être que le vôtre n’en avait pas. J’ai réussi à l’école jusqu’à la troisième année. Je n’avais que des A et des B. J’avais peut-être eu un C en écriture jusqu’à la troisième année. Après cela, oh, je suis allé du côté obscur du système de notation, et j’y suis resté. Mais non seulement vous vous sentiriez stupide, mais ensuite vous le ramèneriez à la maison pour le montrer à vos parents, et vous seriez puni. Et ensuite, ils vous feraient passer plus de temps à faire ce qu’on appelle devoir à la maison, mais ce n’est pas du travail à domicile, c’est du travail scolaire. Ils n’ont pas fini d’enseigner à l’école. Il n’y a pas de devoirs de toute façon. Faites votre travail. Je vous paie, non ? Enfin.
Vous voulez me faire sentir mal parce que je ne vais pas réapprendre l’algèbre, que je sais que je n’utilise jamais.
Communication claire et évitement du jargon
Maintenant, je dois aller réapprendre l’algèbre pour pouvoir leur enseigner, donc maintenant nous ne gaspillons pas seulement leur temps, nous les utilisons pour m’aider à gaspiller mon temps pour m’assurer qu’ils gaspillent leur temps pour valider votre diplôme. Je ne le ferai pas, et je vais parler un peu de mon attitude à ce sujet. C’était stupide de toute façon.
Au lieu que les gens disent : “Je ne comprends pas ce que vous voulez dire”, ils diront : “Non, je ne pense pas. Je ne pense pas que je veuille ça.” Ils n’ont aucune idée de ce que vous venez de dire. Vous avez simplement promulgué vos consultations ésotériques et articulé toutes vos sentimentalités superficielles avec toutes les observations amicales, philosophiques et psychologiques, des platitudes, des ponderosités, et vous avez laissé vos évaporations verbales ex tempore démontrer, clarifier, condenser sans compacité ni précédent… J’ai oublié la suite de ces gros mots. Personne ne s’en soucie. Pas de gorille précédent ou de bafflement juvénile précédent. Vous avez fait tout ça, mais personne ne sait ce que vous voulez dire. Mais ils ne vont pas dire : “Je ne sais pas ce que cela signifie.” Ils disent : “Tu sais quoi, maintenant que tu en parles, je ne vais pas le faire.”
Au lieu d’admettre simplement cela, car pour que je dise quelque chose à quelqu’un et que je reconnaisse que je ne sais pas ce que vous voulez dire, non seulement je vous dis que je suis stupide, je vous dis que je sais que vous êtes plus intelligent que moi. Cela n’arrive pas quand vous parlez comme un élève de troisième année. Vous savez pourquoi ? Tout le monde sait ce que vous voulez dire. Ils n’ont pas besoin de faire semblant.
Le site Web dont je parlais plus tôt s’appelle Hemingway App. Maintenant, mon fils a découvert ça. Il a créé un cours intitulé “Persuader comme les présidents”. Il a donc réévalué tous les candidats à la présidence gagnants, de Reagan à Trump, tous, et ensuite Barack Obama. Il a évalué le niveau de scolarité auquel ces présidents s’exprimaient. Il a dit que quand ils parlaient à un niveau de scolarité plus élevé, ils perdaient toujours.
Simplifiez votre communication et engagez votre public
De manière intéressante, juste les trois dont je me souviens : lorsque Barack Obama a gagné, il parlait à un niveau de cinquième à septième année. Donald Trump a gagné à un niveau de troisième à cinquième année. Hillary Clinton a perdu à un niveau de neuvième année. Impressionner les gens ne fonctionne pas. Enfin, ça fonctionne si c’est tout ce que vous voulez. Si c’est le chèque de paie, si vous voulez un chèque de paie pour votre ego, vous ne pourrez pas les encaisser, mais ça vous fait vous sentir bien pendant un petit moment. Si c’est ce que vous voulez, continuez à parler comme ça. Vous voulez vous exprimer avec simplicité. Maintenant, voici comment vous exprimer avec simplicité. Je vais vous donner quelques outils que vous pouvez utiliser.
1. Définissez-le tôt : Commencez dès le début. Qu’est-ce que cela signifie ? Commencez dès le début. Vous devez supposer que lorsque vous parlez à des gens, ils ne savent pas ce que vous voulez dire. Donc, lorsque vous introduisez un nouveau mot ou un nouveau concept, définissez-le tôt. Parce que dès qu’ils entendent un mot qu’ils ne comprennent pas, ils vont probablement bâiller. Comme lorsque vous lisez un livre, que vous lisez un mot que vous ne comprenez pas, vous allez probablement bâiller. Mais la prochaine chose qui se produit, c’est que vous vous désengagez complètement. Parce que tout ce qui se passe après ce mot, ce mot que vous ne comprenez pas la définition, est comme un pont effondré lorsque vous conduisez votre voiture sur la route. Peu importe les mots qui viennent après ce mot, peu importe combien de route vient après ce pont. Si le pont est effondré, le pont est effondré, et toute la conversation s’effondre. Vous devez donc toujours commencer dès le début lorsque vous utilisez un mot, introduisez un mot ou un concept, définissez-le toujours dès le début. L’un des plus grands problèmes des gens intelligents, c’est qu’ils sont les seuls à savoir ce qu’ils veulent dire, et c’est difficile. Parler comme un élève de troisième année quand on pense comme un génie demande plus de travail, mais je vous promets que ça en vaut la peine.
2. Montrez où vous allez : La pire façon de commencer est par une blague idiote. Laissez-moi vous donner ma définition d’une blague idiote : n’importe quelle blague avec laquelle vous commencez votre présentation. Parce qu’un tiers de l’audience va la comprendre et rire, un tiers de l’audience ne la comprendra pas et sera confus, et l’autre tiers sera offensé. Ne commencez pas votre discours par une blague idiote. Définition d’une blague idiote : n’importe quelle blague avec laquelle vous commencez votre présentation.
L’utilisation efficace des questions pour susciter l’engagement
Au lieu de cela, commencez par deux questions engageantes parce que les questions sont la réponse. En fait, toute conversation de vente serait meilleure si vous la commenciez avec deux questions engageantes ou non engageantes, des questions d’adhésion. Disons que je fais du conseil matrimonial et que je veux vendre. Il y a beaucoup de conseillers conjugaux là-bas. D’accord, combien d’entre vous aimeraient aimer davantage et se disputer moins dans votre mariage ? Laissez-moi vous entendre dire oui. Oui. D’accord, certains d’entre vous s’en fichent ; vous voulez vous disputer plus et aimer moins. D’accord, faites comme bon vous semble.
D’accord, et ensuite, je dis : “Il semble que vous n’ayez pas compris la question. Combien d’entre vous dans votre mariage veulent aimer plus et se disputer moins ? Laissez-moi vous entendre dire oui.” D’accord, excellent. Combien d’entre vous sont prêts à faire ce qu’il faut, même si c’est difficile, pour pouvoir aimer plus et se disputer moins ? Si c’est vous, laissez-moi vous entendre dire, “C’est moi.” Excellent. Donnez-vous une main pour être ici aujourd’hui. Donc, je leur ai dit en leur demandant ce qu’ils allaient apprendre. Ils vont apprendre comment aimer plus et se disputer moins dans leur mariage.
Si je vais enseigner aux gens comment écrire des livres à succès, combien d’entre vous aimeraient devenir l’auteur d’un best-seller dont vous êtes l’éditeur ? Laissez-moi vous entendre dire, “J’aimerais.” Excellent. Quand je vais vous apprendre comment le faire, combien d’entre vous sont prêts à suivre toutes les étapes ? Laissez-moi vous entendre dire, “Je le suis.” Excellent. Donnez-vous une main. Vous voyez, tout ce que j’ai fait, c’est montrer où je vais en posant deux questions d’adhésion parce qu’ils ont dit qu’ils voulaient le résultat que je sais pouvoir leur donner.
Vous suivez ? D’accord, et puis la dernière partie de parler comme un élève de troisième année, et j’y reviendrai un peu plus tard.
Le pouvoir de la narration dans la communication
Parlez comme un élève de troisième année, racontez votre chemin à travers chaque conversation. Racontez, racontez votre chemin à travers la conversation. Que veut dire raconter votre chemin ? Vous voulez raconter l’histoire d’une transformation de quelqu’un que la personne à qui vous parlez peut comprendre. Racontez l’histoire de quelqu’un qui était là où ils en sont, mais qui est maintenant là où cette personne à qui vous parlez aimerait être. Et vous racontez votre chemin à travers la présentation.
Pour reprendre les mots de mon bon ami Andy Enriquez, qui est un coach en narration, il dit : “Ne faites jamais un point sans raconter une histoire, et ne racontez jamais une histoire sans faire un point.” Et si vous faites ces choses dont nous avons parlé dans la première vidéo et dans cette vidéo, vous penserez comme un génie, parlerez comme un élève de troisième année. Vous serez peut-être moins impressionnant, mais vous serez bien plus impactant.
Merci d’avoir regardé. Salut les scouts, passez une excellente journée.