RÉSUMÉ DE LA VIDÉO
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Guide étape par étape
Étape 1 : Informations de base
Description :
Commencez par comprendre le contexte et l’histoire de Paul Orfila, y compris son parcours depuis la création de Kinkos jusqu’à sa vente pour des milliards.Mise en œuvre :
- Commencez par faire des recherches et rassembler des informations sur Paul Orfila, son rôle dans la création de Kinkos et la vente ultérieure de l’entreprise.
- Identifiez les étapes clés et les événements de son parcours entrepreneurial.
Détails spécifiques :
- Paul Orfila est le fondateur de Kinkos, une entreprise qu’il a vendue pour des milliards de dollars.
- La vente de Kinkos a eu lieu en 1997 à une entreprise de New York, qui l’a ensuite revendue à FedEx pour 2,6 milliards de dollars.
Étape 2 : Questions et défis initiaux
Description :
Comprenez les questions et les défis initiaux auxquels Paul a été confronté, tels que ses attentes, ses motivations et les problèmes juridiques survenus après l’achat d’un avion.Mise en œuvre :
- Explorez les questions auxquelles Paul Orfila a été confronté, comme son année de revenus la plus élevée et comment il a dépensé l’argent.
- Étudiez les défis juridiques auxquels il a été confronté lorsque l’industrie de l’édition l’a poursuivi en justice après l’achat de l’avion.
Détails spécifiques :
- Au départ, Paul a dû répondre à des questions sur son année de revenus la plus élevée et sur la manière dont il a dépensé son argent, y compris l’achat d’un avion.
- L’industrie de l’édition aux États-Unis l’a poursuivi en justice après l’achat de l’avion.
Étape 3 : Motivation et philosophie d’entreprise
Description :
Plongez dans les motivations de Paul et sa philosophie d’entreprise, y compris l’équilibre entre aimer son entreprise et ne pas la laisser vous posséder.Mise en œuvre :
- Explorez les motivations de Paul pour être dans le monde des affaires.
- Comprenez sa philosophie selon laquelle l’entreprise ne doit pas vous posséder, mais que vous devez la posséder.
Détails spécifiques :
- Paul a mentionné qu’il était dans les affaires pour l’argent, mais que les hommes d’affaires ne devraient pas se laisser posséder par leur entreprise.
- Équilibrer la passion pour les affaires tout en maintenant le contrôle est un aspect clé de sa philosophie.
Étape 4 : Vente de Kinkos
Description :
Apprenez-en davantage sur la vente de Kinkos à une entreprise de New York et les changements et les défis qui ont suivi pour Paul.Mise en œuvre :
- Investiguez les détails de la vente de Kinkos à l’entreprise de New York.
- Comprenez les conséquences de la vente, y compris le départ de Paul de l’entreprise.
Détails spécifiques :
- Kinkos a été vendue à une entreprise de New York, qui l’a ensuite revendue à FedEx pour 2,6 milliards de dollars.
- Paul a mentionné qu’il ne possédait plus une partie de l’entreprise après la vente.
Étape 5 : Devenir milliardaire et philanthropie
Description :
Explorez comment Paul Orfila est devenu milliardaire et sa démarche en matière de philanthropie.Mise en œuvre :
- Comprenez l’aspect financier de devenir milliardaire grâce à la vente de Kinkos.
- Apprenez-en davantage sur les efforts philanthropiques de Paul et sur la manière dont il a donné une part importante de sa richesse.
Détails spécifiques :
- Paul a mentionné qu’il était devenu milliardaire après avoir vendu Kinkos pour environ un milliard et demi de dollars.
- Il a souligné son engagement à donner son argent à des fins caritatives.
Étape 6 : Conclusion
Description :
Résumez les points clés de l’histoire de Paul Orfila, y compris son parcours depuis la création de Kinkos jusqu’à devenir milliardaire et ses efforts philanthropiques.Mise en œuvre :
- Fournissez un résumé concis des points principaux de l’histoire à succès de Paul Orfila.
- Mettez en évidence les leçons qui peuvent être tirées de ses expériences.
Détails spécifiques :
- Le parcours de Paul Orfila, depuis la création de Kinkos jusqu’à sa vente pour des milliards et ses efforts philanthropiques, constitue un exemple inspirant d’entrepreneuriat et de retour à la société.
Étape 7 : Attitude envers les biens et la richesse
Description :
Explorez l’attitude de Paul Orfila envers les biens et la richesse, y compris ses sentiments de culpabilité et sa perspective sur le fait d’être un “maniaque de la possession”.Mise en œuvre :
- Comprenez les sentiments de culpabilité de Paul liés à l’accumulation de richesse et de biens.
- Discutez de sa position sur le fait de ne pas être un “maniaque de la possession”.
Détails spécifiques :
- Paul a mentionné qu’il ressentait de la culpabilité liée à l’accumulation de richesse et de biens.
- Malgré les apparences, il a souligné qu’il n’était pas un “maniaque de la possession”.
Étape 8 : Approche de la création de richesse
Description :
Apprenez-en davantage sur l’approche de Paul pour gagner de l’argent, y compris son accent sur l’épargne et ses premières difficultés en matière de lecture.Mise en œuvre :
- Explorez comment la mentalité d’épargne de Paul a joué un rôle crucial dans son approche de la création de richesse.
- Comprenez sa perspective sur l’importance du succès financier grâce à l’épargne.
Détails spécifiques :
- Paul a mentionné qu’il avait eu des difficultés en lecture pendant ses années d’école.
- Il a souligné qu’il se concentrait sur l’épargne et sur la manière de la gérer efficacement.
Étape 9 : Stratégies d’investissement
Description :
Plongez dans les stratégies d’investissement de Paul, y compris ses investissements en actions, en actions et en immobilier.Mise en œuvre :
- Comprenez la répartition des investissements de Paul dans différents actifs tels que les actions, les actions et l’immobilier.
- Explorez les raisons derrière ses choix d’investissement à différentes étapes de sa carrière.
Détails spécifiques :
- Paul a diversifié ses investissements, en mettant l’accent sur les actions, les actions et l’immobilier.
- Il a discuté de l’importance de disposer d’instruments liquides tels que les actions et les obligations, ainsi que de biens immobiliers payés.
Étape 10 : Croissance de l’entreprise
Description :
Apprenez-en davantage sur l’approche de Paul pour transformer Kinko’s d’un simple magasin en une entreprise valant des milliards de dollars.Mise en œuvre :
- Comprenez les stratégies et les actions que Paul a prises pour faire passer Kinko’s d’un simple magasin à une entreprise valant des milliards de dollars.
- Explorez sa mentalité en matière d’amélioration continue et de délégation.
Détails spécifiques :
- Kinko’s est passé d’un simple magasin à une entreprise valant plusieurs milliards de dollars pendant la période de Paul.
- Paul a souligné qu’il se concentrait sur l’amélioration quotidienne de l’entreprise et qu’il avait mis en place des systèmes pour la gérer efficacement.
Étape 11 : Attitude entrepreneuriale
Description :
Explorez l’attitude de Paul envers l’entrepreneuriat et la création d’une entreprise prospère.Mise en œuvre :
- Discutez de la perspective de Paul sur la progression naturelle de l’entrepreneuriat et du succès en affaires.
- Mettez en avant l’importance de la cohérence et de l’amélioration pour atteindre les objectifs entrepreneuriaux.
Détails spécifiques :
- Paul a suggéré que devenir un entrepreneur prospère est un processus graduel, tout comme passer de l’enfance à l’âge adulte.
- Il a souligné que les efforts quotidiens pour améliorer les choses ont contribué au succès de Kinko’s.
Étape 12 : Conclusion
Description :
Résumez les points clés de la deuxième partie de l’histoire à succès de Paul Orfila, en mettant l’accent sur sa mentalité, ses stratégies d’investissement et son approche de la croissance de l’entreprise.Mise en œuvre :
- Fournissez un résumé concis des principaux points discutés dans cette partie de l’histoire de Paul Orfila.
- Réitérez les leçons qui peuvent être tirées de ses expériences en entrepreneuriat et en gestion de la richesse.
Détails spécifiques :
- Le parcours de Paul Orfila, de l’approche axée sur l’épargne à celle d’entrepreneur prospère et de gestionnaire de richesse, constitue un exemple inspirant de succès financier et de croissance en affaires.
Étape 13 : Stratégie d’expansion en franchise
Description :
Explorez la stratégie de Paul Orfila pour développer Kinko’s grâce à l’ouverture de franchises et l’importance de la délégation.Mise en œuvre :
- Comprenez comment Paul a développé Kinko’s en ouvrant de multiples magasins en franchise.
- Discutez de l’importance de la délégation dans la gestion d’une franchise en croissance.
Détails spécifiques :
- Paul a mentionné qu’ouvrir de nombreux magasins de photocopieurs était un excellent moyen de faire fortune.
- Il a souligné l’importance de déléguer des responsabilités et de ne pas essayer de tout faire soi-même.
Étape 14 : Confort face à l’ambiguïté
Description :
Apprenez-en davantage sur le confort de Paul face à l’ambiguïté dans la prise de décisions commerciales et sur le rôle de la microéconomie dans la prise de décisions marginales.Mise en œuvre :
- Comprenez l’attitude de Paul face à la gestion de l’ambiguïté en affaires.
- Discutez du concept de prise de décisions marginales en affaires et de sa relation avec la microéconomie.
Détails spécifiques :
- Paul a mentionné qu’il était toujours à l’aise avec l’ambiguïté dans les décisions commerciales.
- Il a souligné que les décisions commerciales impliquent souvent des choix marginaux et que les dirigeants ou les propriétaires prennent ces décisions quotidiennement.
Étape 15 : Attentes et propriété d’entreprise
Description :
Explorez les attentes de Paul dès le début de son parcours en affaires et sa perspective sur la propriété d’entreprise.Mise en œuvre :
- Comprenez les attentes initiales de Paul lorsqu’il a commencé Kinko’s.
- Discutez de sa philosophie selon laquelle une entreprise est un instrument pour vous rendre heureux, et vous en êtes propriétaire plutôt qu’elle ne vous possède.
Détails spécifiques :
- Paul a commencé Kinko’s en se concentrant sur la réalisation de bénéfices, et il a considéré l’entreprise à vendre dès le début.
- Il a souligné que les propriétaires d’entreprise ne devraient pas laisser l’entreprise les posséder, mais devraient en maintenir la propriété et l’objectivité.
Étape 16 : Compétition sur le marché
Description :
Apprenez comment Paul a distingué Kinko’s dans un marché concurrentiel et quelles stratégies il a employées pour devenir une entreprise valant des milliards de dollars.Mise en œuvre :
- Explorez l’approche de Paul pour distinguer Kinko’s de ses concurrents sur le marché.
- Comprenez les stratégies et les expérimentations qu’il a utilisées pour réussir dans un environnement concurrentiel.
Détails spécifiques :
- Paul a mentionné qu’il avait expérimenté des stratégies pour distinguer Kinko’s de ses concurrents.
- Il a discuté de son faible coût marginal et de sa capacité à s’adapter et à concurrencer sur le marché.
Étape 17 : Conclusion
Description :
Résumez les points clés de cette partie de l’histoire à succès de Paul Orfila, en mettant l’accent sur sa stratégie d’expansion, son confort face à l’ambiguïté, sa philosophie d’entreprise et son avantage concurrentiel.Mise en œuvre :
- Fournissez un résumé concis des principaux points discutés dans cette partie de l’histoire de Paul Orfila.
- Réitérez les leçons qui peuvent être tirées de ses expériences en matière de gestion d’entreprise et de croissance.
Détails spécifiques :
- Le parcours de Paul Orfila, de l’expansion de Kinko’s grâce à des franchises à la compétition réussie dans un marché dynamique, offre des perspectives précieuses sur la gestion et la croissance d’entreprise.
Étape 18 : Prise de décisions commerciales
Description :
Explorez l’approche de Paul Orfila pour prendre des décisions commerciales, les défis liés aux critiques et ses efforts pour instaurer la prise de risque dans la culture de l’entreprise.Mise en œuvre :
- Comprenez l’approche de Paul en matière de prise de décisions, y compris l’importance de la prise de risque.
- Discutez des défis de la gestion d’une entreprise en traitant des critiques et des retours d’information.
Détails spécifiques :
- Paul a mentionné les difficultés à instaurer la prise de risque dans la culture d’entreprise, en particulier au niveau de la direction exécutive.
- Il a reconnu l’importance des critiques commerciales et de la manière dont elles peuvent devenir punitives.
Étape 19 : Année de revenus record
Description :
Découvrez l’année de revenus record de Paul lorsqu’il était à la tête de Kinko’s, ainsi que la gamme diversifiée de services proposés par l’entreprise.Mise en œuvre :
- Découvrez l’année de revenus record pendant le mandat de Paul chez Kinko’s.
- Explorez les différents services offerts par Kinko’s, notamment la vente de papier, les copies, les impressions, les affiches, les fournitures de bureau et le traitement de films.
Détails spécifiques :
- Paul a mentionné que l’année de revenus record pendant son séjour chez Kinko’s était d’environ 3 milliards de dollars.
- Il a énuméré les divers services offerts par l’entreprise, qui ont contribué à ses revenus.
Étape 20 : Expériences réussies
Description :
Découvrez certaines des expériences que Paul a appréciées pendant son séjour chez Kinko’s, qu’elles aient fonctionné ou non.Mise en œuvre :
- Explorez certaines des expériences que Paul a trouvées agréables et réussies.
- Discutez des expériences qui n’ont pas fonctionné comme prévu.
Détails spécifiques :
- Paul a mentionné des expériences telles que la création de calendriers à partir de copies en couleur et l’extension des services de manuels scolaires.
- Mettez en évidence les expériences réussies spécifiques dont il a parlé.
Étape 21 : Statut de milliardaire et humilité
Description :
Comprenez la perspective de Paul Orfila sur le fait de devenir milliardaire et son approche de l’humilité et du fait de ne pas se vanter de sa richesse.Mise en œuvre :
- Explorez la réponse de Paul à la question de savoir si quelqu’un peut devenir milliardaire.
- Discutez de son attitude à l’égard du fait de ne pas se vanter de sa richesse et du concept du “mauvais œil”.
Détails spécifiques :
- Paul a précisé qu’il n’était pas milliardaire et a souligné son attitude humble envers la richesse.
- Il a discuté de l’importance de ne pas se vanter ou d’étaler sa richesse pour éviter la jalousie et le “mauvais œil”.
Étape 22 : Soulagement et responsabilité
Description :
Découvrez comment Paul s’est senti après avoir vendu Kinko’s et le soulagement qu’il a ressenti en se déchargeant de la responsabilité.Mise en œuvre :
- Comprenez la réaction émotionnelle de Paul à la vente de Kinko’s et le soulagement qu’elle a apporté.
- Discutez de sa perspective évolutive sur la responsabilité et comment elle est passée de quelque chose de cool à quelque chose de contraignant.
Détails spécifiques :
- Paul a exprimé qu’il se sentait très bien après avoir vendu Kinko’s et s’être déchargé de ses problèmes financiers.
- Il a expliqué comment la responsabilité était passée d’une chose cool lorsqu’il était plus jeune à quelque chose de contraignant à mesure qu’il vieillissait.
Étape 23 : Conclusion
Description :
Résumez les points clés de cette partie de l’histoire à succès de Paul Orfila, en mettant l’accent sur ses décisions commerciales, ses revenus, ses expériences, son humilité et le soulagement de la vente de Kinko’s.Mise en œuvre :
- Fournissez un résumé concis des principaux points abordés dans cette partie de l’histoire de Paul Orfila.
- Répétez les leçons pouvant être tirées de ses expériences en matière d’entrepreneuriat, de gestion de la richesse et de leadership commercial.
Détails spécifiques :
- Le parcours de Paul Orfila met en lumière la complexité de la prise de décision commerciale, la diversité des services offerts par Kinko’s et l’importance de l’humilité dans la gestion du succès.
Étape 24 : L’impact de la liquidité
Description :
Explorez l’impact de la liquidité et de la stabilité financière sur la vie de Paul Orfila après la vente de Kinko’s.Mise en œuvre :
- Comprenez comment la liquidité et la stabilité financière ont facilité la vie de Paul.
- Discutez de ses expériences avec la pression financière au cours de son parcours entrepreneurial.
Détails spécifiques :
- Paul a exprimé que la liquidité et le fait de ne pas avoir à se soucier de payer les factures ont eu un impact positif sur sa vie.
- Il a réfléchi aux pressions financières auxquelles il a été confronté au cours de son parcours entrepreneurial.
Étape 25 : Financement et confiance
Description :
Découvrez l’approche de Paul en matière de financement et sa méfiance à l’égard des investisseurs en groupe ou des capitalistes de risque.Mise en œuvre :
- Comprenez comment Paul a financé la croissance de Kinko’s sans financement externe.
- Discutez de ses réserves quant à travailler avec des investisseurs en groupe et des capitalistes de risque.
Détails spécifiques :
- Paul a souligné qu’il avait étendu Kinko’s en utilisant des capitaux internes et n’avait jamais pris d’argent extérieur.
- Il a exprimé une défiance envers les investisseurs en groupe et leur potentiel pour prendre le contrôle d’une entreprise.
Étape 26 : Équilibre entre travail et santé
Description :
Explorez la perspective de Paul Orfila sur l’équilibre entre travail et vie personnelle, l’impact du dur labeur et s’il aurait souhaité travailler moins.Mise en œuvre :
- Comprenez l’attitude de Paul envers l’équilibre entre travail et santé personnelle.
- Discutez s’il aurait souhaité travailler moins d’heures au cours de son parcours entrepreneurial.
Détails spécifiques :
- Paul a évoqué les défis de maintenir un équilibre entre travail et vie personnelle, ainsi que le tribut que le dur labeur a eu sur sa santé.
- Il a réfléchi sur le stress physique et émotionnel causé par ses activités entrepreneuriales.
Étape 27 : Regrets et gratitude
Description :
Découvrez les regrets de Paul et l’importance d’exprimer sa gratitude envers les personnes avec lesquelles il a travaillé.Mise en œuvre :
- Comprenez les regrets de Paul, en particulier en ce qui concerne le fait de ne pas avoir exprimé suffisamment de gratitude.
- Discutez de l’importance de montrer de la reconnaissance envers les collègues et les membres de l’équipe.
Détails spécifiques :
- Paul a exprimé des regrets de ne pas avoir remercié suffisamment ses collègues et ses gestionnaires au cours de son parcours entrepreneurial.
- Il a reconnu la pression qu’il subissait à l’époque, ce qui rendait difficile l’expression de la gratitude.
Étape 28 : En valait-il la peine ?
Description :
Explorez si Paul pense que son parcours entrepreneurial en valait la peine malgré tout le dur labeur, la pression et les défis.Mise en œuvre :
- Comprenez le point de vue rétrospectif de Paul sur la valeur de son parcours entrepreneurial malgré les sacrifices.
- Discutez de son évaluation des choix qu’il avait dans la vie.
Détails spécifiques :
- Paul a réfléchi à son parcours, y compris à ses luttes avec la lecture et les défis académiques.
- Il a partagé sa conviction qu’il avait deux choix dans la vie : là où il est maintenant ou l’itinérance, compte tenu de ses difficultés d’apprentissage.
Étape 29 : Conseils aux futurs entrepreneurs
Description :
Découvrez les conseils de Paul Orfila pour les personnes qui débutent et aspirent à devenir entrepreneurs.Mise en œuvre :
- Explorez les conseils et les idées que Paul offre aux futurs entrepreneurs.
- Discutez de l’importance de l’introspection avant de se lancer dans un parcours entrepreneurial.
Détails spécifiques :
- Les conseils de Paul pour les futurs entrepreneurs impliquent une introspection et la compréhension de sa véritable vocation.
Étape 30 : Conclusion
Description :
Résumez les points clés de cette partie de l’histoire à succès de Paul Orfila, en mettant l’accent sur l’impact de la liquidité, du financement, de l’équilibre entre travail et vie personnelle, des regrets et de ses conseils aux futurs entrepreneurs.Mise en œuvre :
- Fournissez un résumé concis des principaux points abordés dans cette partie de l’histoire de Paul Orfila.
- Répétez les leçons qui peuvent être tirées de ses expériences dans l’entrepreneuriat et la vie après la vente de Kinko’s.
Détails spécifiques :
- Les insights de Paul Orfila offrent une vision réaliste de l’entrepreneuriat, mettant en avant les défis et la nécessité de l’humilité dans la réussite.
Étape 31 : La réalité de l’entrepreneuriat
Description :
Explorez les perspectives franches de Paul Orfila sur la réalité de l’entrepreneuriat, notamment les nuits sans sommeil et l’incertitude.Mise en œuvre :
- Comprenez la perspective de Paul sur les défis de l’entrepreneuriat.
- Discutez de l’importance de l’autoréflexion et de la détermination pour les futurs entrepreneurs.
Détails spécifiques :
- Paul souligne que l’entrepreneuriat implique des nuits sans sommeil et de l’incertitude.
- Il encourage les individus à évaluer leur détermination et leur désir avant de se lancer dans ce parcours.
Étape 32 : L’art imparfait des affaires
Description :
Découvrez la vision de Paul sur les affaires comme une forme d’art et la quête perpétuelle de l’amélioration.Mise en œuvre :
- Comprenez comment Paul voit les affaires comme une forme d’art.
- Discutez du concept d’amélioration continue et de la non-atteinte de la perfection dans les affaires.
Détails spécifiques :
- Paul compare les affaires à l’art, où il y a toujours place à l’amélioration.
- Il souligne que la perfection est insaisissable dans les affaires et qu’il y a toujours quelque chose qui peut être fait mieux.
Étape 33 : Le premier emploi de Paul
Description :
Découvrez la première expérience entrepreneuriale de Paul Orfila et les leçons qu’il en a tirées.Mise en œuvre :
- Explorez la première entreprise entrepreneuriale de Paul, qui consistait à vendre des fraises de porte à porte.
- Discutez de la valeur de l’expérience de vente acquise dès le plus jeune âge.
Détails spécifiques :
- Le premier emploi de Paul impliquait l’achat de fraises et leur vente de porte à porte à l’âge de neuf ans.
- Il partage qu’il avait toujours un don pour les ventes de porte à porte.
Étape 34 : Fierté contre vantardise
Description :
Comprenez la perspective de Paul sur la fine ligne entre être fier de ses réalisations et être vantard.Mise en œuvre :
- Explorez la superstition de Paul à propos de ne pas se prendre trop au sérieux.
- Discutez de l’équilibre entre la fierté authentique et l’arrogance dans la discussion des réalisations.
Détails spécifiques :
- Paul exprime sa nature superstitieuse à ne pas se prendre trop au sérieux.
- Il partage qu’il préfère éviter de se vanter de ses réalisations et maintenir son humilité.
Étape 35 : Conclusion
Description :
Résumez les points clés de cette partie de l’histoire à succès de Paul Orfila, en mettant l’accent sur les réalités de l’entrepreneuriat, l’imperfection des affaires et l’importance de l’humilité.Mise en œuvre :
- Fournissez un résumé concis des principaux points abordés dans cette partie de l’histoire de Paul Orfila.
- Répétez les leçons qui peuvent être tirées de ses expériences et de ses perspectives sur l’entrepreneuriat.
Détails spécifiques :
- Les insights de Paul Orfila offrent une vue réaliste de l’entrepreneuriat, mettant en avant les défis et la nécessité de l’humilité dans la réussite.
Étape 36 : Apprendre des revers
Description :
Explorez les expériences de Paul Orfila avec les revers et comment ils ont influencé son approche des affaires.Mise en œuvre :
- Comprenez l’histoire du procès de l’industrie de l’édition contre Paul et comment cela l’a affecté.
- Discutez de l’importance de ne pas se prendre trop au sérieux et d’apprendre des revers.
Détails spécifiques :
- Paul partage un incident où l’industrie de l’édition aux États-Unis l’a poursuivi peu de temps après qu’il se sentait confiant dans son succès.
- Met en avant la leçon de ne pas devenir trop complaisant et de rester humble dans les affaires.
Étape 37 : L’équilibre entre confiance et humilité
Description :
Plongez dans le concept de l’équilibre entre confiance et humilité dans l’entrepreneuriat.Mise en œuvre :
- Explorez le parcours de Paul, de l’insécurité à une approche prudente.
- Discutez de l’importance d’avoir confiance tout en restant conscient des vulnérabilités potentielles.
Détails spécifiques :
- Paul décrit ses premières insécurités et comment il évaluait constamment ses faiblesses stratégiques.
- Mettez en avant la valeur de la confiance tempérée par une conscience humble des défis potentiels.
Étape 38 : Rester concentré sur les améliorations
Description :
Découvrez comment Paul maintenait une attention vigilante pour identifier et résoudre les faiblesses de son entreprise.Mise en œuvre :
- Comprenez comment la perspective de Paul consistant à rechercher constamment les faiblesses a contribué à son succès.
- Discutez des avantages d’une mentalité vigilante et axée sur l’amélioration dans l’entrepreneuriat.
Détails spécifiques :
- Le point de vue de Paul consistait toujours à regarder les faiblesses de son entreprise et les menaces potentielles des concurrents.
- Met en avant l’importance de l’amélioration continue dans les affaires.
Étape 39 : Adopter l’humilité dans la réussite
Description :
Discutez du rôle de l’humilité dans la réalisation et le maintien du succès dans l’entrepreneuriat.Mise en œuvre :
- Explorez comment l’humilité peut être une qualité précieuse pour le succès à long terme.
- Discutez de l’équilibre entre la confiance et l’humilité dans la construction d’une entreprise résiliente.
Détails spécifiques :
- Le parcours de Paul met en avant le rôle de l’humilité dans sa capacité à naviguer les défis et les revers.
- Encouragez les futurs entrepreneurs à embrasser l’humilité en tant composante essentielle de leur parcours entrepreneurial.
Étape 40 : Conclusion
Description :
Résumez les points clés de cette partie de l’histoire à succès de Paul Orfila, en mettant l’accent sur l’importance de tirer des leçons des revers, de trouver un équilibre entre confiance et humilité, de rester concentré sur l’amélioration et d’adopter l’humilité dans la réussite.Mise en œuvre :
- Fournissez un résumé concis des principaux points abordés dans cette partie de l’histoire de Paul Orfila.
- Répétez les leçons qui peuvent être tirées de ses expériences et de ses perspectives sur l’humilité dans l’entrepreneuriat.
Détails spécifiques :
- Les insights de Paul Orfila offrent des leçons précieuses sur le maintien de l’humilité tout en naviguant dans les hauts et les bas de l’entrepreneuriat.
- Encouragez les entrepreneurs à trouver un équilibre entre la confiance et l’humilité pour favoriser le succès à long terme.
Étape 41 : Comprendre les magasins réussis
Description :
Explorez les facteurs qui ont contribué au succès d’un magasin selon la perspective de Paul Orfila.Mise en œuvre :
- Discutez de l’importance de bons gestionnaires dans la gestion de magasins réussis.
- Explorez le rôle de la morale des employés et de la responsabilité du gestionnaire dans son maintien.
Détails spécifiques :
- Paul souligne que les magasins réussis étaient souvent centrés sur le gestionnaire, et la morale et le leadership du gestionnaire jouaient un rôle crucial.
- Mettez en avant l’impact de l’attitude et de l’approche d’un gestionnaire sur l’atmosphère et la performance globale du magasin.
Étape 42 : Identifier les gestionnaires performants
Description :
Approfondissez la capacité de Paul à identifier les gestionnaires performants et les qualités qu’il recherchait en eux.Mise en œuvre :
- Explorez les qualités et les caractéristiques que Paul considérait comme faisant un bon gestionnaire.
- Discutez de l’importance de la perspective du gestionnaire dans la création d’un environnement de magasin propre et organisé.
Détails spécifiques :
- Paul mentionne que les qualités d’un gestionnaire performant étaient quelque peu éthérées, mais il pouvait les ressentir en observant le magasin et ses employés.
- Met en avant l’importance du leadership, de la propreté et de la proportionnalité dans le succès global d’un magasin.
Étape 43 : Focus opérationnel
Description :
Discutez du passage de Paul d’une entreprise opérationnelle à une entreprise de vente et des défis auxquels il a été confronté lors de cette transition.Mise en œuvre :
- Expliquez le désir de Paul de transformer Kinko’s d’une entreprise opérationnelle en une entreprise de vente.
- Explorez les frustrations et les défis qu’il a rencontrés lors de cette transformation.
Détails spécifiques :
- L’objectif de Paul était de prioriser la vente tout en maintenant l’efficacité opérationnelle.
- Met en avant les difficultés et les luttes internes auxquelles il a été confronté lors de la mise en place d’un changement aussi important dans la culture et la focalisation de l’entreprise.
Étape 44 : Diversification dans d’autres entreprises
Description :
Découvrez les ventures de Paul Orfila dans diverses autres entreprises en dehors de Kinko’s.Mise en œuvre :
- Discutez des expériences de Paul dans le démarrage et la gestion de différentes entreprises.
- Explorez la variété des ventures auxquelles il s’est engagé et leurs résultats.
Détails spécifiques :
- Paul mentionne brièvement qu’il a ouvert des cafés et d’autres entreprises, laissant entendre son esprit entrepreneurial.
- Encouragez une discussion sur la diversification des intérêts commerciaux et l’importance de l’adaptabilité dans l’entrepreneuriat.
Étape 45 : Persévérance entrepreneuriale
Description :
Mettez en avant la persévérance de Paul Orfila en tant qu’entrepreneur et sa volonté d’explorer différentes opportunités commerciales.Mise en œuvre :
- Discutez du concept de persévérance dans l’entrepreneuriat.
- Met en avant l’importance d’être ouvert aux nouvelles opportunités et d’apprendre de différentes ventures.
Détails spécifiques :
- La volonté de Paul d’explorer différentes entreprises témoigne de son esprit entrepreneurial et de son adaptabilité.
- Encouragez les futurs entrepreneurs à rester persévérants et ouverts à la diversification de leurs intérêts commerciaux.
Étape 46 : Conclusion
Description :
Résumez les points clés de cette partie de l’histoire à succès de Paul Orfila, en mettant l’accent sur les qualités des gestionnaires performants, la transition d’une entreprise opérationnelle à une entreprise de vente, la diversification dans d’autres entreprises et l’importance de la persévérance entrepreneuriale.Mise en œuvre :
- Fournissez un résumé concis des principaux points abordés dans cette partie de l’histoire de Paul Orfila.
- Répétez les leçons qui peuvent être tirées de ses expériences et de ses perspectives sur la gestion de magasins réussis et l’adaptabilité entrepreneuriale.
Détails spécifiques :
- Les insights de Paul Orfila offrent des leçons précieuses sur la reconnaissance des gestionnaires performants, la conduite du changement culturel et l’adoption de la diversification en tant qu’entrepreneur.
- Encouragez les entrepreneurs à prioriser les qualités de leadership, à s’adapter aux circonstances changeantes et à persévérer dans leur parcours entrepreneurial.
Étape 47 : Le rôle de la chance dans le succès
Description :
Explorez la perspective de Paul Orfila sur le rôle de la chance dans la vie et le succès en affaires.Mise en œuvre :
- Discutez de la croyance de Paul selon laquelle la chance joue un rôle significatif dans la vie d’une personne.
- Explorez des exemples spécifiques ou des expériences dans lesquelles la chance a joué un rôle crucial dans le parcours entrepreneurial de Paul.
Détails spécifiques :
- Paul mentionne l’ouverture du premier emplacement avec un garage et son emplacement privilégié sur un campus, soulignant comment la chance peut influencer le succès en affaires.
- Encouragez une discussion sur l’équilibre entre le travail acharné, la stratégie et la sérendipité dans la réalisation du succès.
Étape 48 : Approche décennie par décennie de la vie
Description :
Plongez dans les conseils de Paul Orfila sur la façon dont les gens devraient aborder la vie à différentes décennies.Mise en œuvre :
- Discutez des conseils de la mère de Paul sur la façon de vivre la vie à chaque décennie.
- Explorez la sagesse derrière cette approche décennie par décennie de la vie et sa pertinence pour la croissance personnelle et professionnelle.
Détails spécifiques :
- Les conseils de la mère de Paul incluent d’essayer tout dans la vingtaine, de découvrir ses forces dans la trentaine, de gagner de l’argent avec ses forces dans la quarantaine, et de moins se soucier de l’opinion des autres en vieillissant.
- Encouragez la réflexion sur la manière dont les individus peuvent appliquer ces conseils à leur propre vie et à leur carrière.
Étape 49 : Réflexion sur les définitions du succès
Description :
Encouragez une discussion sur la manière dont le succès est défini et perçu, en tenant compte des expériences entrepreneuriales diverses de Paul Orfila.Mise en œuvre :
- Explorez les différentes définitions du succès et comment elles peuvent différer pour différentes personnes.
- Discutez de la manière dont le parcours entrepreneurial et les expériences de Paul ont façonné sa perspective sur le succès.
Détails spécifiques :
- Réfléchissez à l’idée que le succès peut être défini de plusieurs manières, y compris les réalisations financières, l’épanouissement personnel et l’impact sur les autres.
- Considérez comment les idées de Paul sur la chance, l’adaptabilité et la persistance ont influencé sa vision du succès et de sa nature multifacette.
Étape 50 : Le rôle de la mentalité en entrepreneuriat
Description :
Mettez en avant l’importance de la mentalité, de l’adaptabilité et de l’apprentissage continu en entrepreneuriat, en vous appuyant sur les expériences de Paul Orfila.Mise en œuvre :
- Discutez du rôle de la mentalité et de l’adaptabilité dans le succès entrepreneurial.
- Encouragez les futurs entrepreneurs à maintenir une mentalité de croissance et à embrasser le changement.
Détails spécifiques :
- Insistez sur le fait qu’une mentalité ouverte et adaptable, associée à un apprentissage continu, peut être un atout puissant pour naviguer dans les défis et les incertitudes de l’entrepreneuriat.
- Partagez des exemples tirés du parcours de Paul qui illustrent l’importance de maintenir la bonne mentalité.
Étape 51 : Conclusion
Description :
Résumez les points clés de cette partie de l’histoire à succès de Paul Orfila, en mettant l’accent sur le rôle de la chance, l’approche décennie par décennie de la vie, les définitions du succès et l’importance de la mentalité en entrepreneuriat.Mise en œuvre :
- Fournissez un résumé concis des principaux points abordés dans cette partie de l’histoire de Paul Orfila.
- Répétez les précieuses leçons et les insights qui peuvent être tirés des expériences et des perspectives de Paul.
Détails spécifiques :
- Le parcours de Paul Orfila offre des éclairages sur les défis et les récompenses du succès financier, le rôle du gouvernement et des partenariats, ainsi que l’importance de l’équilibre personnel.
- Encouragez les individus à réfléchir à leurs propres définitions du succès et à la manière dont ils peuvent trouver un équilibre entre le succès et les responsabilités personnelles.
Étape 52 : Équilibrer le succès et les responsabilités
Description :
Discutez de l’équilibre entre le succès et les responsabilités qui en découlent, en tenant compte de l’expérience de Paul Orfila.Mise en œuvre :
- Explorez comment Paul a navigué dans la transition du propriétaire d’entreprise à la vie après la vente et le soulagement qu’il a ressenti.
- Discutez des défis liés à l’équilibre entre le succès financier et les responsabilités et priorités personnelles.
Détails spécifiques :
- Paul mentionne le luxe de se réveiller sans soucis, soulignant le soulagement des responsabilités financières.
- Encouragez la réflexion sur la manière dont les individus peuvent trouver leur propre équilibre entre le succès et les responsabilités qu’ils apprécient.
Étape 53 : L’impact du gouvernement et des partenariats
Description :
Discutez du rôle du soutien gouvernemental et des partenariats dans le succès en affaires, en vous appuyant sur la perspective de Paul Orfila.Mise en œuvre :
- Explorez la déclaration de Paul concernant le soutien gouvernemental en matière d’éducation, d’infrastructure et de partenariats.
- Discutez de la manière dont les initiatives gouvernementales et les partenariats peuvent contribuer à la croissance et au développement des entreprises.
Détails spécifiques :
- Paul reconnaît le rôle du gouvernement dans la fourniture d’éducation, d’infrastructures et de systèmes qui soutiennent les entreprises.
- Encouragez une discussion sur l’importance des collaborations public-privé et de l’impact qu’elles peuvent avoir sur l’entrepreneuriat.
Étape 54 : Le luxe de la liberté financière
Description :
Explorez le concept de liberté financière et le luxe qu’elle apporte, comme mentionné par Paul Orfila.Mise en œuvre :
- Discutez de la notion de liberté financière et de ce qu’elle signifie pour différentes personnes.
- Encouragez les individus à réfléchir à leurs propres objectifs financiers et au concept de profiter de la vie sans soucis financiers.
Détails spécifiques :
- Paul met en avant le luxe de ne pas se réveiller avec des soucis financiers après avoir atteint le succès financier.
- Encouragez une discussion sur la manière dont les individus peuvent travailler vers la liberté financière et ce que cela signifierait pour leur vie.
Étape 55 : La vie après la vente d’une entreprise
Description :
Discutez de la transition du statut de propriétaire d’entreprise à la vie après la vente d’une entreprise, y compris les défis et les récompenses.Mise en œuvre :
- Explorez comment Paul Orfila a vécu la vie après la vente de Kinko’s et les changements qu’elle a apportés à sa routine quotidienne.
- Discutez des aspects psychologiques et émotionnels de la transition d’un rôle actif en affaires à une phase différente de la vie.
Détails spécifiques :
- Paul partage son plaisir de ne pas avoir à se soucier des responsabilités quotidiennes de l’entreprise.
- Encouragez les individus à envisager leurs propres aspirations et projets pour la vie après avoir atteint leurs objectifs commerciaux.
Étape 56 : Conclusion
Description :
Résumez les points clés de cette partie de l’histoire à succès de Paul Orfila, en mettant l’accent sur l’équilibre entre le succès et les responsabilités, l’impact du gouvernement et des partenariats, le concept de liberté financière et la vie après la vente d’une entreprise.Mise en œuvre :
- Fournissez un résumé concis des principaux points abordés dans cette partie de l’histoire de Paul Orfila.
- Répétez les précieuses leçons et les insights qui peuvent être tirés des expériences et des perspectives de Paul.
Détails spécifiques :
- Le parcours de Paul Orfila offre des éclairages sur les défis et les récompenses du succès financier, le rôle du gouvernement et des partenariats, ainsi que l’importance de l’équilibre personnel.
- Encouragez les individus à envisager leurs propres définitions du succès et comment ils peuvent atteindre un équilibre entre le succès et les responsabilités personnelles.
Étape 57 : La quête de la richesse et ses coûts
Description :
Discutez de la quête de la richesse, des coûts potentiels qu’elle peut avoir sur la vie d’une personne et de l’importance de la contentement.Mise en œuvre :
- Explorez l’idée que la quête de la richesse peut parfois entraîner des conséquences imprévues.
- Encouragez une conversation sur l’équilibre entre le succès financier et le contentement personnel.
Détails spécifiques :
- Paul mentionne qu’il a acheté un avion coûteux et investi dans divers projets pour être un “grand bonhomme”.
- Discutez si ces quêtes ont apporté la satisfaction attendue et s’il y a eu des leçons tirées de celles-ci.
Étape 58 : Le rôle de la planification financière
Description :
Discutez de l’importance de la planification financière et de la prise de décisions d’investissement judicieuses, en s’appuyant sur les expériences de Paul Orfila.Mise en œuvre :
- Explorez comment les décisions d’investissement de Paul, comme l’achat d’un avion et le développement immobilier, ont impacté sa santé financière.
- Discutez de l’importance d’une planification financière solide, incluant la diversification et la gestion des risques.
Détails spécifiques :
- Paul mentionne son implication dans le développement immobilier et ses investissements en actions, qu’il a regrettés par la suite.
- Encouragez une discussion sur les stratégies que les individus peuvent utiliser pour faire des choix d’investissement éclairés et responsables.
Étape 59 : Apprendre de ses erreurs
Description :
Discutez du concept d’apprentissage à partir des erreurs et de comment les revers peuvent conduire à la croissance personnelle et à de meilleures prises de décision.Mise en œuvre :
- Explorez des exemples spécifiques d’erreurs ou de choix d’investissement que Paul Orfila aurait souhaité faire différemment.
- Encouragez une conversation sur la valeur de l’apprentissage de ses propres expériences et des expériences des autres.
Détails spécifiques :
- Paul mentionne qu’il n’aurait pas dû s’engager dans certains investissements et projets.
- Discutez de la manière dont les individus peuvent utiliser leurs erreurs passées pour prendre des décisions financières plus avisées à l’avenir.
Étape 60 : Équilibrer l’ambition avec le contentement
Description :
Explorez l’idée d’équilibrer l’ambition et la quête du succès avec l’importance de trouver le contentement dans sa vie.Mise en œuvre :
- Discutez de comment l’ambition et le désir de succès peuvent parfois conduire à la recherche de repères externes de réussite.
- Encouragez les individus à réfléchir à leurs propres objectifs et à l’équilibre entre l’ambition et le bonheur personnel.
Détails spécifiques :
- Paul mentionne qu’il a essayé d’être un “grand bonhomme” avec certains achats et investissements.
- Encouragez une conversation sur le rôle de l’ambition dans la recherche du succès et sur la question de savoir si elle est en accord avec le contentement personnel.
Étape 61 : Conclusion
Description :
Résumez les points clés de cette partie de l’histoire à succès de Paul Orfila, en mettant l’accent sur la quête de la richesse, la planification financière, l’apprentissage à partir des erreurs et l’équilibre entre l’ambition et le contentement.Mise en œuvre :
- Fournissez un résumé concis des principaux points abordés dans cette partie de l’histoire de Paul Orfila.
- Répétez les précieuses leçons et les insights qui peuvent être tirés des expériences et des perspectives de Paul.
Détails spécifiques :
- Le parcours de Paul Orfila offre des éclairages sur la quête de la richesse, la planification financière et l’équilibre entre l’ambition et le contentement.
- Encouragez les individus à réfléchir à leurs propres objectifs financiers et à l’importance de trouver l’épanouissement dans leurs aspirations.
Étape 62 : Surmonter les insécurités et l’acceptation de soi
Description :
Explorez le parcours de Paul Orfila pour surmonter les insécurités et atteindre l’acceptation de soi, mettant en lumière la croissance personnelle qui vient avec l’âge.Mise en œuvre :
- Discutez de la manière dont les insécurités du passé peuvent avoir un impact sur la vie et la prise de décision d’un individu.
- Encouragez une conversation sur le processus d’acceptation de soi et sur la manière dont il peut conduire au contentement.
Détails spécifiques :
- Paul parle d’avoir été rejeté à l’école, d’avoir de l’anxiété et de se sentir insécure, en particulier à cause de difficultés comme la lecture.
- Explorez comment les individus peuvent travailler à surmonter leurs insécurités et à s’accepter tels qu’ils sont.
Étape 63 : Le voyage de la croissance personnelle
Description :
Discutez du concept de croissance personnelle au fil du temps, en s’appuyant sur les expériences et les réflexions de Paul Orfila sur son parcours de vie.Mise en œuvre :
- Explorez comment l’âge et les expériences de vie contribuent à la croissance personnelle et à la sagesse.
- Encouragez les individus à réfléchir à leur propre parcours et aux leçons qu’ils ont apprises en cours de route.
Détails spécifiques :
- Paul mentionne la lutte interne entre le jeune de 13 ans et l’adulte en lui et comment elle évolue avec le temps.
- Discutez du rôle des expériences de vie, de la réflexion sur soi et de l’acceptation de soi dans la croissance personnelle.
Étape 64 : Équilibrer l’ambition avec la bienveillance envers soi-même
Description :
Explorez l’idée d’équilibrer l’ambition et le développement personnel avec la bienveillance envers soi-même et les soins personnels.Mise en œuvre :
- Discutez de comment l’ambition et la quête du succès peuvent parfois conduire à l’autocritique et à l’épuisement.
- Encouragez les individus à donner la priorité à la bienveillance envers eux-mêmes et à leur bien-être dans leur parcours.
Détails spécifiques :
- Paul souligne que l’anxiété et l’ambition vont souvent de pair et partage sa perspective sur leur conciliation.
- Encouragez une conversation sur l’importance des soins personnels et de la bienveillance envers soi-même pour mener une vie épanouissante.
Étape 65 : Embrasser le bonheur et le contentement
Description :
Discutez des facteurs qui contribuent au bonheur et au contentement dans la vie, tels que partagés par Paul Orfila.Mise en œuvre :
- Explorez l’idée que le bonheur et le contentement viennent de l’intérieur et ne dépendent pas uniquement du succès extérieur.
- Encouragez les individus à réfléchir à leurs propres sources de bonheur et de contentement.
Détails spécifiques :
- Paul mentionne qu’il est heureux aujourd’hui et discute de son parcours vers le contentement.
- Encouragez les individus à réfléchir à ce qui leur apporte du bonheur et de l’épanouissement dans leur vie.
Étape 66 : Conclusion
Description :
Résumez les points clés de cette partie de l’histoire à succès de Paul Orfila, en mettant l’accent sur la surmonter des insécurités, la croissance personnelle, l’équilibrer de l’ambition avec la bienveillance envers soi-même et l’acceptation du bonheur.
Mise en œuvre :
- Fournissez un résumé concis des principaux points abordés dans cette partie de l’histoire de Paul Orfila.
- Répétez les précieuses leçons et les insights qui peuvent être tirés des expériences et des perspectives de Paul.
Détails spécifiques :
- Le parcours de Paul Orfila offre des éclairages sur la croissance personnelle, l’acceptation de soi et la quête du bonheur.
- Encouragez les individus à réfléchir à leur propre cheminement vers l’acceptation de soi et le bonheur.
Étape 67 : La gestion de l’argent par Paul
Description :
Paul discute de ses expériences en matière de gestion de l’argent et de comment cela a changé avec le temps.
Mise en œuvre :
- Paul mentionne qu’après avoir élevé des enfants, la gestion de l’argent est devenue plus facile.
- Il fait référence à la “chose de la banque de sperme” mais ne fournit pas de détails.
- Paul admet avoir trop bu, ce qui pourrait avoir été un souci financier.
- Il mentionne des différences dans les habitudes de dépense entre sa première femme (dépensière) et sa femme actuelle (économe).
Détails spécifiques :
- L’impact de l’éducation des enfants sur les finances n’est pas détaillé.
- La référence à la “chose de la banque de sperme” manque de contexte.
- L’admission de Paul concernant sa consommation excessive d’alcool suggère un problème financier potentiel lié à la consommation d’alcool.
- Les différentes approches financières de ses deux femmes sont mises en avant.
Étape 68 : Influence des épouses sur l’entreprise
Description :
Paul discute de la façon dont ses épouses ont influencé ses décisions commerciales et du soutien qu’il a reçu.
Mise en œuvre :
- Paul mentionne que sa première femme était une dépensière.
- Il admire l’économie de sa femme actuelle.
- Il pense que les conjoints peuvent s’attendre à ce que le soutien financier réussisse et ne pas fournir de réconfort en période difficile.
Détails spécifiques :
- L’impact des habitudes de dépenses de la première femme de Paul sur l’entreprise n’est pas détaillé.
- L’influence de l’économie de sa femme actuelle sur l’entreprise est mentionnée mais pas expliquée davantage.
- Paul suggère que les conjoints ne sont pas toujours solidaires lors des défis commerciaux.
Étape 69 : Système de soutien
Description :
Paul discute de l’importance d’avoir un système de soutien en période de difficultés commerciales.
Mise en œuvre :
- Paul souligne le rôle des amis en tant que ceux qui partagent vos joies et votre bonheur.
- Il mentionne que ses parents, oncles et tantes étaient toujours de son côté.
Détails spécifiques :
- La définition de Paul d’un ami est quelqu’un qui est heureux quand vous êtes heureux.
- L’importance du soutien familial en période difficile est mise en avant.
Étape 70 : Réflexion sur les affaires
Description :
Paul réfléchit à la notion de “combien est suffisant” dans les affaires et partage ses opinions sur son caractère sans fin.
Mise en œuvre :
- Paul suggère que la poursuite du succès dans les affaires est semblable à un jeu sans fin.
- Il fait une comparaison avec Tom Brady et le football, en laissant entendre que le désir de succès persiste.
Détails spécifiques :
- L’idée que le succès dans les affaires est une quête continue est soulignée.
Étape 71 : Moments mémorables chez Kinko’s
Description :
Paul mentionne brièvement son expérience chez Kinko’s et comment ce n’était pas nécessairement une source de ses meilleurs souvenirs.
Mise en œuvre :
- Paul admet avoir été stressé pendant son temps chez Kinko’s.
- Il mentionne qu’il était prêt à vendre l’entreprise avant sa vente effective.
Détails spécifiques :
- Le stress de Paul pendant son temps chez Kinko’s est mentionné mais pas détaillé.
- Les raisons de vouloir vendre l’entreprise ne sont pas fournies.
Étape 72 : Souci et succès
Description :
Paul parle du rôle du souci dans son succès et de la poursuite constante de l’expansion.
Mise en œuvre :
- Paul mentionne qu’il se souciait beaucoup, surtout des factures.
- Il avait beaucoup de temps libre pour observer et étudier ce que les autres faisaient bien.
- L’expansion a toujours été un objectif, et avoir de l’argent sur le compte-chèques présentait des défis.
Détails spécifiques :
- L’impact du souci sur le succès de l’entreprise de Paul n’est pas clarifié.
- La poursuite constante de l’expansion et ses implications sont mentionnées.
Étape 73 : Meilleur souvenir : la vente de l’entreprise
Description :
Paul décrit le jour où il a vendu l’entreprise comme l’un de ses meilleurs souvenirs.
Mise en œuvre :
- Il se souvient de la joie qu’il a ressentie lorsqu’il a vendu l’entreprise et qu’il a regardé un meuble.
- Paul parle du soulagement et de la possibilité de respirer à nouveau.
- Les détails de la célébration ne sont pas fournis, mais il mentionne peut-être avoir pris quelques cocktails et avoir parlé à quelqu’un nommé Joiner.
Détails spécifiques :
- Le soulagement émotionnel et la joie de la vente de l’entreprise sont mis en évidence.
- Les activités de célébration spécifiques ne sont pas détaillées.
Étape 74 : Les moments les plus bas à la tête de Kinko’s
Description :
Paul discute de certains des moments les plus bas qu’il a vécus en tant que responsable de Kinko’s.
Mise en œuvre :
- Il mentionne avoir été poursuivi en justice par des éditeurs et avoir reçu une injonction.
- Paul parle des défis liés à la juridiction concernant le procès.
- Il crédite quelqu’un nommé Chimler d’avoir sauvé son entreprise.
- La mention de Kinko’s par Jim Lair lors d’un discours a peut-être aidé l’entreprise.
Détails spécifiques :
- La nature du procès et les griefs des éditeurs ne sont pas détaillés.
- Le rôle de Jim Lair et de Chimler dans la résolution de la situation est mentionné mais pas approfondi.
Étape 75 : Défis légaux et injonction
Description :
Paul parle d’un défi juridique auquel il a été confronté, notamment une injonction et des sanctions pénales.
Mise en œuvre :
- Paul mentionne avoir été poursuivi en justice par des éditeurs et avoir reçu une injonction.
- L’injonction lui a permis de rester en activité, mais elle s’accompagnait de sanctions pénales en cas de violations futures.
- La nature du secteur de la copie est brièvement expliquée.
- Paul mentionne un cas lié à la défense du fair use.
Détails spécifiques :
- Les détails spécifiques de la poursuite avec les éditeurs et le contenu de l’injonction ne sont pas fournis.
- Le cas lié au fair use mentionné n’est pas approfondi.
Étape 76 : Expériences en tant que personne fortunée
Description :
Paul partage des informations sur ce qui se passe lorsque quelqu’un devient riche, y compris les demandes d’argent et les œuvres caritatives.
Mise en œuvre :
- Paul mentionne que les gens s’approchent souvent de lui pour de l’argent, des opportunités commerciales ou de la charité.
- Il parle d’être interrogé sur le fait de prendre soin des personnes pauvres et affamées en Éthiopie.
- Paul reconnaît avoir ses propres causes caritatives et être sollicité pour des dons par d’autres personnes fortunées.
Détails spécifiques :
- Les demandes spécifiques d’argent et de charité sont mentionnées, mais leurs résultats ne sont pas détaillés.
- Paul mentionne avoir ses propres causes caritatives sans les spécifier.
Étape 77 : Les causes caritatives de Paul
Description :
Paul discute de l’une de ses principales causes caritatives, qui consiste à s’attaquer aux disparités de financement dans les écoles publiques.
Mise en œuvre :
- Paul mentionne les disparités de financement entre les écoles de son quartier et les quartiers plus défavorisés.
- Il parle des efforts visant à égaliser le financement des écoles plus pauvres.
- Il y a mention d’un programme d’orthodontie lié à cette cause.
Détails spécifiques :
- Les stratégies ou initiatives spécifiques utilisées pour égaliser le financement des écoles ne sont pas expliquées.
- Le programme d’orthodontie est mentionné mais pas élaboré.
Étape 78 : Élever des enfants avec des compétences financières
Description :
Paul explique comment il a enseigné à ses enfants les compétences financières dès leur plus jeune âge.
Mise en œuvre :
- Paul donnait une allocation de 5 $ par semaine à ses enfants lorsqu’ils avaient environ six ans.
- Il leur a demandé de tenir un journal : 3 $ pour les dépenses, 1 $ pour la charité et 1 $ pour l’épargne.
- Ses enfants ont appris la valeur de l’argent en prenant eux-mêmes des décisions de dépense.
- L’ex-femme de Paul était axée sur l’éducation, tandis qu’il mettait l’accent sur l’épargne.
- Ses enfants ont même tenu un stand de limonade pour gagner de l’argent.
Détails spécifiques :
- Le processus de donner une allocation aux enfants et de leur enseigner des compétences en gestion de l’argent est décrit en détail.
- L’exemple du stand de limonade montre leur exposition précoce à l’entrepreneuriat.
Étape 79 : Importance des compétences financières
Description :
Paul met l’accent sur l’importance d’enseigner aux enfants des compétences financières et mentionne le manque d’éducation financière à l’école.
Mise en œuvre :
- Paul estime que de bonnes compétences financières sont cruciales pour le succès futur des enfants.
- Il critique les écoles pour ne pas donner la priorité à l’éducation financière.
- Il souligne l’importance du bon sens financier.
Détails spécifiques :
- Le manque d’éducation financière à l’école est un sujet de préoccupation pour Paul.
- Il insiste sur l’importance d’avoir du bon sens financier.
Étape 80 : Héritage et décisions de carrière
Description :
On demande à Paul comment il a envisagé son héritage dans la prise de décision de sa carrière.
Mise en œuvre :
- Paul indique qu’il ne se souciait pas d’être rappelé ou de son héritage.
- Il suggère que l’idée d’héritage ne lui traversait pas l’esprit et qu’il ne pourrait pas se souvenir dans 100 ans.
Détails spécifiques :
- La perspective de Paul est que vivre pour l’héritage ou être rappelé n’était pas ce qu’il priorisait dans ses décisions de carrière.
Étape 81 : Réflexions sur la vie et l’univers
Description :
Paul réfléchit à des questions philosophiques sur l’existence, Dieu et l’au-delà.
Mise en œuvre :
- Paul médite sur l’insignifiance de l’existence humaine dans l’univers.
- Il se demande à quoi ressemblait la vie avant la naissance, s’il y a un Dieu et ce qui se passe après la mort.
- Paul exprime le désir d’aller au “paradis financier” et parle du concept d’infini.
- Il reconnaît son admiration pour les personnes ayant une forte foi.
Détails spécifiques :
- Les réflexions de Paul sur des sujets philosophiques et existentiels sont présentées sans réponses spécifiques.
Étape 82 : Devenir millionnaire aujourd’hui
Description :
Paul partage ses réflexions sur ce qu’il faut pour devenir millionnaire dans l’économie actuelle.
Mise en œuvre :
- Paul conseille d’utiliser l’intuition et d’observer les opportunités.
- Il suggère que tout le monde n’est pas fait pour être entrepreneur et que certaines personnes peuvent réussir en tant qu’employés.
- Paul mentionne l’importance de comprendre ce que les clients veulent.
Détails spécifiques :
- Paul met l’accent sur l’importance de l’intuition et de l’attention aux besoins des clients.
Étape 83 : Équilibre entre travail, amour et loisirs
Description :
Paul discute de l’importance de l’équilibre entre travail, amour et loisirs dans la vie.
Mise en œuvre :
- Paul insiste sur la nécessité d’un équilibre entre travail, amour et loisirs.
- Il suggère que travailler trop peut perturber cet équilibre et entraîner des problèmes.
Détails spécifiques :
- Paul souligne l’importance de maintenir un équilibre parmi les trois aspects de la vie.
Étape 84 : Traditions et reconnaissance dans le monde des affaires
Description :
Paul parle de l’importance des traditions et de la reconnaissance dans la culture d’entreprise.
Mise en œuvre :
- Paul mentionne l’importance d’avoir des traditions telles que les pique-niques d’entreprise et les célébrations.
- Il souligne l’importance de reconnaître et de récompenser les employés pour leurs contributions.
- Paul discute du rôle des traditions et de la reconnaissance dans la motivation des employés.
Détails spécifiques :
- Paul mentionne les épingles de reconnaissance, les souvenirs, les plaques et d’autres formes de reconnaissance dans la culture d’entreprise.
Étape 85 : Remise en question des règles et des RH
Description :
Paul exprime son aversion pour les règles et le département des ressources humaines dans le monde des affaires.
Mise en œuvre :
- Paul mentionne son désamour pour les comités de règles et le département des ressources humaines.
- Il suggère qu’avoir trop de règles et de RH peut étouffer la créativité et la franchise.
- Paul mentionne sa préférence pour quelques poursuites en justice, indiquant que cela montre que l’entreprise prend des risques.
Détails spécifiques :
- Le désamour de Paul pour les RH et les comités de règles est présenté sans élaboration.
Étape 86 : Responsabilité et leadership
Description :
Paul réfléchit à la responsabilité de diriger une entreprise et à son impact sur la vie des gens.
Mise en œuvre :
- Paul reconnaît se sentir responsable lorsqu’il dirige une entreprise.
- Il mentionne le poids de la responsabilité et l’impact sur la vie des employés.
Détails spécifiques :
- Les réflexions de Paul sur la responsabilité du leadership sont présentées sans anecdotes spécifiques.
Étape 87 : Donner la priorité à la famille et aux relations
Description :
Donnez la priorité à votre famille et à vos relations significatives, car elles sont cruciales pour une vie formidable.
Mise en œuvre :
- Passez régulièrement du temps de qualité avec votre famille et vos proches.
- Établissez des liens solides avec vos enfants et assurez-vous qu’ils se sentent valorisés et aimés.
- Soyez présent et engagé lorsque vous êtes avec votre famille, tant dans les moments heureux que dans les moments difficiles.
Détails spécifiques :
- Le succès se mesure par la qualité de vos relations et par le lien que vous partagez avec votre famille.
- Faites un effort pour créer des souvenirs durables et des traditions avec vos proches.
Étape 88 : Équilibre entre travail et vie personnelle
Description :
Maintenez un équilibre sain entre travail et vie personnelle pour profiter pleinement de la vie.
Mise en œuvre :
- Consacrez du temps au travail, mais donnez également la priorité au temps de loisirs et de détente.
- Planifiez des pauses régulières et des vacances pour vous ressourcer et vous recharger.
- Évitez de vous surmener, car cela peut conduire à l’épuisement et entraver une vie formidable.
Détails spécifiques :
- Le succès ne se définit pas uniquement par les réalisations professionnelles ; il inclut le bonheur personnel et le bien-être.
- Trouvez des activités en dehors du travail qui vous apportent joie et épanouissement.
Étape 89 : Contribuer à la communauté
Description :
Engagez-vous dans des activités caritatives et donnez à votre communauté.
Mise en œuvre :
- Identifiez des causes ou des organisations caritatives qui résonnent avec vos valeurs.
- Allouez une partie de vos ressources, qu’il s’agisse de temps ou d’argent, pour soutenir ces causes.
- Impliquez-vous dans les écoles locales ou les initiatives qui peuvent avoir un impact positif sur les autres.
Détails spécifiques :
- Le succès peut également se mesurer par vos contributions à la société et au bien-être des autres.
- Faites de la générosité une partie régulière de votre vie, pas seulement quelque chose que vous faites lorsque vous avez des ressources en excès.
Étape 90 : Enseigner et apprendre
Description :
Adoptez l’apprentissage continu et partagez vos connaissances avec les autres.
Mise en œuvre :
- Recherchez des occasions d’acquérir de nouvelles compétences et connaissances tout au long de votre vie.
- Envisagez d’enseigner ou de mentorer les autres, que ce soit de manière formelle ou informelle.
- Encouragez une culture de poser des questions et de la réflexion critique.
Détails spécifiques :
- Le succès réside dans la poursuite du savoir et la capacité à le transmettre à la génération suivante.
- Enseignez aux autres l’importance de poser des questions significatives dans la vie.
RÉSUMÉ DE LA VIDÉO
Année de revenus la plus élevée
Quelle a été l’année de revenus la plus élevée que vous ayez eue lorsque vous dirigiez la société de trois milliards de dollars ?
Comment avez-vous dépensé tout cet argent
Comment avez-vous dépensé tout cet argent ? J’ai acheté cet avion maudit pour me la péter. Le lendemain, toute l’industrie de l’édition aux États-Unis m’a poursuivi en justice.
Attentes
Quelles étaient vos attentes dès le début ? J’étais là pour l’argent. Les gens d’affaires disent qu’ils aiment leur entreprise, mais vous ne pouvez pas laisser cette entreprise vous posséder ; c’est vous qui la possédez. Dans ce cas, en valait-il vraiment la peine ?
Introduction
Aujourd’hui, nous sommes chez le milliardaire fondateur Paul Orfila, qui a vendu sa société Kinkos pour plus d’un milliard de dollars. Dans cette vidéo, nous plongeons plus profondément dans son histoire, dans ce que c’est que de vivre le mode de vie d’un milliardaire, et dans la manière dont vous avez fait passer Kinkos de zéro à des milliards de dollars de ventes.
Introduction de Paul Orfila
Salut, je m’appelle Paul Orfila. Je suis le fondateur de Kinkos qui a vendu une entreprise pour pas assez d’argent. Pas assez d’argent, ouais, tu ne l’as jamais vendu assez cher. En 1997, je l’ai vendue à une société de New York, en fait à un tas de déchets de New York. Ils l’ont finalement vendu pour 2,6 milliards de dollars, ouais, à FedEx. Et alors, possédais-tu une partie de ça quand ils ont filmé ? Non, je suis un peu sorti de ça. Je pense que si vous vendez votre entreprise, un conseil, partez tout de suite, car c’est comme vendre l’entreprise, couper la queue d’un chien petit à petit. Vous êtes là à être torturé en n’ayant aucune autorité, mais beaucoup d’aggravation. Et les gens, quand vous vendez votre entreprise, sont plus préoccupés par la loyauté que par la performance, et ils ont viré des gens vraiment compétents, les nouveaux venus de New York.
Prix de vente
Combien l’avez-vous vendu pour vous aider ? Nous l’avons vendu pour peut-être un milliard et demi.
Devenir milliardaire
Comment était-ce de devenir milliardaire ? Et je n’en ai pas autant maintenant parce que je donne tout. Je fais du bon travail en donnant mon argent. Je n’y crois pas. Vous savez, il y a tellement de besoins là-bas. J’ai un peu l’impression d’être culpabilisé de tout garder et d’en avoir beaucoup. Et je ne suis pas du genre à m’accrocher à la possession contrairement à ce que vous pourriez voir ici, mais je ne suis pas vraiment un maniaque de la possession.
Antécédents et gains financiers
Eh bien, peut-être faire un pas en arrière, nous arriverons au bâtiment et à cette partie de l’histoire. Mais comment avez-vous gagné votre argent, le mot, le Kinkos ? Comment je fais de l’argent ? J’ai toujours été un épargnant toute ma vie. Je ne suis pas un très bon lecteur, et j’ai eu beaucoup de problèmes à l’école. Et j’ai compris que je devrais faire avec mon compte d’épargne avec des enfants. Vos enfants doivent réussir de deux manières. Ils doivent être bons dans le truc scolaire où ils sont médecins, avocats, ou quelque chose avec leur éducation, ou ils doivent être bons avec leur argent. Et j’ai toujours économisé mon argent et essayé de comprendre comment Paul gagnait son argent.
Autres investissements
Qu’avez-vous fait de votre argent ? Alors j’étais un épargnant. Et avez-vous fait la majorité de votre fortune grâce à Kinkos ? Oh oui, j’ai d’autres moyens de gagner de l’argent aussi, mais j’ai fait ça. J’adorerais entendre ça.
Stratégies d’investissement
Eh bien, j’ai toujours investi dans des actions, des actions et de l’immobilier. Je pense que lorsque vous démarrez votre carrière, vous avez tout votre argent dans votre entreprise. Obtiens-tu un prêt ou as-tu des instruments liquides comme des actions et des obligations parce que le meilleur moyen de détruire votre entreprise est de ne pas transformer l’argent en espèces et de ne pas payer vos factures ? Ensuite, vous vieillissez un peu, vous avez un tiers de votre entreprise, un tiers en actions et un tiers en immobilier. Puis quand vous voulez prendre votre retraite, c’est de l’immobilier payé, un peu d’actions et d’obligations. Et si vous voulez de l’aggravation, vous pouvez toujours avoir des employés.
Développement de Kinkos
Comment avez-vous fait passer Kinkos d’un magasin ? Comment en avez-vous fait une entreprise d’un milliard de dollars ? Nous l’avons fait. Quand je suis parti, c’était environ trois milliards. Ouais. Je suppose, vous savez, que si les gens vous demandent ça ? Comment avez-vous été quand vous aviez quatre ans ? Comment êtes-vous arrivé à 20 ans et si grand ? Vous le faites simplement. Je veux dire, ça s’est juste produit. Chaque jour, j’irais, et j’essaierais de le rendre meilleur. Une des choses que j’ai toujours abordées dans mon travail, c’est que les choses se passaient très bien sans moi. Mais quoi que je fasse tous les jours, je le rendais meilleur.
Construction d’un système
Donc si je n’allais pas travailler, les choses tournaient. J’avais un système où ça marchait sans moi très bien. Eh bien, je pense que pour vous, ça peut venir un peu plus naturellement. Je pense que pour beaucoup de gens, c’est comme, “j’aimerais explorer l’entrepreneuriat. J’aimerais gagner un milliard de dollars, ou j’aimerais avoir.”
Différencier Kinkos
Alors la chose Kinko, quelle était votre attente dès le départ ? Par exemple, quand j’ai commencé mon entreprise, je voulais simplement gagner quelques milliers de dollars et pouvoir vivre et travailler comme je le voulais. Eh bien, quand j’ai commencé, j’étais là pour l’argent, et c’était toujours à vendre. Vous savez, je l’ai vendu en 1997, mais chaque jour où cette entreprise était là, elle était à vendre. Votre entreprise est un instrument pour vous rendre heureux ; vous la possédez, elle ne vous possède pas. Et c’est une chose fondamentale, je pense qu’un grand nombre d’entreprises font, c’est que les gens d’affaires, ils disent qu’ils aiment leur entreprise, vous pouvez apprécier votre entreprise, une fois que vous l’aimez, vous perdez votre objectivité. Et vous ne pouvez pas laisser cette entreprise vous posséder, vous la possédez.
Concurrence et expérimentation
Beaucoup d’autres personnes aiment, donc mon père vendait des photocopieuses quand j’étais jeune, donc nous étions comme, vous savez, des lapins, ouais, ouais, il y avait un concurrent autour, alors quand j’étais enfant, nous allions toujours dans différents magasins, et tout le monde était autour des tableaux de télécopie ou de ceux d’antan. Mais je suppose que comment avez-vous distingué Kinkos pour en faire une entreprise d’un milliard de dollars ?
Comme il y avait beaucoup d’autres concurrents, eh bien, chaque jour, je pense, vous savez, en essayant de voir comment le faire. Mon coût marginal était de 17 cents, je vendais pour un dollar. Je lançais des pièces de monnaie en vrac sur les choses. Mais que se passe-t-il si vous avez une plus grande entreprise avec 25 000 employés, ils deviennent très défensifs, et ils font ces choses stupides appelées revues, et cela devient très punitif. Et j’essaie d’inculquer de plus en plus la prise de risque dans la culture, mais c’est difficile quand vous avez des dirigeants là-dedans.
Année de revenus la plus élevée
Quelle a été l’année de revenus la plus élevée que vous ayez eue lorsque vous dirigiez l’entreprise ? L’année dernière où j’étais là-bas, il y avait environ 3 milliards de ventes de papier, et comme des copies et des impressions et des affiches, des films en papier stationnaire.
Expériences réussies
Quelles étaient certaines des expériences que vous avez appréciées qui ont fonctionné ou qui n’ont pas fonctionné ? Je vais commencer par, je ne me suis jamais donné trop de choses à faire, et j’errais constamment dans chaque magasin. Mon travail consistait à me diriger vers un magasin, à chercher ce que les gens faisaient bien. Par exemple, nous sommes allés à San Diego, et ils ont fait un calendrier. Ils ont pris 12 photos et les ont mises sur un calendrier, un photocopieur couleur. Nous l’avons vendu 30 $, ils l’ont vendu 30 $ en décembre, et décembre est un mois pourri. C’était une grande découverte ; nous avons exploité les calendriers dans tout le pays.
Un jour, quand j’ai commencé, j’étais dans la salle de livres de réserve d’une université, et la plupart des gens ne savent plus ce qu’est une salle de livres de réserve, mais c’est là où le professeur laisse des documents en réserve à la salle de livres de réserve et s’attend à ce que vous les lisiez pour l’examen. Eh bien, la plupart des gens vont la veille de l’examen pour obtenir le livre, et il n’est pas là, et un flyer. Et j’ai dit aux professeurs qu’ils pouvaient laisser des documents en réserve avec nous, tout comme un livre de réserve, et les professeurs ont adoré le programme. Et nous nous sommes étendus à tous les 50 États, et nous réalisions disons six ou sept pour cent des manuels à l’Ohio State.
Devenir milliardaire
Je suppose que j’essaie de penser, penses-tu que n’importe qui pourrait devenir milliardaire ? Eh bien, je ne suis pas milliardaire. Es-tu devenu milliardaire ? Non, jamais. Je n’ai jamais été un. J’ai juste donné tout mon argent. Mais à l’époque, comme, non, jamais. Rappelez-vous, la plupart des gens se vanteront de ça. Je pense que tu minimises simplement. Je ne suis pas d’accord. Ouais, parce que mes parents avaient un dicton, mon père fabriquait des vêtements pour femmes, et mon père disait : “Ton entreprise, si les affaires vont bien, plains-toi. Si les affaires vont mal, vante-toi.” J’ai toujours été méfiant envers les vantards. Et puis, vous savez, aussi, si vous vous vantez et que vous avez toutes ces voitures “regardez-moi” et tout ça, les gens sont envieux. Ils ne sont pas vraiment fiers de votre succès. Ils sont souvent très envieux. Et vous ne voulez pas, en termes d’intimité, vous mettre en position de susciter la jalousie. Et dans la culture juive et la culture arabe, ils ont le mauvais œil. Ouais, vous ne voulez pas attirer le mauvais œil.
Réaction à la vente de l’entreprise
Comment pensez-vous que les gens ont réagi ou comment vous êtes-vous senti lorsque cette vente a eu lieu ? Je me sentais bien. J’ai réglé tous mes problèmes financiers. Je vais vous raconter une histoire amusante, ma femme ici, a acheté une ancienne femme, c’est un meuble pour la télévision pour 35 000 dollars, et ça m’a toujours énervé que ce meuble soit si foutu cher. J’étais très contrarié par le meuble. J’étais sur des banques de faucon. J’avais des dettes, des dettes, des dettes, des dettes, j’ai vendu l’entreprise. Je suis content du meuble. Je suis content du meuble.
Soulagement de la responsabilité
Donc vous avez réellement ressenti un soulagement, ce n’est pas comme si vous vous sentiez soulagé de vous-même, ouais, oui, d’avoir… Je n’aimais pas la responsabilité, vous savez, quand on est jeune, la responsabilité c’est cool. Puis il y a une chose appelée fardeau, qui… il y a une fine ligne. La responsabilité c’est cool. Puis on vieillit, ça devient un fardeau. Et j’en suis arrivé là dans la quarantaine. Je n’appréciais tout simplement pas toute la responsabilité. Vous savez, les gens, ils vont travailler avec vous ou pour vous ; vous êtes un peu responsable d’eux, et vous voulez vous assurer qu’ils ont des soins de santé et une pension, et vous vous souciez de vos gens. Et la simple préoccupation m’a un peu dépassé. Comme je me souviens d’être allé à San Antonio, et une femme avait quatre enfants, et elle travaillait dans le magasin, et je ne cessais de penser, comment fait-elle ? Elle est célibataire. Comment garde-t-elle un peu de sa santé mentale ? Ce sont ce genre de choses qui me touchaient.
Liquidité et tranquillité d’esprit
Mais il semble que la vente ait rendu votre vie beaucoup plus facile. Oh oui, ouais. Je pense que la liquidité rend la vie un peu plus facile, de ne pas avoir à vous soucier de payer vos factures. C’est… j’ai eu 30 ans d’entreprise où je m’inquiétais de payer mes factures, et j’en ai eu vraiment marre. Je pense que c’est… je suis un peu surpris parce que Kinko’s vend trois milliards de dollars par an, nous avons augmenté chaque année avec de l’argent interne. Je n’ai jamais pris d’argent à l’extérieur, et nous étions une sous-section S.
Éviter les investisseurs en groupe
J’ai toujours investi avec mon capital interne. Je n’aimais jamais les investisseurs en groupe ; je ne leur faisais pas confiance. Vous savez ce qu’est un investisseur ? C’est comme un auto-stoppeur. Vous le prenez, la prochaine chose que vous savez, vous êtes en panne d’essence, vous avez besoin de quelque chose, et ils prennent le contrôle de la voiture.
Équilibre entre travail et vie personnelle
Souhaites-tu avoir travaillé moins ? Non, j’ai assez travaillé. Je n’ai pas… en fait, c’est une bonne question, d’accord. Je m’inquiète si le travail dur est inquiétant. J’étais un travailleur acharné, mais en passant de nombreuses heures au travail, je n’étais pas là. J’errais toujours et je m’inquiétais. C’était mon boulot.
Ça en valait la peine ?
Est-ce que ça en valait la peine, tout le travail et les soucis ? Non, à l’époque, vous pouviez… c’était dans ma quarantaine, je ne dormais pas bien, j’avais toujours mal au cou, et j’avais des flatulences. Maintenant, je n’ai plus de gaz, je dors comme un bébé, et mon cou ne me fait pas mal. Le stress a causé quelques problèmes.
Regrets
Quels regrets avez-vous à cette époque ? Eh bien, j’étais sous tellement de pression financière. Je n’ai pas assez dit merci, donc j’ai travaillé avec des gens vraiment formidables, et je ne leur ai pas assez dit merci. Je vois Deanna, Dan et CeCe, je pense que vous les remerciez, et ce sont les présidents de la société, et CeCe travaille très étroitement avec moi dans ma vie personnelle, mais je ne les ai jamais vraiment assez remerciés.
Gratitude
Que diriez-vous, je dois dire merci, mais à l’époque, je n’étais pas… je… vous savez, quand on est au milieu de tout ça, il est difficile d’être reconnaissant. Vous êtes juste tellement… sous tellement de pression ; vous êtes juste comme “Hé, nous sommes concentrés sur le travail, voici les choses, nos problèmes, nous n’avons pas…” J’étais jovial et très convivial avec les directeurs. Les directeurs, ils… ils m’aimaient parce que tout ce que je faisais était pour les apaiser, pour plaire aux directeurs du magasin, avec les dirigeants, ils pouvaient sentir ma fureur un peu.
Ça en valait la peine ?
Je suppose que dans ce cas, ça en valait la peine ? Oh oui, ouais. Je pense que j’avais deux choix dans la vie. J’aurais pu être là où je suis maintenant, ou j’aurais été sans-abri. Il n’y a pas de place au milieu pour un gars comme moi.
Surmonter les défis en matière d’éducation
Pourquoi ? Eh bien, je ne peux pas lire très bien. J’ai… en deuxième année, j’ai échoué en deuxième année, et j’avais le palais bleu. Ma mère… elle m’a beaucoup battu. En troisième année, j’ai dû aller à l’école à Hollywood, huit enfants dans la classe, deux avaient 18 ans. Je n’arrêtais pas de penser, genre, “Pourquoi ? J’ai huit ans. Pourquoi suis-je à l’école comme ça ?” Ensuite, je devais aller chez l’opticien trois jours par semaine, et finalement, j’ai appris à lire.
Diplôme malgré les défis
Mes parents disaient que chaque mot que j’avais lu coûtait 50 dollars, et j’ai obtenu mon diplôme de lycée huitième du bas de ma classe de 1200. Et la conscription aux États-Unis est la raison pour laquelle je suis diplômé de l’université, en plus je voulais aller à l’université. C’était un super endroit pour grandir, alors j’ai obtenu mon diplôme.
Conseils pour les entrepreneurs en herbe
Quels conseils avez-vous pour quelqu’un qui démarre et qui veut être entrepreneur ? J’y ai pensé. Eh bien, allez dans votre âme et voyez si vous le voulez vraiment parce que c’est beaucoup de nuits blanches et beaucoup d’incertitude. Peut-être que vous feriez mieux d’avoir un emploi. Mais vous devez aller à votre canard en caoutchouc dans votre baignoire et vous demander : “Est-ce que je veux vraiment ces ennuis ?” C’est vraiment beaucoup de nuits blanches.
Gestion de l’ambiguïté
Et comment gérez-vous bien l’ambiguïté ? Vous avez découvert que vous aimiez ça. Je n’avais pas le choix.
Dernières réflexions sur l’entrepreneuriat
Oh, ça aurait été bien si je n’avais pas eu autant d’incertitude. Ça aurait été bien si vous étiez juste allé là-bas et que ça avait très bien marché, comme une machine. Ça ne…
Perfection dans les affaires
C’est toujours intéressant en affaires parce que je pense que de l’extérieur, on pense que c’est le cas. Comme quand vous regardez quelqu’un, vous vous dites : “Oh, ça doit être parfait.” Mais je suppose que de l’intérieur, non, non, non, non, non. Les affaires sont une forme d’art. Si Léonard de Vinci revenait et disait : “Wow, mec, je pense que j’aurais pu mettre un peu plus de rose dans cette image, un peu plus de bleu”, ce sont des artistes. C’est toujours perfectible, on n’a jamais fini, ce n’est jamais parfait, ça peut toujours être amélioré.
Premier emploi et entrepreneuriat
Quel a été ton premier emploi ? Quelle a été la première entreprise que tu as lancée ? Mon premier emploi, j’ai acheté des fraises au marché et je les ai vendues de porte à porte. J’avais environ neuf ans. Je les ai juste achetées au magasin de détail et je les ai vendues. J’ai toujours fait des ventes de porte à porte. Personnellement, je respecte ça, c’est ma préférée, si je devais choisir parmi les ventes.
Apprentissage des ventes
Comment as-tu appris à vendre ? Je ne sais pas, tu le fais simplement. Vendre des journaux, tu… nous, je vendais, tu sais, les Easter Seals, ou les timbres de Noël. J’avais l’habitude de me débrouiller quand j’étais à l’école primaire. C’était facile pour moi, je ne sais pas comment, je vendais simplement. Une chose à laquelle je pensais pour toi, c’est combien, parce que tu as vendu Kinko’s pour un milliard et demi. Tu n’aimes pas ce que j’ai dit ? J’aime.
Équilibrer la fierté et l’arrogance
D’accord. Mes parents, enfin ma mère et mon père, trembleraient dans leurs bottes s’ils savaient que je me vantais de quelque chose comme ça. Je suppose que j’ai toujours pensé, comme, quelle est la frontière entre se vanter et être fier de ce que tu as accompli ? Je pense que se vanter, c’est comme, “J’ai gagné tout cet argent, et regardez toutes ces choses.” Parce que je pense pour moi-même, je ressens la même chose, où je suis conscient de moi-même à ce sujet, mais il y a probablement une fine ligne entre la fierté et l’arrogance.
Superstition et ne pas se prendre au sérieux
Tu as raison. Mais je suis superstitieux à propos de me prendre au sérieux. Et quand je le fais, je me fais toujours avoir. Vous savez, un investissement, vous pensez que vous êtes foutu, erreur, c’est là que vous vous faites avoir. Quand est-ce que ça t’est arrivé ? Oh, un jour, je devais retourner à l’école en janvier, et j’avais tout l’argent dont j’avais besoin, et l’argent dont j’avais besoin pour passer l’été. Et je conduisais depuis Los Angeles, j’habite à Santa Barbara, et je pensais à moi-même, “Dieu, je m’en sors vraiment bien.” Je suis juste, moi le lendemain, toute l’industrie de l’édition aux États-Unis m’a poursuivi en justice. Et je me suis dit, “Bon sang, la prochaine fois que tu te prends au sérieux, tu ferais bien de ne pas le faire.”
Je pensais que c’était juste une telle coïncidence, étranger juste beaucoup, à chaque fois à la bourse, je me prends au sérieux, et je pense que je vais me faire… je me fais toujours avoir, c’est trop beau pour être vrai, je me fais avoir en achetant de l’immobilier. J’ai acheté une ferme, c’était juste trop beau pour être vrai, ça arrive toujours.
Mauvaise expérience agricole
Oh, cinq étoiles, que dirais-tu d’un truc à l’avocat de la ferme ici ? Je n’arrive pas à imaginer un putain de verger d’avocats, et les gens sont venus et ont volé tous mes avocats. Je ne pouvais pas le faire, c’était une chose horrible. Et ouais, je n’avais rien à faire dans cette entreprise. Combien était l’amende ?
Équilibrer la confiance et l’humilité
À l’époque, c’était environ trois millions de dollars. Et puis, combien l’as-tu finalement vendu ? Environ trois millions, ouais. Pas si mal, mais c’était beaucoup d’agacement. Je pense que la partie à laquelle tu fais référence et avec laquelle je me sens en résonance, c’est d’être conscient de… ce n’est pas de la bravade, mais d’avoir l’équilibre entre l’humilité d’être un débutant ou d’être capable d’expérimenter et de se demander et de ne pas penser que nous sommes si formidables. Et il est aussi bon d’avoir un peu de confiance, pourtant. Ce que tu fais aussi, au plus profond de toi, es-tu, et mon âme à l’époque où j’ai commencé, et je n’étais pas trop confiant.
J’étais toujours insécure, et j’étais toujours paranoïaque à l’idée que le gars d’en face me mette à terre. Toujours. Et la plupart des gens avec qui je travaillais étaient dans le secteur, et ils adoraient ça. J’étais toujours de l’autre côté de la rue, à regarder ça. C’était mon point de vue, et je connaissais toutes les faiblesses stratégiques que nous avions. C’est là que je passais mon temps, à corriger ces faiblesses ou simplement à les comprendre, à fantasmer sur ce qu’un concurrent ferait pour me botter les fesses. Mon père fabriquait des vêtements pour femmes. Si vous êtes dans le secteur de la mode, vous comprenez, les gens vous copient. C’est un secteur impitoyable. Vous comprenez que la concurrence est là pour vous mettre à terre.
Découvrir les faiblesses de votre entreprise
Alors que fais-tu contre eux ? Que fais-tu contre la concurrence qui est plus… ? J’ai pensé à moi. Vous devez vous rappeler en microéconomie, la définition de la concurrence pure : une entrée et une sortie faciles du marché, un produit homogène, et le prix est la raison pour laquelle vous achetez. Eh bien, quand j’ai commencé, le gouvernement de l’autre côté de la rue avait un meilleur contrat pour la machine Xerox. Ils avaient une main-d’œuvre subventionnée et un loyer gratuit. Comment pouvais-je rivaliser avec une photocopieuse ? Une photocopieuse est une photocopieuse. C’est du papier blanc et un tas de trucs sur une pièce noire. Comment puis-je rivaliser avec ça ? Alors j’ai dû surpasser l’école. J’ai regardé des heures plus longues, j’ai offert un excellent service client, j’ai proposé des produits synergiques comme la reliure et la papeterie avec la photocopie.
Qu’est-ce qui fait un bon magasin
J’ai grandi avec Kinko’s, c’était cool de pouvoir… c’était génial. Quel magasin ? San Jose. Il y en a aussi un à Austin. Nous avons FedEx Kinko’s, c’était bien. Des magasins à Austin ? Ouais, San Jose. Nous avions de bons magasins. C’étaient vraiment de bons magasins à Austin. Qu’est-ce qui en fait un bon magasin ? C’est ce que j’avais toujours à étudier. J’ai passé tout mon temps dans les bons magasins, à comprendre pourquoi. C’est intéressant. Je ne suis pas allé dans les anciens magasins parce que si vous avez des cadres, ils s’inquiètent pour les 10 % du bas, mais j’étudiais toujours pourquoi quelqu’un avait du succès.
L’importance des bons gestionnaires
Et moi… j’étudiais toujours. À Houston, nous avions deux magasins à Houston. J’avais un mauvais parking dans les deux. Ils étaient tellement réussis. Ce qui faisait un bon magasin, c’était le gestionnaire. Le moral du gestionnaire, mec. C’était une entreprise centrée sur le gestionnaire, et je pouvais prendre un bon gestionnaire et en faire un ambassadeur et en faire un bon magasin. Je pouvais prendre un mauvais gestionnaire, le mettre dans un bon magasin, et en faire une mauvaise histoire. Ce qui faisait un bon gestionnaire, c’est un peu une qualité éthérée. Je pouvais le dire quand j’entrais dans les magasins. Je pouvais le voir dans les yeux des travailleurs. Je pouvais juste dire si j’allais passer une bonne visite ou une mauvaise visite.
Équilibrer la fierté et l’humilité
Et puis je regardais aussi dans le petit texte du soleil. Bon sang, j’ai tellement de problèmes, j’avais cette entreprise. Je me battais tout le temps contre eux. Vous entreriez dans le magasin, mon père m’a pris…
Les entreprises de Paul
J’ai fait beaucoup d’entreprises différentes. J’avais des cafés, de l’expresso, du cappuccino, avant Starbucks. Et je voulais essayer de les mettre en co-location avec nous à côté de Kinko’s. Et puis nous avons fait un nettoyeur à sec ouvert 24 heures sur 24. Ne préféreriez-vous pas aller chez un nettoyeur à sec où l’on parle anglais et qui est ouvert 24 heures sur 24 ? Alors, je voulais ouvrir ces centres de voyage où vous aviez des entreprises ouvertes 24 heures sur 24. Mais j’ai fait… oh, j’ai commencé… ici, je suis allé à Berkeley, ouais. Tu connais Top Dog ? Ouais. Qu’as-tu remarqué chez Top Dog ? Petits grillages. As-tu remarqué combien de gens étaient en file d’attente ? C’est toujours bondé. Cela pourrait être un indicateur de succès. Alors, j’ai essayé de copier Top Dog ici à Santa Barbara. J’ai foiré parce que nous l’avons fait au milieu de Skid Row.
Autres entreprises lancées par Paul
J’ai créé des entreprises de data mining. J’en ai fait… j’en ai fait tellement d’entreprises. La plupart… beaucoup d’entre elles ont échoué. Quelles sont certaines de celles qui n’ont pas marché ou qui ont marché ? J’essaie juste de toutes les penser.
Comment les gens devraient-ils vivre leur vie
Si tu devais décrire comment les gens devraient vivre leur vie en décennies, comment y réfléchirais-tu ? Parce que j’ai une bonne réponse à ça. Ouais, ma mère disait : “Chéri, dans la vingtaine, essaie tout. Dans la trentaine, découvre ce que tu fais de mieux. Et dans la quarantaine, gagne de l’argent avec ce que tu fais de mieux et essaie de ne pas en faire trop. Dans la cinquantaine, et puis une autre chose à propos de ta vie, c’est que lorsque tu as la vingtaine, tu te soucies vraiment de ce que les gens pensent de toi. À 40 ans, tu ne te soucies pas vraiment de ce que les gens pensent de toi. Ensuite, à 60 ans, tu te rends compte que personne n’a pensé à toi en premier lieu.” Bob Hope a dit ça.
Le rôle de la chance
C’est intéressant parce que j’ai l’impression que tu aurais réussi quoi qu’il arrive. Et je suppose que ça dépend aussi de la façon dont tu définis le succès. Non, je ne pense pas. J’ai eu de la chance. La chance a plus à voir avec la vie que tu ne le penses. La chance a beaucoup plus à voir avec ça. Quels sont certains des moments de chance… ? J’en ai… oh, j’ai ouvert le premier emplacement qui avait un garage, et il se trouvait être dans l’artère principale du campus. Sans chance, les éditeurs, quand j’ai perdu le procès contre les éditeurs, ils avaient une injonction qui me permettait de rester en activité. Ils nous appréciaient. Oh, juste une fois, j’ai eu de la chance. Je ne sais pas si ça sonne vraiment bizarre, mais j’étais en haut d’un immeuble de 12 étages, et je lâchais des bouteilles de Coca-Cola sur…
Profiter de la richesse et de la poursuite du bonheur
Alors, tu as vendu ta société pour un certain montant dont nous ne parlerons pas, et nous n’allons pas appeler… Oh, je pensais que c’était toi. Tu cherches toujours un milliard et demi. Comment as-tu apprécié l’argent ? Oh, c’est facile. Ce que j’apprécie, c’est… Oh, tu ne comprends pas le luxe de te réveiller tous les matins sans t’inquiéter et en pensant à ce que tu veux penser. C’est la partie que j’aime le plus. Je me réveille chaque jour avec une page blanche de quelque chose que je n’ai pas eu à faire hier ou à me soucier des problèmes d’hier. Et je… C’est intéressant. Je… Je vais parler des temps. Dans ton organisation, les propriétaires sont dans le futur, les managers sont dans le présent, et les comptables sont dans le passé. Alors, j’étais toujours dans le futur, et je m’inquiétais pour les trucs de demain. J’aime ça beaucoup.
Est-il utile de poursuivre la richesse d’un milliard de dollars ?
Quelles sont les façons dont tu as pu profiter de l’argent ? Parce que beaucoup de notre public est composé de jeunes qui aspirent. Ils… je suppose que la question en fait, c’est : “Vaut-il la peine de travailler comme un fou pour gagner un milliard de dollars ? Et est-ce la vie à laquelle les gens devraient aspirer ?” Est-ce un livre bleu parce que c’était un milliard de dollars ? Tu sais, tôt ou tard, tu te réveilleras avec toi-même, tu comprendras. Cela vient de l’intérieur. Et ce qui est vraiment triste, c’est que tu te réveilles avec la même personne misérable avec laquelle tu as commencé. Tu regardes ces stars de cinéma, ils se disent à eux-mêmes : “Dieu, j’ai tout. Ça devrait me rendre heureux. Comment se fait-il que je sois toujours une star de cinéma malheureuse ?” C’est juste un peu… Et je suis présomptueux à ce sujet. J’ai assez d’argent pour vivre confortablement.
Profiter de la richesse de manière insolite
Tu le crois ? Eh bien, je pourrais être présomptueux à ce sujet. Quelles sont certaines de ces choses ridicules sur lesquelles tu as dépensé ton argent ? Ou les plus amusantes, ou les plus étranges façons dont tu as apprécié… ou quelque chose comme… je veux dire, tu as un tank dans ton jardin. J’adore ça. Prendre une voiture de police. Mais cette voiture de police m’a coûté 5 500 $, et le tank m’a coûté 8 000 $. J’en suis fier. J’ai fait une bonne affaire. Qu’est-ce… quelles sont les autres choses comme ça… J’ai acheté cet avion maudit pour faire le gros bras, et cette chose m’a coûté plus cher que l’avion parce que pour faire le gros bras, il fallait que j’aie des projets dans tout le pays, que je voyage constamment, tu sais ?
Dépenses ridicules et coûteuses
Justifie l’avion de gros bras. Non, ça… ça m’a coûté beaucoup d’argent. Beaucoup plus que l’avion. Beaucoup plus. Être un gros bras. Et quand j’ai vendu l’entreprise, je suis devenu un gros bras, et j’ai fait beaucoup de développements immobiliers dans lesquels je n’aurais pas dû m’engager. J’ai commencé à investir dans des actions, à acheter des parts de sociétés que je n’aurais pas dû faire, ouais. Donc, j… gros bras. Je n’ai tout simplement pas… ça n’a tout simplement pas marché.
Contentement et richesse
En fin de compte, j’aurais été satisfait d’acheter de bonnes vieilles actions et obligations. Être satisfait de la propriété de revenus que tu as. Quel était le plan ou combien était le plan… ? Oh, l’avion n’était que de 22 millions de dollars. Veux-tu entendre une bonne histoire à propos de cet avion ? Non, je pense que nous pouvons couper… je pense, ouais, bien sûr, je pense que c’est tellement intéressant parce que les gens rêvent comme… ça, ouais. Tu coupes en ce moment. Non, non, je plaisante. Je plaisante, évidemment. Je pense, ouais, c’est super intéressant. Ces grosses entreprises sont stupides. Si tu connais leurs procédures comptables, tu peux les exploiter à fond. Je vais revenir à l’avion. Mais je suis allé chez Xerox, et je disais : “Oh, Xerox, tu as cette fantastique nouvelle machine. Je veux en acheter 400, et je paierai le prix catalogue. Je paierai ce que tu veux, mais tout ce que je veux, c’est que tu étendes le contrat de service de quatre ans.”
Et ils… qu’est-ce qu’une machine ? Une machine, c’est juste un foutu tas de métal. Tout ce que je veux, c’est obtenir les copies à la fin que je peux vendre. Alors, ils me donnaient ces machines, et je bénéficiais de quatre ans de pièces et de maintenance gratuites 24 heures sur 24, et je faisais fonctionner ces machines 24 heures par jour. Donc, avec l’avion, c’était pendant la récession quand… euh, le méchant Bush voulait être réélu. Le va-t-en-guerre en méchant Bush… euh, il avait en 2004 une dépréciation de 50 %. Donc, si tu achètes quelque chose, tu peux déduire 50 % de sa valeur. Alors je suis allé chez la compagnie aérienne. Je leur ai dit : “Eh bien, au fait, je paierai votre prix catalogue. Donnez-moi juste quatre ou trois ans de service gratuit.”
Un avion coûte chaque fois… une heure, ça coûte 300 $ de l’heure pour les pièces et les pneus et tout ça. Ou 400 $ de l’heure. J’ai foncé à fond… J’ai dû payer autant d’essence, et j’avais une entreprise de location, alors j’ai gagné de l’argent dans l’entreprise de location. Mais, euh, c’est pourquoi j’ai acheté l’avion. Mais aussi, j’étais souvent dans l’avion. Être un gros bras, ça devrait coûter cher. Tu as toujours l’avion ? Non, non. Je ne veux aller nulle part. J’en ai un peu fini avec les chambres d’hôtel. On se fatigue, on essaye d’aller aux toilettes et on finit par aller dans un placard au milieu de la nuit. J’en ai juste eu assez.
Bonheur et acceptation de soi
Je suppose que lorsque je suis à… Cette question peut sembler étrange, mais es-tu heureux aujourd’hui ? Oh oui. Heureux. Super heureux. Ouais, je… On règle ses démons en vieillissant. Tu sais, tu as beaucoup de démons intérieurs. Tout le monde en a dans la vingtaine, la trentaine et la quarantaine. Mais maintenant, je m’accepte. Je pense que l’anxiété et l’ambition sont les meilleurs amis. Alors, j’étais très… j’avais beaucoup d’anxiété et d’ambition, et l’anxiété te submerge parfois. Elle te rend plutôt introspectif et insécurisé. Et j’ai été beaucoup rejeté à l’école. Je ne pouvais pas lire. Oh, j’avais de l’acné. Je ne pense pas que les filles m’appréciaient particulièrement. Et donc tu viens de ce milieu en tant qu’enfant. Tu as toujours le garçon de 13 ans et l’adulte, et ils se battent toujours. Le garçon de 13 ans est vulnérable, insécurisé, et l’adulte se bat toujours avec ce garçon de 13 ans, peu importe ce que tu fais dans la vie. Et enfin, au bout d’un certain temps, tu vieillis. Tu sais comment remettre le garçon de 13 ans à sa place. J’y pense beaucoup, juste à propos de nous accepter, juste d’accepter de quelque manière que ce soit, globalement, pour tout le monde. C’est dur. Ça vient avec le temps et l’âge.
Impact de la famille et de la gestion de l’argent
Nous avons… Et puis tu te maries, tu n’as pas encore d’enfants. Après avoir élevé tes enfants, tu peux… C’est beaucoup plus facile parce que tu sais que tu as fait le truc de la banque de sperme. Revenons à l’avion parce que je pense qu’il y a aussi des éléments intéressants là-dedans. Quelles autres… autres choses sur lesquelles tu… tu n’as peut-être pas bien dépensé d’argent ? L’alcool. J’en ai trop bu. Euh… Ma première femme était une bonne dépensière. Elle dépensait de l’argent pour nous tous. Et, euh, ma… ma… Seigneur, celle à laquelle je suis marié maintenant, je l’admire vraiment parce qu’elle est économe, et elle gère son argent. Et je m’attends à la frugalité. Comment ta femme a-t-elle eu un impact lorsque tu dirigeais l’entreprise ? Comment cela a-t-il eu un impact positif ou négatif ? Et puis, avoir une famille aussi. Euh, je dois le dire franchement, mais à chaque fois que les choses devenaient vraiment mauvaises, elle était la plus difficile. Et je…
Les moments les plus bas de Paul chez Kinko’s
Je savais que j’allais être poursuivi en justice par les éditeurs tôt ou tard. Je ne voulais pas qu’ils se retrouvent dans le Neuvième Circuit parce qu’ils considéraient les Californiens au tribunal comme plutôt insouciants. Le Deuxième Circuit, c’est New York, et je ne voulais jamais donner aux foutus éditeurs compétence dans le Deuxième Circuit. Mais nous avions ce programme d’édition, et nous avons fait le Deuxième Circuit, et ils m’ont eu dans leur cour arrière. Et le juge… il nous a simplement donné un verdict. C’était une injonction qu’elle a dit aux éditeurs : “Vous pouvez rédiger l’injonction.” Et, tu sais, tu te souviens de Bill… Oh, j’oublie son nom. Il a sauvé mon entreprise. Son nom était Chimler. Il a sauvé mon entreprise.
Conseils de Paul pour devenir millionnaire
Utilise tes yeux et ton intuition, mais malheureusement, nous sommes trop rationnels la plupart du temps. C’est intuitif, et on ne fait pas confiance à nos instincts. Pourquoi un client veut-il acheter quelque chose ? Je pense que beaucoup de gens ne sont pas faits pour leur propre entreprise. Mon plus gros problème chez Kinko’s, c’était que nous avions deux ou trois travailleurs dans le magasin, et le responsable de ce magasin savait tout sur les choses. J’ai laissé une entreprise avec 40, 50 travailleurs sur place, et le responsable de cette entreprise savait beaucoup de choses sur les gens, pas sur les choses. Certaines personnes se sentent à l’aise pour gérer les choses, et certaines personnes se sentent à l’aise pour gérer les gens. N’essaie pas de le faire. Si tu es une personne des “choses”, ne cherche pas à devenir une personne des “gens”.
Introduction et contexte
McNeill leur rapport à la télévision, oh ce qui s’est passé ? Eh bien, je suis allé à, euh, ça ressemble à une pause, j’étais à la Maison Blanche pour recevoir un mot pour être un mauvais étudiant, et Jim Lair était là en train d’attendre de voir le président. Je suis allé le voir, je lui ai dit, tu sais, j’ai vraiment aimé ton émission de télévision sur ton attaque cardiaque et les sandwichs au pastrami, et il a dit, tu sais que c’est de toutes les choses que j’ai faites à la télévision, c’est celle que les gens se souviennent le plus. Alors, des années plus tard, j’ai été poursuivi par les éditeurs, et ils m’ont invité à faire un discours devant tous les fabricants de manuels scolaires, et Jim Lair était là la veille en train de donner le discours d’ouverture, et il nous a fait de la pub, et c’est ce qui, je pense, a sauvé mon entreprise parce que le lendemain, j’ai fait un discours, j’ai dit que j’étais désolé, pardonnez-moi, je ne savais pas que Maricopa, Maricopa, Maricopa, et ils ont rédigé une injonction qui me permettait de rester en affaires, mais j’aurais pu aller en prison si nous avions fait une autre erreur.
Projets d’entreprise
Alors, que disais-tu que tu faisais comme copier des manuels scolaires ou nous prenions, tu sais, je te donne un peu de ce livre, de ce livre, de ce livre, on appelait ça des anthologies ou ils voulaient t’enseigner ou comme dans le cas de New York, nous avons essayé de plaider qu’un tiers du livre de Doris Kearns Goodwin était un usage équitable, ce qui était comme ça une prise légitime d’un livre, un copyright, eh bien, nous avons évidemment perdu ça, qu’est-ce que tu penses, qu’est-ce que la plupart des gens ne savent pas quand tu deviens très riche, qu’est-ce que parce que je suppose que je me demandais les gens te contactent beaucoup du genre, “Hé Paul, laisse-moi avoir de l’argent” ou les gens disent “Hé, tu devrais acheter un avion maintenant”, genre que se passe-t-il quand tu deviens oh.
Richesse et charité
Alors ils te demandent de la charité ou te harcèlent beaucoup, ma préférée, c’est est-ce que tu te soucies des pauvres, des affamés en Éthiopie, ce que la plupart des gens ne savent pas sur la richesse, qu’est-ce que tu vas dire, non je m’en fous d’eux ou je m’en soucie je n’ai pas l’argent pour eux je ne peux pas résoudre ce problème alors euh voilà certaines des choses que tu reçois ou juste certaines diras-tu si je te parle d’une opportunité d’affaires alors je suis assez doué pour m’évader du travail et je suis doué pour ça je suis doué pour m’évader de ces conversations mais je pense que c’est beaucoup de culot de me demander de la charité certaines de ces personnes riches ici me demandent de la charité je pense que viens on doit donner notre propre argent et j’ai mes propres causes chères.
Causes caritatives
Quelles sont-elles, ma principale est euh, en Californie, nous avons cette horrible manière de financer les écoles publiques, la plus chic de mon quartier reçoit 37 000 $ par élève par an, à deux miles de là, il y a une école dans une zone plus appauvrie qui reçoit 10 500 $ par an, dis-moi que c’est en quelque sorte équitable, donc nous essayons d’égaliser les écoles les plus pauvres, nous avons un programme d’orthodontie où nous aidons à réparer les dents des enfants bénéficiaires du programme Title One et il me semble que si tu as une orthodontie de qualité, tu peux avoir une vie plus heureuse, moins d’incarcération, de meilleures chances de réussite universitaire, etc. donc euh c’est l’un de mes projets chers, je pense peut-être que si avant de mourir je pouvais m’assurer que chaque enfant ait accès à l’orthodontie, surtout en Californie superficielle où tu es jugé par ton sourire.
Enseigner les compétences financières aux enfants
Oui, comment as-tu élevé tes enfants avec eux, comment as-tu fait ça, c’est une bonne question, ouais, comment enseigner des compétences financières à mes enfants, ouais, okay, quand ils ont six ans ou cinq ans, donne-leur cinq dollars par semaine et ils doivent tenir un journal, trois dollars pour les dépenses, un dollar pour donner et un dollar pour l’épargne. Donc, s’ils allaient quelque part et disaient “Papa, est-ce que tu peux m’acheter un Coca-Cola ?”, je disais “Ouais, tu as ton propre argent, pourquoi ne t’en achètes-tu pas un ? Ils en vendent. Non, non, je ne peux pas me le permettre”, et ensuite ma femme, mon ex-femme, était dans l’éducation, ce qui n’était pas mon cas, ils savaient que j’étais axé sur l’économie et sur ce qu’il fallait faire avec son argent en tant qu’enfant. Ils faisaient un stand de limonade ici, beaucoup de gens font des stands de limonade devant leur maison, c’est idiot. Je l’ai mis juste devant le supermarché Mike, nous avons vendu 200 dollars de cookies, j’ai vu certains de ces fichus cookies à la limonade, je suis simplement entré et j’ai acheté de la limonade au supermarché, et je les emmenais tout de suite à la banque et je ne leur demandais pas toujours de leurs économies, je les prenais, et quand ils avaient huit ans, je les emmenais en costume et cravate pour voir un courtier en bourse, et je sortais de la pièce, donc mes enfants ont heureusement de bonnes compétences financières, je pense que c’est très important, et beaucoup de parents ne font pas l’effort d’enseigner des compétences financières, ils laissent les écoles déterminer le bonheur de leurs enfants, à 100 %. J’ai été élevé de manière très similaire, où l’on nous a dit “Nous allons vous ouvrir un compte bancaire, nous allons parler d’argent”, et c’est vraiment choquant de voir combien de gens n’ont aucune idée, c’est incroyable, ouais, et je ne pense pas qu’ils sont débrouillards comme il faut, sur les rues de LA, j’étais en plein milieu de LA, et tu comprends les compétences de débrouillardise en matière d’argent. Une chose à laquelle je pensais, c’est comment pensez-vous que l’héritage a influencé vos décisions dans votre carrière, comment avez-vous pensé que vous vouliez être rappelé, non, je m’en fichais de ça, ça ne m’a même pas traversé l’esprit, et je pourrais m’en rappeler de toute façon, il y a 100 ans [Rires], ouais, je pense que parfois, on se dit que nous ne serons probablement même pas rappelés, non, je ne pense pas que c’est pour ça qu’on vit, et puis, on pense à tout l’univers et à notre insignifiance dans l’univers, j’y pense parfois.
Vie après la mort et foi
Qu’est-ce que tu penses, qu’est-ce que c’était avant que je sois né, et avant que je sois né, y avait-il un dieu, je ne sais pas qui j’étais, et ensuite, où vais-je être après ma mort, j’espère qu’il y aura quelqu’un à qui aller, mais j’y pense beaucoup à ce qu’est l’infini maintenant, l’infini pourrait être une seconde, entre une seconde et une autre, il y a l’infini, donc tu pourrais avoir une infinité de bonheur ou être avec Dieu en une seule seconde, j’y pense ces derniers temps, j’ai eu comme une révélation, j’admire vraiment les gens avec une foi solide parce que c’est un grand réconfort, je comprends, qu’est-ce que tu aimerais qu’il se passe ou qu’est-ce que tu penses qu’il se passe, j’aimerais aller au paradis financier, mais euh, et donc si tu as la possibilité d’aller comme une expression ce serait bien, je tu sais ce que Christ a dit une fois que c’est plus difficile pour une personne riche d’aller au paradis que pour un chameau de passer par le chas d’une aiguille, alors euh, je ne pense pas que quand je regarde ces églises chères, je ne pense pas que Christ était dans les églises chères, c’est plus comme un endroit simple, décontracté, je suis une personne pardonnante, je ne reconnais tout simplement pas Christ et comment la droite religieuse perçoit sa présence, je veux dire, je ne comprends tout simplement pas, je prends du recul
pour quelqu’un.
Devenir millionnaire
Comment penses-tu qu’une personne aujourd’hui peut devenir millionnaire si c’est quelque chose qu’elle souhaite, utilise tes yeux et ton intuition, mais malheureusement, nous sommes trop rationnels la plupart du temps, c’est intuitif, nous ne faisons pas confiance à notre instinct, pourquoi un client veut-il acheter quelque chose, et euh, je pense que beaucoup de gens ne sont pas faits pour leur propre entreprise, mon plus gros problème chez Kinko’s, c’est que nous avions deux ou trois travailleurs dans le magasin, et le responsable de ce magasin savait tout sur les choses, j’ai laissé une entreprise avec 40, 50 travailleurs sur place, le responsable de cette entreprise savait beaucoup de choses sur les gens, pas sur les choses, certaines personnes se sentent à l’aise pour gérer les choses, et certaines personnes se sentent à l’aise pour gérer les gens, ne tente pas de faire si tu es une personne des “choses”, ne tente pas de devenir une personne des “gens”, et ça me rappelle le réparateur Maytag, le conjoint dira “Pourquoi tu ne deviens pas promu et ne gères pas les autres réparateurs ?”, et ils font une dépression nerveuse, certaines personnes ne sont pas faites pour ça. Je fais des heures de bureau sur YouTube gratuitement, je le fais, euh, une fois par mois.
Quelqu’un peut demander à ma mère ? Ma mère aime se montrer, et ils lui ont demandé, ils ont dit “Penses-tu que tout le monde devrait être entrepreneur ?”, et c’était la première fois que je réalisais que les gens ne devraient en fait pas l’être, c’est vraiment pas pour tout le monde. Ouais, je suppose que je pensais que tout le monde avait une chance. J’ai suivi un cours à Harvard pendant trois semaines pendant trois ans, et ensuite, ils ont parlé de la pensée similaire. Les entrepreneurs pensent que tout le monde est comme eux, mais ce n’est pas le cas. Les gens aiment la prévisibilité, ce qui aurait été bien dans ma carrière.
Générer des idées commerciales
Comment utilises-tu la curiosité pour trouver des idées commerciales, et comment cela t’a-t-il aidé à trouver Kinko’s ? Eh bien, j’étais à SC, et ils faisaient la queue à SC pour faire des copies Xerox, et je me suis dit, pourquoi ? Je veux que les mêmes personnes, euh, fassent la queue à Santa Barbara, est-ce que cela compliquerait les choses ? Ils font la queue ici, ils font la queue ici. Je n’ai pas eu à prendre beaucoup de LSD et à réfléchir à l’idée maudite. Qu’est-ce que tu observes en termes d’idées commerciales dans l’économie d’aujourd’hui ? Oh, il y en a tellement, mais les jeunes sont trop prétentieux.
Ils veulent faire toutes ces choses prétentieuses. C’est juste de la saleté et de la crasse. À chaque fois que tu gares ta voiture, pourquoi quelqu’un ne la laverait-il pas pour toi ? Pourquoi ne vas-tu pas dans l’endroit et ne dis-tu pas “Je vais te mettre un lave-auto, ça te coûtera quarante dollars. Tu vas déjeuner deux heures plus tard, tu as une voiture propre.” Je veux dire, pourquoi ? Qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce qui se passe, toute cette petite arnaque. Alors, euh, ouais, je suis un arnaqueur. J’aime vendre et j’aime m’impliquer dans les affaires.
Insuffler du plaisir dans les affaires
Une chose que j’ai remarquée avec toi dans les affaires et juste dans ta vie, il semble que tu, j’ai l’impression de te rencontrer depuis quelques heures, tu aimes insuffler du plaisir. Et aussi, quand je t’entends parler, ce que j’admire, c’est que tu parles de l’équilibre entre le travail et la vie ainsi que de t’amuser avec ce sur quoi tu travailles, pas seulement comme si c’était toujours une corvée. Oh ouais, parce que pour réussir, tu dois avoir trois choses en équilibre : le travail, l’amour et le jeu. Et ici, c’est un trépied. Si tu travailles trop dur, ton trépied est foutu. Mais tu dois avoir un équilibre, et j’ai vraiment cherché un équilibre. J’ai vraiment aimé mes enfants. J’ai beaucoup joué avec eux, et, euh, je ne m’inquiétais pas quand je devais m’inquiéter la nuit, mais quand j’étais là, j’étais là avec ma famille.
Plaisir et reconnaissance
Comment as-tu insufflé du plaisir chez Kinko’s ? Oh, c’est très important dans la culture. L’alcool, euh, [Rires], non, parce que les gens se lâchent, et l’alcool, et nous organisions un pique-nique d’entreprise, ou cinq personnes de tout le pays venaient au pique-nique. Et les théologiens de la femme d’affaires font une convention. C’est un pique-nique, une célébration.
Traditions et règles
Chaque organisation anthropologique organise un rôti de porc, tu sais, elles font quelque chose pour célébrer une fois par an. Et donc, c’était juste une célébration. Et, euh, la plupart des gens ne comprennent pas non plus, l’alcool est un excellent moyen d’avoir de l’intimité et du plaisir dans les affaires. C’était quelque chose que tu utilisais lors des entretiens. Tu as dit pour les entretiens d’embauche, je ferais toujours passer un entretien à quelqu’un. J’aimerais voir, et j’aimerais voir à quoi ils ressemblaient. Je les emmène dîner. J’aimerais voir à quoi ils ressemblaient, ce qu’ils faisaient, là où ils buvaient quelques verres. En latin, ils appellent ça “In Vino Veritas”, et avec le vin, il y a la vérité.
Traditions et règles
Quelles autres traditions aviez-vous chez Kinko’s ? Oh, il faut avoir des traditions. Euh, un pique-nique, nous célébrions des anniversaires, nous célébrions beaucoup de choses. Le gars avec qui je travaillais, Dan Fredericks, était vraiment doué pour la reconnaissance. Je n’étais pas si bon à ça, et l’une de mes scènes machiavéliques était de donner la gloire, garder l’argent. Les gens font beaucoup pour la gloire, pour la reconnaissance. Dis-moi, en mots, donne la gloire, garde l’argent. Regardez l’armée. Ils te donnent une petite médaille stupide, et tu ne peux pas attendre de sortir et d’attaquer une mitrailleuse. Si tu ne pouvais pas offrir 50 milliards de dollars à quelqu’un pour attaquer une mitrailleuse. Comment donniez-vous de la gloire chez Kinko’s ? Beaucoup de pins de reconnaissance et de souvenirs, et des plaques et tout ça. Ils sont très importants dans la culture d’une entreprise. Les gens veulent vraiment être reconnus.
Défier les règles et la responsabilité
Tu ne sembles pas non plus être quelqu’un qui suit beaucoup de règles, ou qui ne veut pas trop suivre de règles. Je déteste le comité des règles, ouais, alors tu avais une équipe de règles humaines ou je suppose que RH. RH, c’était quelque chose qui est devenu tellement gros qu’il a fini par prendre tellement de bureaux et je n’ai jamais compris pourquoi diable nous avions besoin de RH.
Et une fois, ils sont venus à un groupe d’entre nous, comme lors d’une réunion du conseil, et il y avait peut-être 20 personnes dans la salle, et le service des RH est venu et a dit, “Oh, nous n’avons eu aucune poursuite judiciaire l’année dernière pour les RH, comme le licenciement de personnes et tout ça”, et tout le monde disait, “C’est vraiment bien. C’est vraiment bien.” Et j’ai dit, “Je veux prédire un tas de poursuites judiciaires. Cela signifie que vous gardez un tas de bons à rien dans ces magasins. Je ne veux pas de ces zéro poursuites judiciaires.” Mais c’est ainsi que fonctionnent la plupart des entreprises, elles ont des édits, et elles n’acceptent pas l’ambiguïté. Moi, je veux quelques poursuites judiciaires. Cela me dit que nous prenons suffisamment de risques.
Donner et responsabilité
Est-ce que vous avez eu des poursuites judiciaires ? Non, je pense que l’année suivante, nous en avons eu, je ne me souviens pas, mais euh, nous étions un peu l’une des choses que je regrette dans l’ancienne entreprise, c’est que la franchise n’était pas importante, bien s’entendre l’était trop. Nous nous entendions tous tellement bien, et je ne pense pas que nous étions aussi francs les uns envers les autres que nous aurions dû l’être. Plus directs et plus francs. C’est quoi cette histoire ? Moi, je ne l’étais pas, mais les gens avec qui je travaillais semblaient trop habiles et trop désireux d’être aimés plutôt que francs.
Philanthropie et redonner
Au sommet, combien de personnes travaillaient là-bas ? 25 000. C’est beaucoup partout dans le monde. Comment cela se passait-il pour toi ? Responsable. Tu te sens responsable quand tu te sens responsable. J’ai beaucoup fumé de la marijuana à la fac et je suis allé voir mon professeur de finance, et j’ai dit, “Tu sais, tout ce que tu fais, c’est gagner de l’argent, en gagner beaucoup pour toi-même.” Et on a l’impression que, et il m’a regardé comme s’il comprenait la responsabilité que tu as lorsque tu as ta propre entreprise. C’est tellement vrai. Les gens comptent vraiment sur toi et sur tes engagements. Tu veux serrer la main de quelqu’un et honorer tes engagements. Tout est facile pour la personne qui n’a pas à le faire. Tu me disais ça tout le temps au travail. Tu n’as pas à le faire. Comment se fait-il que ce soit si facile pour toi ? Ouais.
Histoires mémorables
Quelles étaient certaines des histoires mémorables de clients ou des histoires de personnes avec lesquelles tu as travaillé, que ce soit parmi ces 25 000 ou parmi les millions de personnes qui ont fréquenté les Kinko’s ? Oh, mon histoire préférée, c’est quand je suis allé au magasin d’Hawaï. La dame qui y travaillait me rendait fou, et elle avait une liaison avec un gars du magasin du centre-ville, et le gars du centre-ville a été licencié et il a déménagé au Nouveau-Mexique, où il travaille dans un magasin de copies, mec, il a une liaison avec la femme du propriétaire et ils ont comploté pour tuer le mari. Donc il achète un couteau, elle achète un couteau, et elle se trompe de carte de crédit. Alors il sort des buissons dans le parc, tue le gars, se poignarde à l’aine, et la femme d’Hawaï m’appelle et dit, “David a eu des ennuis à Albuquerque, pouvez-vous l’aider ?” Meurtre au premier degré. Je vais aider ce gars. Ouais, c’était mon histoire préférée.
Philanthropie et redonner
Comment fais-tu, une chose que je remarque, c’est que les gens, tu sais, il y a ce schéma de vie, comme tu travailles dur si tu es entrepreneur ou pas, tu peux gagner beaucoup d’argent, puis il y a cette période de don, comme quand tu donnes tout mon argent. Ouais, comment fais-tu ? D’accord, alors prends une marche en utilisant “Brewster’s Million”. Te souviens-tu du film “Brewster’s Million” ? C’est avec Eddie Murphy. Il a, il a une journée pour dépenser 24 sur, euh, une journée pour dépenser un million de dollars ou 30 millions de dollars, mais il ne peut rien avoir à montrer. Comment dépenses-tu tout cet argent ? Comme, comment fais-tu pour le donner ?
Comme, comment y réfléchis-tu même, oh, c’est tellement facile. Il y a tellement de charités qui en valent la peine. Comment dépenses-tu tout cet argent ? Euh, mais comment le vérifies-tu ? Comment penses-tu ? Non, je m’implique dans les écoles élémentaires, et lorsque nous nous impliquons, nous disons que chaque enfant devrait savoir nager. 50 % de la communauté latino dans ma communauté ne sait pas nager. C’est un péché. Ils peuvent passer l’école primaire sans savoir nager. Ils savent faire du vélo, euh, ils ont, ce que l’école est tellement horrible à propos. Imaginez que vous sortiez du lycée, que vous n’ayez aucune idée de la gestion financière.
Vous n’avez pas une, ils mangent des cochonneries. Ils n’ont pas une bonne appréciation de la nutrition, euh, ils n’ont pas de résolution de conflits à l’école. Vous allez vous marier ? Vous allez avoir un conflit. Pensez-vous suivre un cours à ce sujet ? Vous devriez avoir un cours de parentalité à l’école, mais pourtant le théorème de Pythagore est important.
Philanthropie et redonner
Comment avez-vous décidé à qui donner de l’argent ? Eh bien, je vais dans les écoles du titre I, donc il y a beaucoup de personnes appauvries, et tu peux le dire en fonction du nombre de personnes qui bénéficient de déjeuners gratuits ou à prix réduit. Et donc, euh, tu les trouveras. Il y a des pauvres.
Année de revenus la plus élevée
Quelle a été l’année de revenus la plus élevée que vous ayez eue lorsque vous dirigiez l’entreprise ? Trois milliards ?
Comment avez-vous dépensé tout cet argent ?
Comment dépenses-tu tout cet argent ? J’ai acheté cet avion maudit pour faire le beau gosse. Le lendemain, l’ensemble de l’industrie de l’édition aux États-Unis d’Amérique m’a poursuivi en justice.
Attentes
Quelles étaient tes attentes dès le début ? J’étais là pour l’argent. Les gens d’affaires disent qu’ils aiment leur entreprise, mais tu ne peux pas laisser cette entreprise te posséder ; tu la possèdes. Dans ce cas, en valait-il vraiment la peine ?
Introduction
Aujourd’hui, nous sommes chez le milliardaire fondateur Paul Orfila, qui a vendu son entreprise Kinkos pour plus d’un milliard de dollars. Dans cette vidéo, nous explorons plus en profondeur son histoire, ce que c’est que de vivre le style de vie de milliardaire, et comment avez-vous fait passer Kinkos de zéro à des milliards de dollars de ventes.
Introduction de Paul Orfila
Salut, je m’appelle Paul Orfila. Je suis le fondateur de Kinkos, qui a vendu une entreprise pour pas assez d’argent. Pas assez d’argent, ouais, tu ne l’as jamais vendue pour assez. En 1997, je l’ai vendue à une société de New York, en fait, à un tas de décharges de New York. Ils l’ont finalement vendue pour 2,6 milliards de dollars, ouais, à FedEx.
Et est-ce que tu en possédais une partie quand ils l’ont vendue ? Non, je m’en suis un peu retiré à ce moment-là. Ils, je, ils, je pense que si tu vends ton entreprise, un conseil, pars tout de suite parce que c’est comme vendre l’entreprise, couper la queue d’un chien d’un pouce à la fois. Tu es juste là à être torturé en n’ayant aucune autorité mais beaucoup d’agacement. Et les gens, quand tu vends ton entreprise, ils sont plus préoccupés par la loyauté que par la performance, et ils ont viré des gens vraiment compétents, les nouveaux venus de New York.
Prix de vente
Combien l’as-tu vendue pour t’aider ? Nous l’avons vendue pour peut-être un milliard et demi.
Devenir milliardaire
Comment c’était de devenir milliardaire ? Et je n’en ai pas tellement maintenant parce que je donne tout. Je fais un bon travail en donnant mon argent. Je n’y crois pas. Tu sais, il y a tellement de besoins là-bas. J’ai un peu l’impression de culpabilité à tout garder et à en avoir beaucoup. Et je ne me souviens pas d’être un maniaque de la possession contrairement à ce que vous pourriez voir ici, mais je ne suis pas vraiment un maniaque de la possession.
Parcours et argent
Eh bien, peut-être un pas en arrière pour arriver à la construction et à cette partie de l’histoire. Mais comment as-tu fait de l’argent, le mot, Kinkos ? Comment je fais de l’argent ? J’ai toujours été un épargnant toute ma vie. Je ne suis pas un très bon lecteur, et j’ai eu beaucoup de problèmes à l’école. Et j’ai un peu compris que je devais faire quelque chose avec mon compte d’épargne pour mes enfants. Vos enfants doivent réussir de deux manières possibles. Ils doivent être bons dans la chose scolaire, devenir médecin, avocat ou quelque chose en rapport avec leur éducation, ou ils doivent être bons avec leur argent. J’étais toujours en train d’économiser mon argent et d’essayer de comprendre comment Paul gagnait son argent.
Autres investissements
Que faire avec mon argent. Alors j’étais un épargnant. Et avez-vous fait la majeure partie de votre fortune grâce à Kinkos ? Oh oui, j’ai d’autres moyens de gagner de l’argent aussi, mais j’ai fait ça. J’adorerais entendre.
Stratégies d’investissement
Eh bien, j’ai toujours investi dans des actions, des actions et de l’immobilier. Je pense que lorsque vous commencez votre carrière, vous avez tout votre argent dans votre entreprise. Vous obtenez un prêt ou vous avez des instruments liquides comme des actions et des obligations parce que le meilleur moyen de détruire votre entreprise est de ne pas transformer l’argent en espèces et de ne pas payer vos factures. Ensuite, vous vieillissez un peu, vous avez un tiers de votre entreprise, un tiers en actions et un tiers en immobilier. Ensuite, lorsque vous voulez prendre votre retraite, c’est de l’immobilier payé, un peu d’actions et d’obligations. Et si vous voulez de l’agacement, vous pouvez toujours avoir des employés.
Développement de Kinkos
Comment as-tu fait passer Kinkos d’un magasin ? Comment en as-tu fait une entreprise de plusieurs milliards de dollars ? Nous l’avons fait. Quand je suis parti, c’était environ trois milliards. Ouais. Je suppose que, tu sais, quand les gens te posent cette question, comment tu es devenu milliardaire quand tu avais quatre ans ? Comment tu es devenu milliardaire à vingt ans et si grand ? Tu le fais simplement. Je veux dire, ça s’est simplement produit. Chaque jour, j’allais et j’essayais de le rendre meilleur. Une des choses que j’ai toujours abordées dans mon travail, c’est que les choses allaient bien sans moi. Mais quoi que je fasse tous les jours, je le rendais meilleur.
Construction d’un système
Donc, si je n’allais pas au travail, les choses tournaient. J’avais un système où ça tournait sans moi très bien. Eh bien, je pense que pour toi, ça peut venir un peu plus naturellement. Je pense qu’il y a beaucoup de gens là-bas qui se disent, “J’aimerais explorer l’entrepreneuriat. J’aimerais gagner un milliard de dollars, ou j’aimerais avoir.”
Distinction de Kinkos
Alors, la chose de Kinko, comme quelle était ton attente dès le début ? Par exemple, quand j’ai commencé mon entreprise, je voulais juste gagner quelques milliers de dollars et être capable de vivre et de travailler comme je le voulais. Eh bien, quand j’ai commencé, j’étais là pour l’argent, et c’était toujours à vendre. Tu sais, ton entreprise est un instrument pour te rendre heureux ; tu la possèdes, elle ne te possède pas. Et c’est une chose fondamentale, je pense que beaucoup d’entreprises font, c’est qu’elles, les gens d’affaires disent qu’ils aiment leur entreprise, tu peux apprécier ton entreprise, une fois que tu l’aimes, tu perds ton objectivité. Et tu ne peux pas laisser cette entreprise te posséder, tu la possèdes.
Concurrence et expérimentation
Beaucoup d’autres personnes, comme mon père, vendaient des photocopieuses quand j’étais enfant, alors nous étions comme, tu sais, des lapins, ouais, ouais, il y avait un concurrent autour, alors quand j’étais enfant, nous allions toujours dans différents magasins, et tout le monde était autour des télécopieurs ou des trucs de ce genre à l’époque. Mais je suppose comment as-tu distingué Kinkos pour en faire une entreprise de plusieurs milliards de dollars ?
Il y avait beaucoup d’autres personnes en concurrence, eh bien, chaque jour, je pense, tu sais, expérimentant comment essayer. Mon coût marginal était de 17 cents, je vendais pour un dollar. Je lançais des pièces de cinq sous. Mais que se passe-t-il si tu as une plus grande entreprise avec environ 25 000 employés, ils deviennent très défensifs, et ils font ces choses stupides appelées examens, et ça devient très punitif. Et j’essayais d’inculquer de plus en plus la prise de risques dans la culture, mais c’est difficile quand tu as des exécutifs là-dedans.
Année de revenus la plus élevée
Quelle a été l’année de revenus la plus élevée que vous ayez eue lorsque vous dirigiez l’entreprise ? L’année dernière où j’étais là, environ 3 milliards de ventes de papier, et comme des copies et des impressions et des affiches, du film pour la papeterie.
Expériences réussies
Quelles ont été certaines des expériences que tu as appréciées et qui ont fonctionné et qui n’ont pas fonctionné ? Je vais commencer par dire que je ne me donnais jamais trop à faire, et j’errais constamment dans chaque magasin. Mon travail consistait à me diriger vers un magasin, à chercher ce que les gens faisaient bien. Par exemple, nous sommes allés à San Diego, et ils ont fait un calendrier. Ils ont pris 12 photos et les ont mises sur un calendrier, un photocopieur en couleur. Nous les avons vendus à 30 $, ils les ont vendus à 30 $ en décembre, et décembre est un mois pourri. C’était une grande découverte ; nous avons exploité les calendriers dans tout le pays.
Un jour, quand j’ai commencé, j’étais dans la salle des livres de réserve d’une université, et la plupart des gens ne savent plus ce qu’est une salle de livres de réserve, mais c’est là où le professeur laisse des choses en fichier à la salle des livres de réserve et s’attend à ce que tu le lises pour l’examen. Eh bien, la plupart des gens vont la veille de l’examen pour prendre le livre, et il n’est pas là, et un flyer. Et j’ai dit aux professeurs qu’ils pouvaient laisser des choses en fichier avec Fi chez nous, ainsi qu’un livre de réserve, et les professeurs sont devenus fous avec le programme. Et nous avons étendu nos activités dans les 50 États, et nous faisions, disons, six ou sept pour cent des manuels à l’Ohio State.
Devenir milliardaire
Je suppose que je suis en train de réfléchir, penses-tu que n’importe qui pourrait devenir milliardaire ? Eh bien, je ne suis pas milliardaire. Es-tu devenu milliardaire ? Non, jamais. Je n’ai jamais été un milliardaire. J’ai juste donné tout mon argent. Mais à l’époque, comme, non, jamais. Souviens-toi, la plupart des gens se vantent de ça. Je pense que tu minimises juste. Je ne pense pas. Je dirais que si quelqu’un dit ça, je pense juste à la sécurité de mes enfants ou à un enlèvement ou…
Humilité et éviter de se vanter
Et la vantardise, ce n’est tout simplement pas dans ma nature. Ouais, je ne suis pas en désaccord. Ouais, parce que moi, mes parents avaient un dicton, mon père faisait des vêtements pour femmes, et mon père disait, “Dans ton entreprise, si les affaires vont bien, plains-toi. Si les affaires vont mal, vante-toi.” Alors, j’ai toujours été méfiant envers les vantards. Et puis, tu sais, aussi, si tu te vantes et que tu as toutes ces voitures “regarde-moi” et tout ça, les gens sont envieux. Ils ne sont pas vraiment fiers de ton succès. La plupart du temps, ils sont très envieux. Et tu ne veux pas, en termes d’intimité, te mettre en position de susciter la jalousie. Et dans la culture juive et la culture arabe, ils ont le mauvais œil. Ouais, tu ne veux pas attirer le mauvais œil.
Réaction à la vente de l’entreprise
Comment penses-tu que les gens ont réagi ou comment t’es-tu senti quand cette vente a eu lieu ? Je me suis senti super bien. J’ai réglé tous mes problèmes financiers. Je vais te raconter une histoire drôle, ma femme ici, a acheté un ancien meuble de télévision, il coûtait 35 000 dollars, et ce meuble me foutait toujours les boules tellement il était cher. J’étais très contrarié par le meuble. J’étais aux prises avec les banques. J’avais des dettes, des dettes, des dettes, des dettes, j’ai vendu l’entreprise. Je suis content avec le meuble. Je suis content avec le meuble.
Soulagement de la responsabilité
Donc tu as réellement ressenti du soulagement, ce n’est pas comme si tu te sentais soulagé de toi-même, ouais, oui, d’avoir… Je n’aimais pas la responsabilité, tu sais, quand tu es plus jeune, la responsabilité c’est plutôt cool. Puis il y a une chose appelée fardeau, qui… il y a une fine ligne. La responsabilité c’est plutôt cool.
Puis tu vieillis, ça devient un fardeau. Et j’en suis arrivé là dans ma fin quarantaine. Je n’appréciais plus toute cette responsabilité. Tu sais, les gens, ils viennent travailler avec toi ou pour toi ; tu es un peu responsable d’eux, et tu veux t’assurer qu’ils ont des soins de santé et une retraite, et tu te soucies de tes gens. Et cette préoccupation est devenue trop pesante pour moi. Je me souviens être allé à San Antonio, et une femme avait quatre enfants, elle travaillait dans le magasin, et je ne pouvais pas m’empêcher de penser, comment peut-elle s’en sortir ? Elle est célibataire. Comment peut-elle garder sa santé mentale ? Ce sont les genres de choses qui me préoccupaient.
Liquidité et tranquillité d’esprit
Mais on dirait que la vente a rendu ta vie beaucoup plus facile. Oh oui, oui. Je pense que la liquidité rend la vie un peu plus facile, ne pas avoir à se soucier de payer ses factures. Ça… j’ai eu 30 ans d’entreprise où j’étais préoccupé par le paiement de mes factures, et j’en ai vraiment eu assez. Je pense que… je suis un peu surpris parce que Kinko’s vend trois milliards de dollars par an, nous avons progressé chaque année avec de l’argent interne. Je n’ai jamais pris d’argent extérieur, et nous étions une sous-section S.
Éviter les investisseurs de groupe
J’ai toujours agrandi avec mon capital interne. Je n’ai jamais aimé les investisseurs de groupe ; je ne leur fais tout simplement pas confiance. Tu sais ce qu’est un investisseur ? C’est comme un auto-stoppeur. Tu le prends, puis tu te rends compte que tu es à court d’essence, que tu as besoin de quelque chose, et ils prennent le contrôle de la voiture.
Équilibre entre travail et vie personnelle
Est-ce que tu souhaites avoir moins travaillé ? Non, j’ai assez travaillé. Je n’ai pas… en fait, c’est une bonne question, d’accord. Je me demandais si le dur travail était inquiétant. J’étais un dur travailleur, mais passer de nombreuses heures au travail, je n’étais pas là. J’errais toujours et je m’inquiétais. C’était mon travail.
Ça en valait la peine ?
Ça en valait la peine, tout le travail et les soucis ? Non, à l’époque, tu pouvais… c’était dans ma quarantaine, je ne dormais pas bien, j’avais toujours mal au cou, et j’avais des flatulences. Maintenant, je n’ai plus de flatulences, je dors comme un bébé, et mon cou ne me fait plus mal. Le stress a causé quelques problèmes.
Regrets
Quels regrets as-tu en ce moment ? Eh bien, j’étais sous tellement de pression financièrement. Je n’ai pas assez dit merci, alors j’ai travaillé avec des gens vraiment formidables, et je ne les ai pas assez remerciés. Je vois Deanna, Dan et CeCe, je pense que tu les remercies, et ce sont les présidents de l’entreprise, et CeCe travaille très étroitement avec moi dans ma vie personnelle, mais je ne les ai jamais vraiment assez remerciés.
Gratitude
Que dirais-tu, je dois dire merci, mais à l’époque, je n’étais pas… je ne… tu sais, quand tu es au milieu de tout ça, c’est juste difficile d’être reconnaissant. Tu es tellement… tu as tellement de pression ; tu es juste comme, “Hé, on est concentrés sur le travail, voici les choses, nos problèmes, on n’a pas…” J’étais simplement concentré en interne sur le paiement de mes factures et tout ça, et je… j’étais jovial et très convivial avec les managers. Les managers, ils… ils m’aimaient bien parce que tout ce que je faisais, c’était pour les apaiser, satisfaire les managers du magasin, avec les cadres, ils pouvaient ressentir ma colère un peu.
Ça en valait la peine ?
Je suppose que dans ce cas, est-ce que ça en valait la peine ? Oh oui, oui. Je pense que j’avais deux choix dans la vie. Je pouvais être là où je suis maintenant, ou j’aurais été sans abri. Il n’y a pas de place au milieu pour un gars comme moi.
Surmonter les défis de l’éducation
Pourquoi ? Eh bien, je ne peux pas lire très bien. Je… j’ai redoublé ma deuxième année, et j’avais le palais bleu. Ma mère… elle m’a donné une sacrée fessée. En troisième année, j’ai dû aller à l’école à Hollywood, huit enfants dans la classe, dont deux avaient 18 ans. Je n’arrêtais pas de penser, genre, “Pourquoi ? J’ai huit ans. Pourquoi suis-je à l’école comme ça ?” Ensuite, j’ai dû aller chez un optométriste trois jours par semaine, et finalement, j’ai appris à lire.
Diplômé malgré les défis
Mes parents disaient que chaque mot que j’ai lu coûtait 50 $. J’ai obtenu mon diplôme d’études secondaires au huitième rang de ma classe de 1200. Et la conscription aux États-Unis est la raison pour laquelle je suis diplômé de l’université, en plus je voulais aller à l’université. C’était un endroit formidable pour grandir, alors j’ai obtenu mon diplôme.
Conseils pour les aspirants entrepreneurs
Quels conseils as-tu pour quelqu’un qui commence et qui veut être entrepreneur ? J’y ai pensé. Eh bien, regarde au plus profond de toi et vois si tu en as vraiment envie, parce que c’est beaucoup de nuits blanches et d’incertitude. Peut-être que tu es mieux juste avec un emploi. Mais tu dois aller jusqu’à ton canard en caoutchouc dans ta baignoire et te demander, “Est-ce que je veux vraiment ces ennuis ?” C’est vraiment beaucoup de nuits blanches.<h2>Gérer l’ambiguïté</h2> Et comment tu gères bien l’ambiguïté ? Tu as découvert que tu aimais ça. Je n’avais pas le choix. <h2>Dernières réflexions sur l’entrepreneuriat</h2> Oh, ça aurait été bien si je n’avais pas eu autant d’incertitude. Ça aurait été bien si tu y allais simplement et que tout fonctionnait très bien, comme une machine. Ça n’a pas… <h2>La perfection dans les affaires</h2> C’est toujours intéressant en affaires parce que je pense que de l’extérieur, on pense que c’est le cas. Quand tu regardes quelqu’un, tu te dis, “Oh, ça doit être parfait.” Mais je suppose qu’à l’intérieur, non, non, non, non, non. Les affaires sont une forme d’art. Si Da Vinci revenait et disait, “Wow, mec, je pense que j’aurais pu mettre un peu plus de rose dans cette image, un peu plus de bleu,” ce sont des artistes. Il y a toujours moyen de faire mieux, alors tu n’as jamais fini, ce n’est jamais parfait, ça peut toujours être amélioré. <h2>Premier emploi et entrepreneuriat</h2> Quel a été ton premier emploi ? Quelle a été la première entreprise que tu as lancée ? Le premier emploi que j’ai eu, j’ai acheté des fraises au marché et je les ai vendues de porte à porte. J’avais environ neuf ans. Je les achetais simplement au magasin de détail et je les vendais. J’ai toujours fait des ventes de porte à porte. Personnellement, c’est ce que je préfère, si je dois choisir quelque chose que j’aime le mieux en matière de ventes. <h2>Apprentissage des ventes</h2> Comment as-tu appris à vendre ? Je ne sais pas, tu le fais simplement. Vendre des journaux, tu fais… nous, j’ai juste vendu, tu sais, les Easter Seals, ou les timbres de Noël. J’avais l’habitude de m’activer quand j’étais à l’école primaire. C’était naturel pour moi, je ne sais pas comment, j’ai juste vendu. Une chose à laquelle je pensais pour toi, c’est combien, parce que tu as vendu Kinko’s pour un milliard et demi, tu n’aimes pas ce que j’ai dit ? Si, si. <h2>Équilibrer la fierté et l’arrogance</h2> D’accord. Mes parents, enfin, ma mère et mon père, trembleraient dans leurs bottes s’ils savaient que je me vante de quelque chose comme ça. Je suppose que j’ai toujours pensé, comme, quelle est la frontière entre se vanter et être fier de ce que tu as accompli ? Comme, je pense que se vanter, c’est genre, “J’ai gagné tout cet argent, et regarde toutes ces choses.” Parce que je pense pour moi-même, je ressens la même chose, où je suis conscient de moi-même à ce sujet, mais il y a probablement une fine frontière entre la fierté et l’arrogance. <h2>La superstition et ne pas se prendre au sérieux</h2> Tu as raison. Mais je suis superstitieux à propos de me prendre au sérieux. Et quand je le fais, je me fais toujours botter les fesses. Tu sais, un investissement, tu penses que tu es foutu, erreur, c’est là que tu te fais botter les fesses. Quand est-ce que ça t’est arrivé ? Oh, un jour, je devais retourner à l’école en janvier, et j’avais tout l’argent dont j’avais besoin, et l’argent dont j’avais besoin pour passer l’été.
Et je conduisais de Los Angeles, j’habite à Santa Barbara, et je me disais, “Dieu, je m’en sors vraiment bien.” Je me disais ça, le lendemain, toute l’industrie de l’édition aux États-Unis m’a poursuivi en justice. Et je me suis dit, “Mec, la prochaine fois que tu te prends au sérieux, tu ferais mieux de ne pas le faire.” Je pensais que c’était juste une telle coïncidence, étranger juste beaucoup, chaque fois à la bourse, je me prends au sérieux, et je pense que je vais me faire… je me fais toujours botter les fesses, c’est trop beau pour être vrai, je me suis échappé en achetant de l’immobilier. J’ai acheté une ferme, c’était juste trop beau pour être vrai, ça arrive toujours.
<h2>Expérience malheureuse en ferme</h2> Oh, cinq étoiles, que dirais-tu d’une sorte de truc à l’avocat de la ferme ici ? Je ne peux pas imaginer une maudite plantation d’avocatiers, et les gens sont venus et m’ont volé tous mes avocats. Je ne pouvais pas le faire, c’était horrible. Et ouais, je n’avais pas ma place dans cette entreprise. Combien était l’amende ? <h2>Équilibrer la confiance et l’humilité</h2> À l’époque, c’était environ trois millions de dollars. Et puis, combien l’as-tu finalement vendue ? Environ trois millions, ouais. Pas si mal, mais c’était beaucoup d’aggravation. Je pense que la partie à laquelle tu fais allusion et avec laquelle je me sens en phase, c’est d’être conscient de toi… ce n’est pas de la vantardise, mais d’avoir l’équilibre entre l’humilité d’être un débutant ou de pouvoir expérimenter et s’émerveiller et de ne pas penser que nous sommes si formidables. Et il est également bon d’avoir de la confiance, cependant. Ce que tu fais aussi, au plus profond de toi, tu es, et mon âme à l’époque où j’ai commencé, et je n’étais pas trop confiant.
J’étais toujours insécure, et j’étais toujours paranoïaque à l’idée que le type de l’autre côté de la rue me mettrait à l’amende. Toujours. Et la plupart des gens avec qui je travaillais étaient dans l’entreprise, et ils adoraient ça. J’étais toujours de l’autre côté de la rue en train de regarder ça. C’était mon point de vue, et je connaissais toutes les faiblesses stratégiques que nous avions. C’est là que je passais mon temps, à corriger ces faiblesses ou simplement à les comprendre, à fantasmer sur ce qu’un concurrent ferait pour me botter les fesses. Mon père était dans les vêtements pour femmes. Si tu es dans le secteur de la mode, tu comprends, les gens te copient. C’est un secteur impitoyable. Tu comprends que la concurrence est là pour te botter les fesses.
<h2>Identifier les faiblesses de ton entreprise</h2> Alors que fais-tu contre eux ? Que fais-tu contre la concurrence qui est plus… ? Je pensais à moi. Tu dois te rappeler qu’en microéconomie, la définition de la concurrence pure : une entrée et une sortie faciles sur le marché, un produit homogène, et le prix est la raison pour laquelle tu achètes. Eh bien, quand j’ai commencé, le gouvernement en haut de la rue avait un meilleur contrat pour la photocopieuse Xerox. Ils avaient une main-d’œuvre subventionnée et un loyer gratuit. Comment vais-je rivaliser avec une copie ? Une copie, c’est une copie. C’est du papier blanc et un tas de trucs sur une pièce noire. Comment puis-je rivaliser avec ça ? Alors j’ai dû être plus intelligent que l’école. J’ai ouvert plus longtemps, j’offrais un excellent service client, j’avais des produits synergiques comme la reliure et la papeterie avec la photocopie. <h2>Qu’est-ce qui fait un bon magasin ?</h2> J’ai grandi avec Kinko’s, c’était cool de pouvoir… quel magasin ? San Jose. Il y en a aussi un à Austin. Nous avons FedEx Kinko’s, c’était bien. Des magasins à Austin ? Ouais, San Jose. Nous avions de bons magasins. Ceux-là étaient vraiment de bons magasins à Austin. Qu’est-ce qui en fait un bon magasin ? C’est ce que j’avais toujours à étudier. Je passais tout mon temps dans les bons magasins, à comprendre pourquoi. C’est intéressant. Je ne suis pas allé dans les magasins passés parce que si tu as des cadres, ils s’inquiètent des 10 % les moins performants, mais j’étudiais toujours pourquoi quelqu’un avait du succès. <h2>L’importance de bons gestionnaires</h2> Et j’étudiais toujours. Houston, nous avions deux magasins à Houston. J’avais un mauvais stationnement dans les deux. Ils étaient tellement réussis. Ce qui faisait un bon magasin, c’était le gestionnaire. Le moral du gestionnaire, mec. C’était une entreprise centrée sur le gestionnaire, et je pouvais prendre un bon gestionnaire et en faire un ambassadeur et en faire un bon magasin. Je pouvais prendre un mauvais gestionnaire, le mettre dans un bon magasin, et en faire une mauvaise histoire. Ce qui fait un bon gestionnaire, c’est un peu une qualité éthérée. Je pouvais le voir quand je marchais dans les magasins. Je pouvais le voir dans les yeux des employés. Je pouvais juste dire si j’allais avoir une bonne visite ou une mauvaise visite. <h2>Équilibrer la fierté et l’humilité</h2> Et puis je regardais aussi le petit texte au soleil. Bon sang, j’ai tellement de problèmes, j’avais cette entreprise. Je me battais tout le temps. Tu entrerais dans le magasin, mon père m’a pris…<h2>Les entreprises de Paul</h2> J’ai fait beaucoup de différentes entreprises. J’avais des cafés, de l’espresso, du cappuccino, avant Starbucks. Et je voulais essayer de les mettre en cohabitation avec nous à côté de Kinko’s. Et puis nous avons ouvert un pressing ouvert 24 heures sur 24. Maintenant, irais-tu chez un pressing où l’on parle anglais et qui est ouvert 24 heures sur 24 ? Alors, je voulais ouvrir ces centres de voyage où il y avait des entreprises ouvertes 24 heures sur 24. Mais j’ai fait… oh, j’ai commencé… ici, je suis allé à Berkeley, ouais. Tu connais Top Dog ? Ouais. Qu’est-ce que tu remarques chez Top Dog ? Petits grils à vêtements. As-tu remarqué combien de personnes étaient en ligne ? C’est toujours bondé. Cela pourrait être un indicateur de succès. Alors, j’ai essayé de copier Top Dog ici à Santa Barbara. J’ai merdé parce que nous l’avons fait en plein milieu de Skid Row. <h2>Autres entreprises que Paul a lancées</h2> J’ai fait des entreprises de traitement de données. J’ai… j’ai fait tellement d’entreprises. La plupart… beaucoup d’entre elles ont échoué. Quelles sont certaines des autres qui n’ont pas fonctionné ou ont fonctionné ? J’essaie juste de toutes les rappeler. <h2>Comment les gens devraient-ils vivre leur vie</h2> Si tu devais décrire comment les gens devraient vivre leur vie par décennies, comment y penserais-tu ? Parce que j’ai une bonne réponse à cela. Ouais, ma mère disait : “Chéri, dans la vingtaine, essaie tout. Dans la trentaine, découvre ce que tu fais de mieux. Et dans la quarantaine, gagne de l’argent avec ce que tu fais de mieux et essaie de ne pas en faire trop. Dans la cinquantaine, et puis une autre chose à propos de ta vie, quand tu as la vingtaine, tu te préoccupes vraiment de ce que les gens pensent de toi. Tu arrives à 40 ans, tu ne te préoccupes pas vraiment de ce que les gens pensent de toi. Puis tu arrives à 60 ans, tu réalises que personne n’a pensé à toi en premier lieu.” Bob Hope disait ça. <h2>Le rôle de la chance</h2> C’est intéressant parce que j’ai l’impression que tu
aurais réussi quoi qu’il arrive. Et je suppose que cela dépend aussi de la façon dont tu définis le succès. Non, je ne pense pas. J’ai eu de la chance. La chance a plus à voir avec la vie que tu ne le penses. La chance a beaucoup plus à voir avec ça. Quels sont certains des éléments de chance… ? J’en ai… oh, j’ai ouvert le premier emplacement avec un garage, et cela s’est avéré être l’artère principale du campus. Sans la chance, les éditeurs, quand j’ai perdu le procès contre les éditeurs, ils ont obtenu une injonction qui m’a permis de rester en affaires. Ils nous appréciaient. Oh, juste une fois, j’ai eu de la chance. Je ne sais pas si cela semble vraiment bizarre, mais j’étais en haut d’un immeuble de 12 étages, et je faisais tomber des bouteilles de Coca sur un…
<h2>Profiter de la richesse et la recherche du bonheur</h2> Alors tu as vendu ton entreprise pour un certain montant dont nous ne parlerons pas, et nous n’allons pas appeler… Oh, je pensais que c’était toi. Tu cherches toujours un milliard et demi. Comment as-tu profité de l’argent ? Oh, c’est facile. Ce que j’apprécie, c’est… Oh, tu ne comprends pas le luxe de se réveiller tous les matins sans s’inquiéter et penser à ce que tu veux penser. C’est cette partie que j’aime le mieux. Je me réveille tous les jours avec une feuille blanche, quelque chose que je n’ai pas eu à faire hier ni à m’inquiéter des problèmes d’hier. Et je… C’est intéressant. Je… je vais parler des temps. Dans ton organisation, les propriétaires sont dans le futur, les gestionnaires sont dans le présent, et les comptables sont dans le passé. Alors, j’étais toujours dans le futur, inquiet de ce qui arriverait demain. J’aime ça beaucoup. <h2>Est-il utile de poursuivre la richesse d’un milliard de dollars ?</h2> Quelles sont les façons dont tu as pu profiter de l’argent ? Parce que beaucoup de notre public est composé de jeunes qui aspirent. Ils… je suppose qu’une partie de la question, c’est qu’ils se demandent : “Est-ce utile de travailler comme un fou pour gagner un milliard de dollars ? Et est-ce la vie à laquelle les gens devraient aspirer ?” Est-ce un livre bleu parce que c’était un milliard de dollars ? Tu sais, tôt ou tard, tu te réveilleras avec toi-même, tu le comprendras. Cela vient de l’intérieur. Et ce qui est vraiment triste, c’est que tu te réveilles avec la même personne misérable avec laquelle tu as commencé. Tu regardes ces vedettes de cinéma, elles se disent : “Dieu, j’ai tout. Ça me rend heureux. Pourquoi suis-je toujours une vedette de cinéma misérable ?” C’est juste un peu… Et je suis un peu arrogant à ce sujet. J’ai assez d’argent pour vivre confortablement.<h2>Profiter de la richesse de manière peu conventionnelle</h2> Tu penses ? Eh bien, je pourrais être arrogant à ce sujet. Quelles sont quelques-unes de ces façons ridicules dont tu as dépensé ton argent ? Ou les plus amusantes, les plus bizarres que tu as appréciées… ou quelque chose comme ça… Je veux dire, tu as un char dans ton jardin. J’adore ça. Prendre une voiture de police. Mais cette voiture de police là-bas m’a coûté 5 500 dollars, et le char m’a coûté 8 000 dollars. J’en suis fier. J’ai fait une bonne affaire avec eux. Quels… quels autres trucs comme ça… J’ai acheté cet avion maudit pour faire le malin, et cette chose m’a coûté plus cher que l’avion parce que pour faire le malin, je devais avoir des projets dans tout le pays, volant constamment, tu sais ? <h2>Dépenses ridicules et coûteuses</h2> Justifie l’avion de grande classe. Non, ça… ça m’a coûté beaucoup d’argent. Beaucoup plus que l’avion. Beaucoup plus. Être un gros bonnet. Et quand j’ai vendu l’entreprise, je suis devenu un gros bonnet, et j’ai fait beaucoup de développements immobiliers dans lesquels je n’aurais pas dû m’embarquer. J’ai commencé à investir dans des actions, à acheter des parts de sociétés que je n’aurais pas dû faire, ouais. Alors, je… gros bonnet. Je n’ai tout simplement pas… ça n’a tout simplement pas marché. <h2>Contentement et richesse</h2> En fin de compte, j’aurais été content de simplement acheter de vieilles actions et des obligations. Être content de la propriété de revenus que tu as. Quel était le plan ou combien était le plan que… ? Oh, l’avion n’était que de 22 millions de dollars. Veux-tu entendre une bonne histoire à propos de cet avion ? Non, je pense que nous pouvons couper… Je pense, ouais, bien sûr, je pense que c’est tellement intéressant parce que les gens rêvent comme… ça, ouais. Tu coupes en ce moment.
Non, non, je plaisante. Je plaisante, bien sûr. C’est super intéressant. Ces grosses entreprises sont bêtes. Si tu connais leurs procédures comptables, tu peux en tirer un grand avantage. Je vais revenir à l’avion. Mais je me rendais toujours chez Xerox, et je leur disais : “Oh, Xerox, tu as cette machine fantastique. Je veux en acheter 400, et je te paierai le prix catalogue. Je te paierai ce que tu veux, mais tout ce que je veux, c’est que tu étendes le contrat de service sur quatre ans.” Et ils… c’est quoi une machine ?
Une machine, c’est juste un tas de métal fichu. Tout ce que je veux, c’est obtenir les copies à la fin que je peux vendre. Alors, ils me donnaient ces machines, et je bénéficiais de quatre ans de pièces et de maintenance gratuites 24 heures sur 24. Donc, avec l’avion, c’était pendant la récession quand… euh, le mauvais Bush voulait être réélu. Le va-t-en-guerre dans le mauvais Bush… euh, en 2004, il y avait 50 % de dépréciation. Donc, si tu achètes quelque chose, tu peux déduire 50 % de la valeur. Alors, je suis allé voir la compagnie d’avion. J’ai dit : “Hé, tu sais, au fait, je paierai le prix catalogue. Donne-moi simplement trois ou quatre ans de service gratuit.” Eh bien, un avion coûte chaque fois… une heure, ça coûte 300 dollars par heure pour les pièces et les pneus et tout ça. Ou 400 dollars par heure.
J’ai pulvérisé le diable… j’ai dû payer autant d’essence, et j’avais une entreprise de location, donc j’ai gagné de l’argent avec l’entreprise de location. Mais bon, c’est pour ça que j’ai acheté l’avion. Mais aussi, j’étais souvent dans l’avion. Être un gros bonnet, ça devrait coûter cher. Tu as toujours l’avion ? Non, non. Je ne veux aller nulle part. J’en ai un peu assez des chambres d’hôtel. Fatigué, essayez d’aller aux toilettes et finissez par entrer dans un placard au milieu de la nuit. J’en ai juste eu assez.
<h2>Le bonheur et l’acceptation de soi</h2> Je suppose que quand je suis… Cette question peut sembler étrange, mais es-tu heureux aujourd’hui ? Oh, ouais. Heureux. Super heureux. Ouais, j… Tu travailles sur tes démons en vieillissant. Tu sais, tu as beaucoup de démons intérieurs. Tout le monde en a dans la vingtaine, la trentaine et la quarantaine. Mais maintenant, je m’accepte. Je pense que l’anxiété et l’ambition sont les meilleurs amis. Alors, j’étais très… j’avais beaucoup d’anxiété et d’ambition, et l’anxiété te submerge parfois. Elle te rend plutôt introspectif et incertain. Et j’ai été beaucoup rejeté à l’école. Je ne pouvais pas lire. Oh, j’avais de vilains boutons. Je ne pense pas que les filles m’appréciaient particulièrement. Et donc, tu viens de ce milieu quand tu es enfant. Tu l’as toujours avec toi. Tu sais ce qui est intéressant ? Tu as toujours le jeune de 13 ans et l’adulte, et ils se battent toujours. Le jeune de 13 ans est vulnérable, insécurisé, et l’adulte se bat toujours avec ce jeune de 13 ans, peu importe ce que tu fais dans la vie. Et finalement, au bout d’un certain temps, tu vieillis. Tu sais comment remettre le jeune de 13 ans à sa place. J’y pense beaucoup, juste à propos de nous accepter, simplement d’accepter quoi que ce soit, de manière générale, pour tout le monde. C’est difficile. Cela vient avec le temps et l’âge. <h2>Impact de la famille et de la gestion de l’argent</h2> Nous avons… Et puis tu te maries, tu… pas encore d’enfants. Après avoir élevé tes enfants, tu peux… C’est beaucoup plus facile parce que tu sais que tu as fait le truc de la banque de sperme. Revenons à l’avion parce que je pense qu’il y a aussi des éléments intéressants là-dedans. Quels autres… autres choses sur lesquelles tu n’as peut-être pas bien dépensé ton argent ? L’alcool. J’ai trop bu. Euh… Ma première femme était une bonne dépensière. Elle dépensait de l’argent pour nous tous. Et, euh, ma… ma… Mon Dieu, celle à laquelle je suis marié maintenant, je l’admire vraiment parce qu’elle est économe, et elle gère son argent. Et j’attends de la frugalité. Comment ta femme a-t-elle impacté lorsque tu dirigeais l’entreprise ? Comment cela a-t-il eu un impact positif ou négatif ? Et puis, avoir une famille aussi. Euh, je dois le dire franchement, mais à chaque fois que les choses devenaient vraiment mauvaises, elle était la plus difficile. Et je… <h2>Les moments les plus bas de Paul chez Kinko’s</h2> Je savais que j’allais être poursuivi par les éditeurs tôt ou tard. Je ne voulais pas qu’ils se retrouvent dans le Neuvième Circuit parce qu’ils considéraient les Californiens au tribunal comme plutôt insouciants. Le Deuxième Circuit, c’est New York, et je n’ai jamais voulu donner aux maudits éditeurs la juridiction du Deuxième Circuit. Mais nous avions ce programme d’édition, et nous avons fait le Deuxième Circuit, et ils m’ont eu dans leur jardin. Et le juge… il nous a simplement rendu un verdict. C’était une injonction où elle a dit aux éditeurs : “Vous pouvez écrire l’injonction.” Et, tu sais, tu te souviens du gars… Oh, j’ai oublié son nom. Il a sauvé mon entreprise. Son nom était Chimler. Il a sauvé mon entreprise. <h2>Comment devenir millionnaire aujourd’hui</h2> Utilise tes yeux et ton intuition, mais malheureusement, nous sommes souvent trop rationnels. C’est intuitif ; nous ne faisons pas confiance à notre instinct. Pourquoi un client veut-il acheter quelque chose ? Je pense que beaucoup de gens ne sont pas faits pour leur propre entreprise. Mon plus gros problème chez Kinko’s, c’était que nous avions deux ou trois employés dans le magasin, et le leader de ce magasin savait tout sur les choses. J’ai laissé une entreprise avec 40 ou 50 employés sur place, et le leader de cette entreprise en savait beaucoup sur les gens, pas sur les choses. Certaines personnes se sentent à l’aise pour gérer les choses, et certaines personnes se sentent à l’aise pour gérer les gens. N’essaie pas de le faire si tu es une personne des “choses” ; ne cherche pas à être une personne des “gens”.